Le gouvernement du Sénégal n’est pas dans une logique de tendre vers le respect des engagements signés le liant au Sytjust; c’est la conviction de l’Union Nationale des Syndicats Autonomes du Sénégal (Unsas) qui a décidé de s’impliquer entièrement dans la lutte pour soutenir les travailleurs de la justice dans leurs revendications.
L’organisation était en conférence de presse ce 06 août. Pour étayer son soutien, l’Unsas avance comme preuve la démarche déclinée en conseil des ministres de ce 5 août par le Président Macky Sall qui a décidé d’abroger les décrets dont le Sytjust réclamait la publication.
D’ailleurs, pour l’organisation syndicale, lesdits textes prévoient de nouveaux coûts dans les frais de justice pour alimenter le fonds commun des greffes et la création de nouveaux corps et hiérarchie chez les travailleurs de la justice. Ils viennent également modifier, selon le secrétaire général du Sytjust, Boun Aya Malick Diop, le texte qui régit le centre de formation judiciaire (CFJ).
Tout ceci a amené l’Unsas à interpeller le chef de l’Etat sur sa responsabilité de garantir le fonctionnement correct du dialogue social, de veiller au respect des engagements souscrits et surtout de pacifier le champ social. L’Unsas est formelle, le président Macky Sall doit obliger son gouvernement à jouer franc-jeu avec les partenaires sociaux.
S’appropriant la lutte du Sytjust, l’Unsas a donc décidé de mettre en œuvre un plan d’action autour duquel elle va mobiliser les travailleurs de tous les autres secteurs. L’union considère que rien ne peut justifier le refus d’appliquer les décrets qui formalisent les droits acquis après de longues et sérieuses séances de négociations avec le gouvernement.
L’organisation était en conférence de presse ce 06 août. Pour étayer son soutien, l’Unsas avance comme preuve la démarche déclinée en conseil des ministres de ce 5 août par le Président Macky Sall qui a décidé d’abroger les décrets dont le Sytjust réclamait la publication.
D’ailleurs, pour l’organisation syndicale, lesdits textes prévoient de nouveaux coûts dans les frais de justice pour alimenter le fonds commun des greffes et la création de nouveaux corps et hiérarchie chez les travailleurs de la justice. Ils viennent également modifier, selon le secrétaire général du Sytjust, Boun Aya Malick Diop, le texte qui régit le centre de formation judiciaire (CFJ).
Tout ceci a amené l’Unsas à interpeller le chef de l’Etat sur sa responsabilité de garantir le fonctionnement correct du dialogue social, de veiller au respect des engagements souscrits et surtout de pacifier le champ social. L’Unsas est formelle, le président Macky Sall doit obliger son gouvernement à jouer franc-jeu avec les partenaires sociaux.
S’appropriant la lutte du Sytjust, l’Unsas a donc décidé de mettre en œuvre un plan d’action autour duquel elle va mobiliser les travailleurs de tous les autres secteurs. L’union considère que rien ne peut justifier le refus d’appliquer les décrets qui formalisent les droits acquis après de longues et sérieuses séances de négociations avec le gouvernement.
Autres articles
-
Opération de patrouilles: La gendarmerie dresse un bilan de 28 interpellations, 99 cornets, 14 comprimés d'ecstasy, et deux moto saisis
-
Enseignement Supérieur : Ce que les étudiants attendent de leur ministre de tutelle
-
Création des « pôle-régions » dans le PROJET Pastef : Les interrogations de Mamadou Ibra Kane
-
Conseil des ministres : le président de la République demande un audit rapide des contrats d’affermage entre l’Etat du Sénégal (SONES) et SEN’EAU.
-
Evaluation des politiques et programmes Publics: Le Bureau d'Intelligence et de Prospective Économique (BIPE) mis en place à la Présidence