Le quartier de Mariste 1, à Scat Urbam, longtemps perçu comme une zone résidentielle moderne et paisible, vit aujourd’hui un tout autre visage. Devant les immeubles des Hilos 1 à 3, les eaux des fosses septiques débordent à ciel ouvert, rendant les routes impraticables et compromettant l’hygiène publique. À chaque saison pluvieuse, le même scénario se répète : routes dégradées, odeurs nauséabondes, prolifération de moustiques et un cadre de vie devenu insoutenable pour les riverains.
Les habitants, excédés, dénoncent une situation qui perdure depuis des années sans qu’aucune solution durable ne soit apportée. Les cars de ramassage scolaire refusent désormais d’emprunter ces rues boueuses et glissantes, obligeant les enfants à marcher dans les eaux stagnantes. « Je regarde les enfants traverser les flaques et parfois trébucher, ça me fait mal, mais je n’y peux rien », témoigne Bathie Fallou, surnommé Baye Fall, vendeur de café au bord de la ruelle. Son client, venu à pied pour éviter les ornières, abonde dans le même sens : « Je laisse ma voiture au loin pour venir ici. C’est inadmissible que les routes soient dans un tel état. »
Au-delà du calvaire quotidien, la situation a aussi un impact économique et social majeur. Les commerçants, vendeuses de légumes et boutiquiers de Mariste 1 voient leur chiffre d’affaires chuter drastiquement. Les clients, rebutés par la saleté et les difficultés d’accès, se font de plus en plus rares. Bathie Fallou, qui prépare un grand événement religieux devant rassembler plusieurs autorités, craint que la dégradation des rues ne compromette même la tenue de son programme.
Face à ce fléau, les habitants interpellent les autorités municipales et locales. Ils accusent le maire de passivité et appellent à une intervention urgente pour restaurer la salubrité et la mobilité dans leur quartier. Leur cri du cœur est clair : que Mariste 1 retrouve enfin le cadre de vie digne de sa réputation et que cessent ces souffrances qui ternissent le quotidien et la dignité de ses résidents.
Les habitants, excédés, dénoncent une situation qui perdure depuis des années sans qu’aucune solution durable ne soit apportée. Les cars de ramassage scolaire refusent désormais d’emprunter ces rues boueuses et glissantes, obligeant les enfants à marcher dans les eaux stagnantes. « Je regarde les enfants traverser les flaques et parfois trébucher, ça me fait mal, mais je n’y peux rien », témoigne Bathie Fallou, surnommé Baye Fall, vendeur de café au bord de la ruelle. Son client, venu à pied pour éviter les ornières, abonde dans le même sens : « Je laisse ma voiture au loin pour venir ici. C’est inadmissible que les routes soient dans un tel état. »
Au-delà du calvaire quotidien, la situation a aussi un impact économique et social majeur. Les commerçants, vendeuses de légumes et boutiquiers de Mariste 1 voient leur chiffre d’affaires chuter drastiquement. Les clients, rebutés par la saleté et les difficultés d’accès, se font de plus en plus rares. Bathie Fallou, qui prépare un grand événement religieux devant rassembler plusieurs autorités, craint que la dégradation des rues ne compromette même la tenue de son programme.
Face à ce fléau, les habitants interpellent les autorités municipales et locales. Ils accusent le maire de passivité et appellent à une intervention urgente pour restaurer la salubrité et la mobilité dans leur quartier. Leur cri du cœur est clair : que Mariste 1 retrouve enfin le cadre de vie digne de sa réputation et que cessent ces souffrances qui ternissent le quotidien et la dignité de ses résidents.