Le mobile semble terre à terre. Un coup de couteau pour une réponse juste et transparente. La sincérité aura valu la vie au jeune Elhadj Ibrahima Kandji.
Lundi 20 Septembre 2021, l’adolescent de 16 ans décide de se rendre à Lilas dans une commune voisine de son quartier pour voir un ami jouer au football. Le dernier match qu’il verra sans doute. Il est intercepté par un autre adolescent sur le chemin du retour, ce dernier le poignarde quand ibrahima répond à sa question « d’où viens tu? ».
C’est en réalité la réponse du jeune Ibrahima qui a suscité ce geste criminel. Lors de la marche organisée en l’honneur de Ibrahima, une habitante de Bagnolet déclare au média « AJ+ », « Nos enfants ont peur de sortir et quand ils sortent du territoire ils sont menacés par les adolescents des communes voisines ». C’est dire que depuis plusieurs années la Seine-Saint-Denis déplore des meurtres sur fond de rivalités entre quartiers et communes.
Pour rappel, aux Lilas un lycéen de 15 ans était aussi mort en 2019 dans des circonstances quasi-similaires.
Le jeune garçon est décrit lors de cet hommage comme un « gentil » avec un avenir prometteur dans le football. Ses parents, amis, proches et voisins ont pleuré sa mort et crié « Stop » aux meurtres dus à des rivalités malsaines qui ont arraché un être cher à leur affection.
Lundi 20 Septembre 2021, l’adolescent de 16 ans décide de se rendre à Lilas dans une commune voisine de son quartier pour voir un ami jouer au football. Le dernier match qu’il verra sans doute. Il est intercepté par un autre adolescent sur le chemin du retour, ce dernier le poignarde quand ibrahima répond à sa question « d’où viens tu? ».
C’est en réalité la réponse du jeune Ibrahima qui a suscité ce geste criminel. Lors de la marche organisée en l’honneur de Ibrahima, une habitante de Bagnolet déclare au média « AJ+ », « Nos enfants ont peur de sortir et quand ils sortent du territoire ils sont menacés par les adolescents des communes voisines ». C’est dire que depuis plusieurs années la Seine-Saint-Denis déplore des meurtres sur fond de rivalités entre quartiers et communes.
Pour rappel, aux Lilas un lycéen de 15 ans était aussi mort en 2019 dans des circonstances quasi-similaires.
Le jeune garçon est décrit lors de cet hommage comme un « gentil » avec un avenir prometteur dans le football. Ses parents, amis, proches et voisins ont pleuré sa mort et crié « Stop » aux meurtres dus à des rivalités malsaines qui ont arraché un être cher à leur affection.
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