Selon les statistiques de l’Unesco, 16 pays affichent de bons résultats, même si plus de la moitié des 59 millions d’enfants non-inscrits à l’école dans le monde vivent toujours au sud du Sahara.
Situé à 70% en 2012, le taux d’achèvement du cycle primaire plafonne toujours à 69% en Afrique subsaharienne en 2019 selon les données de l’Unesco (contre 92% en Inde et dans toute la région Moyen-Orient Afrique du Nord). Le niveau de l’Afrique subsaharienne, le plus faible du monde, s’explique par « la participation des enfants aux tâches agricoles, le manque d’installations scolaires, le manque d’enseignants et les frais de scolarité », selon l’Unesco.
Ainsi le Sénégal est absent des 16 pays d’Afrique ayant les plus forts taux d’achèvement de l’école primaire. Mais cela n’enlève en rien le mérite du Sénégal qui a plus misé sur la qualité. En effet, dès la publication du rapport, certains ont tiré vite des conclusions, en affirmant que le « Sénégal faisait partie des pays les moins avancés en matière d’éducation ».
Cela « est une mauvaise interprétation du rapport », a dit le directeur de la formation et de la communication, porte-parole du ministère de l’Éducation Nationale, M. Mohamed Moustapha Diagne. En effet, selon lui, « il est vrai que le taux d’achèvement est relativement faible, mais c’est parce que le ministère de l’Education nationale, insiste à travers le PAQUET sur la qualité des enseignements-apprentissages. »
En outre, au Sénégal, les taux d’abandon et de redoublement restent relativement élevés surtout en milieu rural ce qui justifierait un taux d’achèvement encore faible. Par ailleurs, il faut le rappeler, il existe au Sénégal des modèles alternatifs qui ne sont souvent pas pris en compte dans les évaluations de l’UNESCO.
Situé à 70% en 2012, le taux d’achèvement du cycle primaire plafonne toujours à 69% en Afrique subsaharienne en 2019 selon les données de l’Unesco (contre 92% en Inde et dans toute la région Moyen-Orient Afrique du Nord). Le niveau de l’Afrique subsaharienne, le plus faible du monde, s’explique par « la participation des enfants aux tâches agricoles, le manque d’installations scolaires, le manque d’enseignants et les frais de scolarité », selon l’Unesco.
Ainsi le Sénégal est absent des 16 pays d’Afrique ayant les plus forts taux d’achèvement de l’école primaire. Mais cela n’enlève en rien le mérite du Sénégal qui a plus misé sur la qualité. En effet, dès la publication du rapport, certains ont tiré vite des conclusions, en affirmant que le « Sénégal faisait partie des pays les moins avancés en matière d’éducation ».
Cela « est une mauvaise interprétation du rapport », a dit le directeur de la formation et de la communication, porte-parole du ministère de l’Éducation Nationale, M. Mohamed Moustapha Diagne. En effet, selon lui, « il est vrai que le taux d’achèvement est relativement faible, mais c’est parce que le ministère de l’Education nationale, insiste à travers le PAQUET sur la qualité des enseignements-apprentissages. »
En outre, au Sénégal, les taux d’abandon et de redoublement restent relativement élevés surtout en milieu rural ce qui justifierait un taux d’achèvement encore faible. Par ailleurs, il faut le rappeler, il existe au Sénégal des modèles alternatifs qui ne sont souvent pas pris en compte dans les évaluations de l’UNESCO.
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