Un observatoire intégré santé-environnement vient d'être mis en place. L’observatoire va jouer un rôle d’alerte avec un suivi régulier et de l’information produite pour pouvoir éviter les catastrophes dues à une mauvaise utilisation des produits chimiques, a indiqué Mme Niane, Docteur Raky Thiaw Conseillère Technique du MEED.
Une initiative d’autant plus salutaire que 2,4 millions de personnes par an meurt des causes de décès liées à la dégradation de l’environnement, a indiqué Mme Niane.
« Donc en plus des différents éléments (convention, déclaration ou encore plans d’action), il est nécessaire de mettre en place cet observatoire qui permet de suivre l’utilisation des produits chimiques mais aussi pouvoir observer, traiter et aider les gouvernements à des prises de décision éclairées mais aussi sensibiliser les populations » a-t-elle laissé entendre.
« Et là c’est avec l’appui du FEM et c’est une solution salutaire que l’on espère très fructueuse pour la suite » ajoutera t’elle.
Le lancement de l’observatoire a réuni des experts de plusieurs secteurs, ce qui montre cette nécessité « de sortir de ce cloisonnement », a dit Mme Niane. « Toutes les structures qui sont là sont liées avec des acteurs qui utilisent ces produits ou les manipulent. Cette diversité dans la salle nous donne espoir des différents éléments qui seront mis en place » a-t-elle conclu.
Mamadou Fall du centre antipoison a, à sa suite, indiqué aussi que cet observatoire est très important, et va permettre de renforcer ce que nous avons actuellement en terme de coopération entre la santé et l’environnement. « Depuis longtemps le Sénégal a compris qu’il y a des liens très forts entre la santé et l’environnement. Les produits chimiques sont indispensables, et il est très difficile de vivre sans. Mais sous certaines conditions de manipulation on peut les utiliser ».
Une initiative d’autant plus salutaire que 2,4 millions de personnes par an meurt des causes de décès liées à la dégradation de l’environnement, a indiqué Mme Niane.
« Donc en plus des différents éléments (convention, déclaration ou encore plans d’action), il est nécessaire de mettre en place cet observatoire qui permet de suivre l’utilisation des produits chimiques mais aussi pouvoir observer, traiter et aider les gouvernements à des prises de décision éclairées mais aussi sensibiliser les populations » a-t-elle laissé entendre.
« Et là c’est avec l’appui du FEM et c’est une solution salutaire que l’on espère très fructueuse pour la suite » ajoutera t’elle.
Le lancement de l’observatoire a réuni des experts de plusieurs secteurs, ce qui montre cette nécessité « de sortir de ce cloisonnement », a dit Mme Niane. « Toutes les structures qui sont là sont liées avec des acteurs qui utilisent ces produits ou les manipulent. Cette diversité dans la salle nous donne espoir des différents éléments qui seront mis en place » a-t-elle conclu.
Mamadou Fall du centre antipoison a, à sa suite, indiqué aussi que cet observatoire est très important, et va permettre de renforcer ce que nous avons actuellement en terme de coopération entre la santé et l’environnement. « Depuis longtemps le Sénégal a compris qu’il y a des liens très forts entre la santé et l’environnement. Les produits chimiques sont indispensables, et il est très difficile de vivre sans. Mais sous certaines conditions de manipulation on peut les utiliser ».
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