Pourquoi le discret khalife des mourides s'est-il mêlé de la crise de l'éducation ?


Pourquoi le discret khalife des mourides s'est-il mêlé de la crise de l'éducation ?
DAKARACTU.COM La particularité de Serigne Sidy Makhtar Mbacké reste sa discrétion et sa neutralité face aux problèmes temporels qui peuvent secouer le Sénégal. Ce 21 avril, il a rompu cette tradition et, par la voix de son fils, Serigne Cheikh Thioro Mbacké, il a demandé aux enseignants d’interrompre leur mouvement de grève et de s’investir pour aider le nouveau chef de l’Etat à réussir sa mission. Cette déclaration n’a rien de fortuit, elle est le fruit d’un long tête-à-tête entre le khalife général des mourides et Ibrahima Sall, ministre de l’Education, par ailleurs son neveu. Ibrahima Sall dirigeait la délégation gouvernementale qui assistait au Magal du khalife à Mbacké Kadjoor, accompagné de Aminata Tall, Aminata Mbengue Ndiaye, Moustapha Cissé Lô et Cheikh Bamba Dièye. Il s’est isolé avec son oncle après que celui-ci ait reçu toute la délégation. Que lui a-t-il dit pour l’amener à aller si loin dans son soutien à la politique du nouveau président de la République ? Mystère et boule de gomme…
Dimanche 22 Avril 2012



Du plus récent au plus ancien | Du plus ancien au plus récent

29.Posté par Ablaye Wade le 23/04/2012 16:32
Bethio est une malediction, il faut l'enrayer une bonne fois




Pendant ce temps, regardez ces images extraordinnaires des iles du Saloum, pour changer de tempo un peu et decompresser,

Bethio est une calamité.

28.Posté par WAKH DEUGUE le 23/04/2012 12:32
Desna touti kene dou khole Dakaractu!

27.Posté par WAKH DEUGUE le 23/04/2012 12:28
CYS est vraiment un mal intentionné!
Et un de ces jours il sera mis à nu!
Retourne à Jeune Afrique c'est mieux pour toi!

26.Posté par bb le 22/04/2012 23:00
je pense se déba ne doi pas etre posé maqué de respé a no guide ces se manqué de respé soi méme vous ne vous posé pa la quéstion de savoi pour koi le sénégal et diférent des autre pays alor que nous partagons le méme continent cet diférense et que nous avont mama bamba mame mowdo mame limanou mame abdalaye mama chiekh omar et tant d autre en tan ke jenne nous devon consolidé cé aqui dognou ak toubab té toubab bi diarna founé pour tas sénégal khoul foumiy diar motakhsi tarikhayi la begue diar pour tasarégnou magni nak déf nane lilén si warr nioun gno si warrabay sounou waar

25.Posté par Sedar le 22/04/2012 16:11
Il n ya rien de nouveau dans cette demarche du khalif Cheikh Sidy Mokhtar Mbacke pour regler les differences entre les acteurs sociaux et le gouvernement rappelais vous du conflit des transporteurs ,du personel sanitaire et tout recemmment durant les elections .
Il a joue son role de regulateur sociale et j espere que le mouvement sibdicale et les etudiants auront la sagesse de l ecouter et de reprendre les cours pour l interet national.

24.Posté par Un passant le 22/04/2012 15:22
@Maalick

Problablement ! mais je dirais que c'est toute la société sénégalaise qui est malade pas seulement le système éducatif !!

Kheweul

23.Posté par llkkkk le 22/04/2012 14:54
diarul thiow kou amoul kilifeu sheytané done seu kilifeu walahi kou khamone cheikh ahmadou bamba kham mame abdou do tok fi di yeukeuti ay wakh surtou di diguat lokoum dinoukoum waliya dini la yalla wakh

dafa am nit yo khamni geum geum lanu amul seytané meun len beu nu tok sey canamou ordinateur di tiow bagn mouride bagn tijan té lep di yonu dioulite donc nanu sante yalla .

22.Posté par Ramdo le 22/04/2012 14:53
A talibe sa yone nekoul thi mane

21.Posté par maalik le 22/04/2012 14:50
@{UnPassant;Mor Khar}

Fort possible que nous disions à peu près la même chose sous des angles différents...C'est aussi l'intérêt des échanges!

Le système éducatif est sérieusement malade!

Appel solennel à MM. Mody NIANG, Mandiaye GAYE, Pr Abdoulaye BATHILY, Ousmane BADIANE,..pour ne citer que ceux-là, à aider spontanément le ministre de l'éducation dans la recherche de solution durable!

Jamm ak xeweul

Cordialement




20.Posté par Un passant le 22/04/2012 14:12
@Maalick

JE suis entierement d'accord quand tu parles de Wade en ces termes " Ce n'était pas, comme WADE, pour amener des mallettes remplies de billets de banque!

Il y a eu des mutations dans la société et jusque chez les guides religieux! Les hommes ne sont plus les mêmes et les modes de "guidage" non plus! Les descendants, chambellans et "talibés" sont mus par d'autres intérêts!"

Mais je voudrais dire que ce sont les sénégalais qui ont changé ...! et qui ne veulent entendre que ceux qu'il veulent .!!

Je disait tantot que la vraie revolution au Sénégal ce sera celle des mentalités et des comportements.!! Peut être aussi devront nous s'entrendre toi et moi sur ce que tu appelles guide religieux ? may be c'est la ou se situe notre profond desaccord !!

Le problemes de l'education au Sénégal c'est un probleme global qui date depuis des années ! toutes solutions qui sera trouvées aujourd"hui devra permettre de sauver l'année en termes de validité mais une refont globale et du système et des acteurs s'imposent ! A mon sens

Kheweul !

19.Posté par Un passant le 22/04/2012 13:56
Je me rends compte que entre Mor Khar et Malick je me ( "p"elange les "m"edales )!
Désolé !

18.Posté par Un passant le 22/04/2012 13:54
@ Malick

Quand tu dit : NE DEPLACEZ PAS LE DEBAT QUI EST AILLEURS ! LE SUJET C'EST L'ECOLE SENEGALAISE EN CRISE ! ::


Avec ta permission je me permet de rependre ton 1er post :

"Ce serait encore mieux, s'il s'exprimait, haut et fort, comme le faisait Dabakh ! Arretez de défendre les marabouts vaille que vaille (le "discret" Untel). Osez analyser leurs déclarations et positions comme vous le faites avec les hommes politiques. car ils sont des citoyens comme nous et ne sont en rien supérieurs à nous !!! En tous cas, pas à moi.

Un Guide ne murmure pas, il indique tout haut ce qui peut être utile à ceux qu'ils dirigent.

Un Guide ne murmure pas, il indique tout haut ce qui peut être utile à ceux qu'ils dirigent.

Un Guide ne murmure pas, il indique tout haut ce qui peut être utile à ceux qu'ils dirigent.

Un Guide ne murmure pas, il indique tout haut ce qui peut être utile à ceux qu'ils dirigent."

Voici ton 1er post auquel j'ai répondu !! Donc si tu trouves que je déplace le débat ... ! je devient Bouche Béee !! ou bien quelque d'autre pourrait le dire mais pas toi !!

Amicalement !!


17.Posté par Un passant le 22/04/2012 13:50
@ Maalick (Je suppose que ton post est en réponse au mien et non à Mor Khar ...)

Tu noteras que je réponds à tes écrits et particulièrement à un point (sur ton sois disant ordre protocolaire de visite) et je l'assume dans la mesure l'article de Dakaractu est suffisamment vide et souffre d'une manque chronique de teneur pour que je puisse en débattre. Ma règle prudentielle vis à vis de nos médias est claire !! Je ne debattrai jamais d'un sujet repris par nos médias tant que la véracité n'est pas mise en exergue !! Sutout dans un texte ou je vois aucun Guillemet pour citer le Khalif ou son fils ...! donc que des dires du "Journaliste"

Pour en revenir à ton point sur la Laicité de la Republique, je pense que tu omets un point important quand on parle de Republique donc de démocratie , un des piliers reste "La règle de la majorité" (Si je puis me permettre de te renvoyer dans la defiition du mot démocratie" ! Donc vouloir faire fi du poids des confréries (Tous Sunites et Malekites) pour imposer ton "protocole républicain" me pose un problème de cohérence.

Vouloir déplacer la discussion sur la Sainteté de Mame Abdou 'Que Dieu soit Satisfait de lui" et celui du Khalife des Mourides à cause de leur moyen de communication (tjrs selon Dakaractu à travers ces quelques lignes où on a pas d'enregistrement sonore ni rien qui puisse conforter leur propos ) pour moi relève d'une masturbation intellectuelle ... dont je me passerai volontier.

Merci pour le tuyau : Diéri DIOP et Kanar FALL. !! Mais tu noteras que le Leg de Mame Abdou (RTA) et nos Erudits constituent pour moi une source intarissable de Moralité !!

Avec tous mes respects

Salam

16.Posté par témoin le 22/04/2012 13:49
erratum: pour des interets bassement politiciens, pouvoir et opposition confondus, devrais dire!

15.Posté par talibé le 22/04/2012 13:46
a ramdo
Je suis vraiment consterné par tes paroles qui n’honore pas du tout!! En bon talibé mouride du devrais t'inscrire dans cette optique de discussion certes contradictoire mais saine et respectueuse. chimmmmmmmmmmm!!!!!!!
En passant, je salue un passant , Malick et Mor khar. Vous êtes vraiment des civilisés.

14.Posté par témoin le 22/04/2012 13:45
le probléme avec l'opposition sénégalaise c'est qu'elle n'a pas de position républicaine par rapport aux problemes nationaux, regardez ceux qui sont au pouvoir aujour'dhui, j'en connais certains qui ont attisé le feu et pris position pour la gréve des enseignants parcequ'ils la jugéaient légitime.Pour des incertains bassement politiciens , ils approuvaient cette gréve et se montraient solidaires avec les enseignants pour destabiliser le régime d'alors et parmi eux l'actuel ministre de l'éducation.Nous constatons qu'à l'heure actuelle, ils n'ont qu'un souci apaiser le climat scolaire comme si sous wade tout était permis et normal quitte à sacrifier l'avenir des enfants.cette délégation s'acccroupit devant le calif des mourides pour pleurer et implorer son intervention salutaire, le ministre de la fonction publique juge irréalistes les revendications à incidence gudgétaire, le ministre de l'éducation demande une tréve.sacré senegal où pour des raisons partisans les positions et idées changent; en réalité les politiciens pouvoir et pouvoir confondus doivent être patriotes et accépter de faire front commun quand l'interet superieur de la nation est en jeu, mais c'est trop demander à des hypocrites?

13.Posté par maalik le 22/04/2012 13:40
@Passant

Merci pour ton ... passage !

L'intelligence de L.S. Senghor et sa connaissance de l'Etat était telle qu'il ne serait jamais d'abord allé vers l'Archevêque même si les chrétiens majoritaires !!!!

Les élèves, parents d'élèves, enseignants, dirigeants ne sont-ils pas essaimés dans ces chapelles religieuses ?

Si tu l'ignores, je t'apprends que le premier lycée de Tambacounda a été construit par Feu Mame Cheikh MBAYE dit Djily ! N'est-ce pas un mouride fervent?

NE DEPLACEZ PAS LE DEBAT QUI EST AILLEURS ! LE SUJET C'EST L'ECOLE SENEGALAISE EN CRISE !

Il n'est pas question de chapelle politique mais de contribution à apporter des solutions à des problèmes concrets.

Tu donnes l'exemple de Senghor sans mesurer tout le sens et la portée! Senghor n'allait pas quémander des "paroles" car tu as bien dit toi-même qu'il discutait de programmes ! Ce n'était pas, comme WADE, pour amener des mallettes remplies de billets de banque!

Il y a eu des mutations dans la société et jusque chez les guides religieux! Les hommes ne sont plus les mêmes et les modes de "guidage" non plus! Les descendants, chambellans et "talibés" sont mus par d'autres intérêts!

Et si maintenant vous prétendez et persistez à poser la question sous l'angle d'appartenance confrérique, qu'attendez-vous pour régler les problèmes posés sous se rapport ? Nous attendons alors tranquillement les guides religieux somment les élèves et les enseignants de regagner les salles de classe!

Il est ici question de l'école sénégalaise et non d'appartenance confrérique!

Et en parlant de crise dans les autres pays, c'est justement l'aveuglement qui risque de mettre le feu aux poudres! Et personne ne le souhaite! Alors arêtez le cirque!

().







12.Posté par Maître Ousmane Ngom le 22/04/2012 13:19
Ousmane Ngom solde ses comptes sur le dos travailleurs du Groupe Sopi Médias
Les travailleurs du groupe sopi médias (Gsm) qui n’ont pas encore perçu leurs salaires du mois de mars, risquent de prendre leur mal en patience. Ce retard excessif serait dû à un climat délétère qui régnerait à la tête de la structure administrative qui pilote ce groupe de presse. L’ex ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur Ousmane Ngom à qui le Président Wade avait confié la coordination du groupe, est aujourd’hui à couteaux tirés avec les responsables qu’il avait choisis pour faire tourner la radio Sopi fm et l’hebdomadaire du même nom. Aujourd’hui, il refuse de payer les salaires du personnel prétextant un recadrage et une remise de l’ordre dans les affaires de la maison de presse. Ousmane serait en effet très remonté contre Salam Diop, Mansour Sow et Mamadou Dieng qui constituent le collège dirigeant de la boîte.
Que reproche Me Ngom à ces derniers ?
Depuis l’inauguration en grandes pompes de Gsm, ces trois responsables ci haut-cités se sucraient sur le dos des travailleurs en faisant de la surfacturation pour les dépenses de fonctionnement et en gonflant de noms fictifs les états de paiement du personnel. Le ministre Ousmane Ngom occupé à gérer son ministère embourbé dans la préparation des élections et au maintien de l’ordre dans un pays en précampagne électoral avec toutes les tensions qui sourdaient de partout, avait entière confiance en ce trio qui suçait les travailleurs du groupe. « Certes, les salaires ne venaient pas en retard mais le budget de fonctionnement était géré dans la plus grande opacité. En outre, les salaires dérisoires qu’ils payaient au personnel étaient différents des sommes qui figuraient sur les états présentés au boss », confie un journaliste du groupe qui ajoute : « un jour Ousmane est venu inopinément à la radio en l’absence des responsables. Dans la discussion à bâtons rompus que nous avons eue avec lui, il en est ressorti que les personnes qu’il avait responsabilisées ne sont pas nettes. Ce jour là, il avait dit devant une dizaine de techniciens et de reporters qu’il dégageait tous les mois 11 millions FCFA pour le fonctionnement et les salaires. Alors que même pas la moitié n’entrait dans Sopi ». C’est depuis ce jour que le ministre a commencé à se méfier de DIENG et de SALAM qui se sucraient sur le dos des journalistes, techniciens, vigiles et chauffeurs de Sopi. Me Ngom veut remettre de l’ordre à Gsm mais en attendant qu’il solde ses comptes avec les gestionnaires véreux, les travailleurs de la boîte trinquent toujours… les sous ne tombent toujours pas.

11.Posté par ramdo le 22/04/2012 13:14
yen gneup sen lefeul ndaye yen gniy am louguen di wakh thi yonou mouride sen thiotou ndaye heure bouguene yewo domou thiotou ndayam yi guene done sen tounouuuuuuuuuuuuuuu ndaye heure bouguene lire message bi so faye sa machine bi sakh sa thiotou ndaye sene tounou baye chak second

10.Posté par Momar Idrissa Ndiaye le 22/04/2012 13:14
ANNEE-BLANCHE : UNE CATASTROPHE NATIONALE

EXTREMISME SYNDICAL :
La grève générale, tout comme la grève illimitée, pose quelques problèmes éthiques et peut-être même juridiques. Le droit de mener des négociations collectives, ou le droit de poser des revendications de conquête ne devrait pas en mon sens aboutir à ces grèves extrêmes (18 PLANS D’ACTION DU CUSEMS, sans le moindre succès). Au passage, soulignons la stratégie inefficace : Il est urgent de s’arrêter et d’analyser les objectifs en rapport avec la démarche et surtout d’ajuster cette dernière aux réalités, à toutes les réalités.

CONTEXTE POLITIQUE ET ECONOMIQUE :
Les réalités politiques font qu’aucun ENGAGEMENT FINANCIER, allant dans le sens de la résolution de la crise scolaire et universitaire, ne sera sérieusement envisageable avant les élections législatives du MOIS DE JUILLET. Tant par la tension des finances publiques que par l’absence de majorité parlementaire indispensable à l’action gouvernementale (LOI DE FINANCE RECTIFICATIVE par exemple). Non, il ne faut surtout pas perdre une seule minute pour LEVER TOUS LES MOTS D'ORDRE de grève et essayer de sauver cette année académique, largement compromise. L’année-blanche est une CATASTROPHE NATIONALE : Au-delà du BUDGET consommé et du manque à gagner en termes de DIPLOMES, tous les apprenants, futurs travailleurs, perdent une année de carrière-professionnelle et par conséquent, UN SALAIRE ANNUEL.

DROIT FONDAMENTAL A L’EDUCATION :
Ne jamais perdre de vue que le DROIT A L’EDUCATION, parce qu’il est un DROIT FONDAMENTAL, prime sur le droit de grève. D’ailleurs les droits fondamentaux ne recouvrent la plénitude de leur sens que lorsqu’ils sont opposables à l’Etat. Je dis bien DROIT OPPOSABLE. C’est-à-dire que l’Etat doit prendre toutes les dispositions utiles, en amont et en aval, pour que les droits des élèves et étudiants soient strictement respectés. L’Etat de droit garantit aux citoyens une bonne distribution de la justice. Il faut rendre justice aux apprenants, par conséquent toujours arbitrer et parfois même trancher. Et trancher, ça fait mal.
M. Momar Idrissa NDIAYE, Professeur LETFP / Thiès

1 2


Dans la même rubrique :