Pourquoi Moustapha Niasse ne sera pas le candidat unique de Bennoo Siggil Senegaal ?

, c'est l'expression maison quand on s’apprête à accoucher d'une ineptie.
Décidément!

On dirait la météo. Pas une journée ne passe sans que vous ne presentiez un scénario. Travaillez sur les faits et arretez les supputations. Ca commence à bien faire quand même. Bon courage pour la suite.

la non-candidature de Niass ne constituerait une surprise pour personne

une candidature ps n'est t'elle pas riquée avac les dossiers de wade et les souvenirs vivaces de l'ere diouf

De toutes facons personne ne votera Tanor. on a pas encore oublie tous les mefaits du PS. Si aujourdhui Maitre WEDDI est la c'est grace aux conneries du PS. DONC ni WADE, ni TANOR, Ni IDDY.

Amadou Fall Enseignant à GUINGUINEO
TEL : 775457544/766887279
Zemaria64@yahoo.fr/Zemazia64@hotmail.fr
OPINION :
Qui pour sauver notre peuple et notre pays en 2012 ?
“Dêgg puso la, kune mënakoo for”
“Xel itam, bu doon jay ca jaba, dafay lamb”
(Loin de moi, la sordide prétention de détenir le monopole de la vérité).
Wade est candidat déclaré (depuis fort longtemps) pour les joutes électorales de 2012. Jusqu’ici rien d’extraordinaire, me dirait-on : c’est le contraire qui aurait surpris pour ceux qui connaissent ce chantre du dédire, cet aède de la volte-face, ce barde des retournements de veste. Depuis un certain temps, des indices sérieux discernés tout le long de son magistère, de son règne (qui dure depuis un peu plus de dix ans déjà) nous indiquent objectivement que notre cher Président national n’a jamais eu la moindre intention de renoncer de son plein gré au troisième mandat que tous les constitutionnalistes raisonnables, posés et sérieux nous présentent comme de trop ?
De compromis en compromis, de reniement en reniement, de subterfuge en subterfuge, l’homme Wade et ses affidés s’entourent sans aucun état d’âme de garanties atrabilaires, ténébreuses et nébuleuses : seule compte à leurs yeux obscurs, l’ancrage et la pose effective de tous les jalons nécessaires au balisage du chemin qui mène allègrement à l’ivresse dues aux soirées de victoire électorale, surtout en 2012.
Que ne fera t-on pas pour se remettre de 26 ans d’opposition, d’afflictions, de diète et d’austérité ? Wade, nous semble-t-il, est toujours sur sa belle lancée, celle qui consiste à s’assurer ses arrières, à lui, à sa famille et à ses partisans (tant leurs crimes économiques et autres forfaits font légion), en s’accrochant de toutes ses forces, comme sur une bouée de sauvetage, à son obnubilant et obsessionnel schéma de dévolution monarchique du pouvoir. Oui, Abdoulaye Wade, on se bat pour vous réélire pour un autre…..
Mais ce qui est important me direz-vous, c’est ce que WADE aura fait de notre beau pays en l’espace de ses dix années de pouvoir. En somme qu’est-il advenu du Grand SENEGAL durant toute cette période ? Qu’en est-il advenu du pays de SENGHOR l’inlassable bâtisseur de la Nation et de ABDOU DIOUF l’administrateur de génie
Les plus optimistes d’entre les Sénégalais pensent que nous sommes au bord de la catastrophe nationale tant le régime Wadien est « génocidaire » pour la majorité de « goorgoorlu » qui tire le diable par la queue à longueur d’année pour subsister. Aujourd’hui le brave peuple Sénégalais ne se reconnaît plus, il perd de jour en jour ce qui faisait jadis sa fierté c’est-à-dire son unité, son génie, son sens aigu de l’Etat et de la République, ses vertus de « jom », de « sutura » et de « fulla ». En une décennie le pouvoir libéral aura eu raison d’un pays longtemps cité en tète de peloton en Afrique au Sud du SAHARA.
Il (notre SENEGAL à tous) est devenu le lit doré de la corruption et de la démagogie, du népotisme et du larbinisme, de la démesure et des tâtonnements, des flagorneurs et des incultes. Bref, notre pays se meurt et tout doucement glisse vers l’apocalypse. La société sénégalaise dans son ensemble est en plein désarroi devant le spectacle peu reluisant que lui offrent sa jeunesse désemparée (Barca ou Barsàq – liggéey mbaa dee) face au spectacle ahurissant de ses espoirs envolés, l’impunité accordée aux vilains brigands qui délestent de nos biens publics, ses hôpitaux plus malades que les souffreteux, son école impubère, renversante et immature, les délestages quasi permanent qui transforment les ateliers d’artisans et les PME en « banc jaaxle », son habitat austère et menacé par les intempéries et autres calamités naturelles, ses dirigeants amorphes et cupides (le Président qui s’achète de manière opaque et nébuleuse un terrain à prés d’un milliard et deux cents millions), la hantise quotidienne pour l‘acquisition des denrées de premières nécessité. Le sénégalais lambda craint aujourd’hui pour sa sécurité, pour la sécurité de son pays actuellement pris en otage par des pouvoiristes ; il assiste, impuissant aux viols répétés de sa charte fondamentale, au bâillonnement et à la crétinisation de ses institutions par un pouvoir trop proche du despotisme. Le sénégalais lambda est de plus en plus dégoûté par les scandales politico financiers (le Premier Ministre qui accuse avec l’affaire Landing le Président de corrupteur), pat les sales affaires de mœurs (affaire Diombass) voire d’odieux crimes impunis (assassinat sans vergogne de Malick Ba à Sangalkam, de Abdoulaye Wade Yinghou, de Balla Gaye etc.…) qui, au quotidien lui enflamment les oreilles et lui empoisonnent le cœur.
Ainsi, vous conviendrez avec moi que le SENEGAL est gravement malade et qu’il a rudement besoin d’un médecin : « maggat mu feebar foo laal mu metti ».
Ce médecin dont je veux parler aujourd’hui (vous me comprenez certainement), n’est à mon avis que le futur quatrième PRESIDENT de ce pays. Je ne spéculerai pas sur les potentiels candidats de la Société Civile qui peuvent évidement révéler l’oiseau que nous recherchons tous. Je sais seulement que l’histoire politique de notre pays ne plaide pas en leur faveur. Aucune candidature individuelle jusqu’ici n’est arrivée à capter ne serait-ce que 1% de l’électorat National. Les grands cadres qu’ils sont, à mon humble avis, traînent le lourd handicap de leur « éloignement » des réalités du quotidien de notre pays.. Ils payent peut-être leur manque de proximité avec le petit peuple qui, du reste ne vote ni les programmes, ni les idéologies mais plutôt les liens affectifs que seuls savent procurer mitoyenneté et le contact permanent dans le combat quotidien et invariable contre les souffrances.
J’en reviens donc au profil du « MESSIE politique » seul capable de sauver notre pays dont la déliquescence est sans précédent. Cet Homme (ainsi je ne risque plus le courroux des féministes) doit charrier avec lui des qualités de rassembleur d’abord, pour soigner les errements de WADE avec la religion ,avec les communautés ,avec les sensibilités de tout ordre ; ensuite des qualités d’homme d’ ETAT mûr pour recorriger la copie de WADE dans sa conduite calamiteuse des affaires de la République et enfin des qualités de visionnaire inspiré, de planificateur adroit et de décideur impartial pour remettre rapidement ce pays au travail. De tels atouts ne peuvent aucunement habiter les mains d’un novice qui sera obligé, une fois au pouvoir, de consacrer du temps pour apprendre à diriger et à gérer un pays ; ce qui est incontestablement à la base de tous ces errements qui ont fini de nous perdre sous Wade. Le SENEGAL ne peut plus se permettre à sa tête un PRESIDENT venu aux affaires pour apprendre : il lui faudra en 2012 un Homme avec un vécu réel, une expertise déjà expérimentée, un savoir –faire issu d’une pratique quotidienne des affaires de l’Etat ; des vertus morales au dessus des soupçons de bas étages : des relations internationales solides et maîtrisées ; une aura politico- économique avérée. Cet Homme devra être un homme de consensus capable de fédérer toutes les énergies de notre peuple ; il devra réveiller une fois encore l’engouement et l’élan populaires post élections 2000 que WADE n’a pas su gérer intelligemment au profit du pays. Ce PRESIDENT providentiel devra être l’icône de la vérité due à la Nation en se préservant de toutes les dérives politiciennes propres à ceux qui veulent régner à la place de gouverner mais aussi en s’attelant à la préservation et au partage équitable des ressources nationales. La modestie et le sens du dialogue devront constituer le socle où reposeront ses aspirations pour le peuple car sans la responsabilité partagée, un pouvoir se mue très vite au culte de la personnalité. N’est-ce pas WADE, seule constance du PDS ?
La connaissance du pays profond et l’attachement à nos valeurs culturelles et cultuelles, le détachement par rapport aux appartenances (politiques, sectaires ou autres) et l’équidistance entre les composantes de la nation seront attendus chez notre Homme car le SENEGAL a besoin de paix et de sérénité. En outre pour peu, je dirai qu’il nous faut un LEADER, un charismatique afin de mieux booster le génie de ce peuple car les sénégalais n’attendent que celui qui est capable de mériter leur confiance.
Chers frères sénégalais, loin de moi toute idée partisane( bien que je me sente plus proche de Bennoo) mais je sais qu’il nous faudra faire beaucoup attention face aux vendeurs d’illusions. Ma conviction est que MOUSTAPHA NIASS, le Leader de l’AFP semble mieux indiqué qu’un TANOR DIENG du PS pour faire l’affaire. Il faut aujourd’hui dépasser les rancunes du passé, les incompréhensions et les ambitions démesurées, l’avenir de ce pays vaut tous les sacrifices, toutes les compromissions et tous les renoncements. Je ne viens pas ici pour vous dicter un choix car comme tout bon citoyen, comme simple mortel, je sais que « Bët du giss li koy fatt ». Mieux encore : « nul ne détient le monopole de la vérité ». Ma seule motivation jusqu’ici reste le fait de lancer un débat (au sein des partisans de Bennoo) qui, rationnellement conduit (c’est –à dire sans passion aucune) pourrait nous valoir des satisfactions. L’heure est si grave que nous n’avons plus le droit de nous tromper.
Amadou Fall Enseignant à GUINGUINEO
TEL : 775457544/766887279
Zemaria64@yahoo.fr/Zemazia64@hotmail.fr

Merci Amadou Fall vous avez vu JUSTE..

NIASSE a de loin le meilleur profil pour faire gagner BENNO. 1/ Le pays a besoin d''un homme rassasié sinon ce sera dans la continuité le vol et la corruption parce que la voie a déjà été tracée. 2/ le Sénégal vit une crise énergétique qui perdure et seul un homme avec un carnet d''adresses véritables peut négocier l''annulation de la dette contractée auprès des pays arabes par le régime actuel et NIASSE peut y arriver. 3/ Le pays n''a pas besoin d''apprenti pour diriger les affaires de l''ETAT. Voici un homme d''expérience qui de par sa carrure, ses relations, a toujours conseillé des CHEF d''ETAT qui n''ont jamais sous estimé sa dimension intellectuelle, politique et surtout son sens de l''ETAT 4/ Sollicité de partout le monde via les NATIONS UNIES, l''UNION AFRICAINE ,LES CONFLITS DES GRANDS LACS et j''en passe, pourquoi pas le SENEGAL pour l''AFFAIRE CASAMANCE, L''ENERGIE, LA CORRUPTION mais surtout LE RETOUR AU SENEGAL DE NOS RICHESSES VOLEES, pour enfin nous sortir de la situation dans laquelle nous sommes. 5/ Le régime en place avait affiché l''ambition de rester 50ans au pouvoir. Alors attention. Je n''ai rien contre MACKY SALL et l''APR mais l''appartenance au PDS n''est pas à sous estimer et c''est pourquoi le plus grand risque pour le SENEGAL ET plus particulièrement BENNO, c''est de se retrouver derrière l''APR car les transhumants sans vergogne sont près à rejoindre le nouveau élu surtout, si c''est l''APR qui va au second tour alors là, la continuité est assurée. A MON HUMBLE AVIS D''APOLITIQUE, BENNO a tout intérêt à se ranger derrière NIASSE et le SENEGAL à porter son choix sur NIASSE qui a beaucoup fait pour beaucoup de pays en AFRIQUE. OBJECTIVEMENT c''est le seul candidat qui pourra faire face aux gens d''en face.