La députée Maïmouna Bousso, pour sa part, a appelé à des réformes dans la distribution des bracelets électroniques au Sénégal, soulignant l'importance de garantir une utilisation équitable et efficace de cette mesure alternative à la détention.
Le bracelet électronique a été introduit au Sénégal en 2020 comme une alternative à la détention provisoire et un mode d'aménagement des peines. Il permet alors de surveiller les mouvements et les activités des personnes condamnées, tout en leur permettant de poursuivre leurs activités quotidiennes.
Cependant, des inquiétudes ont été exprimées quant à la distribution et à l'utilisation de ces bracelets, notamment en ce qui concerne les coûts et les critères de sélection des bénéficiaires.