A ce monde encore altier
Tu offres femme le must toujours entier
De la patience pain de génisse
De la cadence fille des prémices
A notre monde hurlant bruissant
Tu rappelles avant la pelle
Femme qu’il n y de puissant
Que le seul résistant à la pelle
Le créateur qui sans ratures
T’a fait femme porter les créatures
Oui femme tu es et as le fardeau
De la locomotive du train
Qui glisse sur les rails en sac à dos
Du monde par moment sans frein
Ce train-là femme qui faillit sous les dictatures
Et qui tient encore femme par Dieu et ta stature
Parce que femme tu as choisi le pénible
Toi qui est de la classe des paisibles
Parce femme tu as opté pour le splendide
Toi qui pourtant n’es point de la masse des candides
Tu es et as la lucide lueur de la lente pensée
Tu es et as aussi la limpide sueur garante de panacée
Femme montre ta joie splendide
Oui femme montre en nous humains le limpide
Montre la joie au train qui roule et déroule du monde
Oui montre la en vrai au-delà des ondes
Montre femme ta joie paisible
Et belle malgré le pénible
Montre femme ta joie splendide
Et réelle malgré les affres d’un monde cupide
Un monde follement rapide
Un monde souvent rabat-joie et si stupide
Un monde à éclairer encore
Par ta joie encore et encore
Oui femme montre le splendide intérieur
Monte le bien en drapeau au-dessus des extérieurs
Mamadou Ndione
Mandione15@gmail.com
Poème du 08 mars 2014
Tu offres femme le must toujours entier
De la patience pain de génisse
De la cadence fille des prémices
A notre monde hurlant bruissant
Tu rappelles avant la pelle
Femme qu’il n y de puissant
Que le seul résistant à la pelle
Le créateur qui sans ratures
T’a fait femme porter les créatures
Oui femme tu es et as le fardeau
De la locomotive du train
Qui glisse sur les rails en sac à dos
Du monde par moment sans frein
Ce train-là femme qui faillit sous les dictatures
Et qui tient encore femme par Dieu et ta stature
Parce que femme tu as choisi le pénible
Toi qui est de la classe des paisibles
Parce femme tu as opté pour le splendide
Toi qui pourtant n’es point de la masse des candides
Tu es et as la lucide lueur de la lente pensée
Tu es et as aussi la limpide sueur garante de panacée
Femme montre ta joie splendide
Oui femme montre en nous humains le limpide
Montre la joie au train qui roule et déroule du monde
Oui montre la en vrai au-delà des ondes
Montre femme ta joie paisible
Et belle malgré le pénible
Montre femme ta joie splendide
Et réelle malgré les affres d’un monde cupide
Un monde follement rapide
Un monde souvent rabat-joie et si stupide
Un monde à éclairer encore
Par ta joie encore et encore
Oui femme montre le splendide intérieur
Monte le bien en drapeau au-dessus des extérieurs
Mamadou Ndione
Mandione15@gmail.com
Poème du 08 mars 2014