
« Mais, le dossier est devenu plus une affaire du Parquet général qui a fait appel et qui devra donner des arguments pour justifier ce recours. Il sera géré au niveau de la chambre criminelle et il appartient au Premier président de la Cour d’appel Cheikh Tidiane Coulibaly de désigner la nouvelle composition qui va connaitre de l’affaire », lit-on dans le journal.
Dans un communiqué transmis à notre rédaction Madiambal Diagne de réagir à cette décision de justice. Le journaliste de préciser d’abord que en tant que plaignant et partie civile n’avoir pas encore reçu notification de l’ordonnance définitive de « Non-lieu » prononcée par la commission d’instruction.
« J’ose espérer que ladite ordonnance me sera notifiée dans les délais légaux pour me permettre de faire valoir mes droits. J’ai d’ailleurs saisi la Greffière en Chef de la Cour suprême, dès que j’ai pris connaissance de l’information et j’ai demandé notification de l’ordonnance » a-t-il réagi.
Le patron de « Avenir Communication » d’ajouter en outre que le Greffe de la Cour suprême l’avait convoqué, le 31 janvier 2021, pour lui notifier un avis de communication du dossier d’instruction, conformément à l’article 169 du Code de procédure pénale.
Seulement assure-t-il, le dossier d’instruction était vide de toute déposition ou convocation de Souleymane Téliko. En effet, seuls se trouvaient dans le dossier sa plainte, l’autorisation de poursuite délivrée par le Ministre de la Justice, le réquisitoire du Procureur général près la Cour suprême, l'ordonnance fixant la composition de la Commission d'instruction et sa déposition comme partie civile.
Par la suite, explique-t-il, il avait consigné par écrit, sous forme d’ « observations », cette situation et demandé que si d’autres documents d’instruction existaient, qu’ils lui soient communiqués, sans suite.
Mais selon Madiambal Diagne, dans la presse il a été révélée plus tard que la Commission d’instruction aurait réalisé d’autres actes d’instruction et aurait entendu Souleymane Téliko. Des « manœuvres de dissimulation qui ne seraient pas conformes à la loi » accuse t-il puisqu’il n’aurait pas connaissance de tels actes d’instruction.
De toute façon, une telle situation ne le surprendrait pas « dans cette affaire car tout le monde avait pu observer que quand, moi-même et mes avocats, avions demandé de consigner dans le plumitif d’audience les propos de Souleymane Téliko m’accusant de viol sur mineure et d’escroquerie, le tribunal correctionnel, présidé par le Juge Ndary Diop, qui connaissait de la plainte de Souleymane Téliko contre moi pour diffamation, était passé outre ma demande. Ce qui constitue une entorse grave aux droits de la défense. »
Ainsi, dira-t-il pour conclure, « j’avais cherché par la suite à servir une sommation interpellative à Souleymane Téliko qui s’était débiné et il ne s’était pas trouvé un auxiliaire de Justice au Sénégal pour pouvoir lui servir un tel acte. C’est dire que les manœuvres et manipulations ne manquent point dans le traitement de cette affaire, mais je continue à garder confiance en la Justice », confie-t-il pour finir...
Dans un communiqué transmis à notre rédaction Madiambal Diagne de réagir à cette décision de justice. Le journaliste de préciser d’abord que en tant que plaignant et partie civile n’avoir pas encore reçu notification de l’ordonnance définitive de « Non-lieu » prononcée par la commission d’instruction.
« J’ose espérer que ladite ordonnance me sera notifiée dans les délais légaux pour me permettre de faire valoir mes droits. J’ai d’ailleurs saisi la Greffière en Chef de la Cour suprême, dès que j’ai pris connaissance de l’information et j’ai demandé notification de l’ordonnance » a-t-il réagi.
Le patron de « Avenir Communication » d’ajouter en outre que le Greffe de la Cour suprême l’avait convoqué, le 31 janvier 2021, pour lui notifier un avis de communication du dossier d’instruction, conformément à l’article 169 du Code de procédure pénale.
Seulement assure-t-il, le dossier d’instruction était vide de toute déposition ou convocation de Souleymane Téliko. En effet, seuls se trouvaient dans le dossier sa plainte, l’autorisation de poursuite délivrée par le Ministre de la Justice, le réquisitoire du Procureur général près la Cour suprême, l'ordonnance fixant la composition de la Commission d'instruction et sa déposition comme partie civile.
Par la suite, explique-t-il, il avait consigné par écrit, sous forme d’ « observations », cette situation et demandé que si d’autres documents d’instruction existaient, qu’ils lui soient communiqués, sans suite.
Mais selon Madiambal Diagne, dans la presse il a été révélée plus tard que la Commission d’instruction aurait réalisé d’autres actes d’instruction et aurait entendu Souleymane Téliko. Des « manœuvres de dissimulation qui ne seraient pas conformes à la loi » accuse t-il puisqu’il n’aurait pas connaissance de tels actes d’instruction.
De toute façon, une telle situation ne le surprendrait pas « dans cette affaire car tout le monde avait pu observer que quand, moi-même et mes avocats, avions demandé de consigner dans le plumitif d’audience les propos de Souleymane Téliko m’accusant de viol sur mineure et d’escroquerie, le tribunal correctionnel, présidé par le Juge Ndary Diop, qui connaissait de la plainte de Souleymane Téliko contre moi pour diffamation, était passé outre ma demande. Ce qui constitue une entorse grave aux droits de la défense. »
Ainsi, dira-t-il pour conclure, « j’avais cherché par la suite à servir une sommation interpellative à Souleymane Téliko qui s’était débiné et il ne s’était pas trouvé un auxiliaire de Justice au Sénégal pour pouvoir lui servir un tel acte. C’est dire que les manœuvres et manipulations ne manquent point dans le traitement de cette affaire, mais je continue à garder confiance en la Justice », confie-t-il pour finir...
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