l'accueil des journaux ne manque de réserver quelque espace aux petits inconvénients de la visite du dirigeant américain."Au vu de ce qui s'est passé hier (mardi), lors de la récupération des accréditations des journalistes, une seule évidence s'est dégagée : la sécurité du président Obama est si importante que les Américains ne la laisseront à personne", avance ainsi Enquête.
"Les Américains imposent des mesures extrêmes au palais (de la République)", précise Le Populaire, avant de se demander dans la foulée : "La sécurité de Macky (Sall) désarmée ?". Selon ce journal en effet, seul le chef de sécurité du président Obama et son second "seraient autorisés à porter des armes". De plus, ajoute le journal, plus de 60 éléments du Secret service américain ont pris possession du palais "avec du matériel de sécurité ultra-sophistiqué".
"Obama nous étouffe", titre carrément La Tribune. "+Quand est-ce qu'il va rentrer ?+. C'est l'interrogation angoissante d'une vieille dame, obligée de déplacer son petit commerce, installé devant une maison à proximité de la Corniche-ouest. Obama n'est pas encore là, mais sa venue préoccupe et dérange déjà les Sénégalais, à l'image de cette femme, qui gagne son pain à la sueur de son front", souligne cette publication.
"C'est (en désespoir) de cause qu'elle lance ce cri de détresse. A juste raison. Depuis près d'un mois, les habitudes des Dakarois ont connu un bouleversement, du fait de cette visite du président de l’État le plus puissant du monde. L'Internet en devient défectueux, les voitures roulent au pas, sinon ralentissent : bref la libre circulation des personnes et des biens piétine ou est reléguée au second plan", signale La Tribune.
Selon Direct Info, la venue de Obama plonge le Sénégal dans le tout-sécuritaire. ''Le peuple anonyme de la banlieue (dakaroise) lui, a le sommeil hanté par les futures inondations, l'insécurité et la spirale inflationniste. Osons espérer que de ce séjour de Obama, naîtront des dividendes pour le Sénégal'', écrit ce quotidien
"Les Américains imposent des mesures extrêmes au palais (de la République)", précise Le Populaire, avant de se demander dans la foulée : "La sécurité de Macky (Sall) désarmée ?". Selon ce journal en effet, seul le chef de sécurité du président Obama et son second "seraient autorisés à porter des armes". De plus, ajoute le journal, plus de 60 éléments du Secret service américain ont pris possession du palais "avec du matériel de sécurité ultra-sophistiqué".
"Obama nous étouffe", titre carrément La Tribune. "+Quand est-ce qu'il va rentrer ?+. C'est l'interrogation angoissante d'une vieille dame, obligée de déplacer son petit commerce, installé devant une maison à proximité de la Corniche-ouest. Obama n'est pas encore là, mais sa venue préoccupe et dérange déjà les Sénégalais, à l'image de cette femme, qui gagne son pain à la sueur de son front", souligne cette publication.
"C'est (en désespoir) de cause qu'elle lance ce cri de détresse. A juste raison. Depuis près d'un mois, les habitudes des Dakarois ont connu un bouleversement, du fait de cette visite du président de l’État le plus puissant du monde. L'Internet en devient défectueux, les voitures roulent au pas, sinon ralentissent : bref la libre circulation des personnes et des biens piétine ou est reléguée au second plan", signale La Tribune.
Selon Direct Info, la venue de Obama plonge le Sénégal dans le tout-sécuritaire. ''Le peuple anonyme de la banlieue (dakaroise) lui, a le sommeil hanté par les futures inondations, l'insécurité et la spirale inflationniste. Osons espérer que de ce séjour de Obama, naîtront des dividendes pour le Sénégal'', écrit ce quotidien
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