Le leader du parti Pastef/les Patriotes, a rendu une visite à l'ancien maire de Dakar, Khalifa Sall dans le cadre d'une tournée de remerciements suite à ses récents démêlés avec la justice. Pour Ousmane Sonko, il est temps de rendre grâce à Dieu car, c'est un message fort qu'il vient de saisir du peuple qui a laissé éclater sa colère et ses frustrations.
Le parlementaire appelle donc à un front pour faire face à ce régime dictatorial. Le combat doit donc être mené convenablement... "Il nous faut travailler rapidement pour la mise en place de ce front en réunissant toutes les forces vives de la nation. Cela doit dépasser le cadre politique", signale le président de Pastef.
D'ailleurs, il appelle à une réaction rapide de la part de toute la classe politique car, concernant Pastef/ Les Patriotes, il est temps de mettre en œuvre les possibilités de mettre hors course le régime de Macky Sall. "Nous Pastef, nous voulons travailler avec tout le monde, mais nous n'attendons personne, car le peuple attend", renchérit Ousmane Sonko.
"Cette jeunesse nous a devancés car, elle s'est montrée consciente et attend beaucoup de nous. Si ce sont ces jeunes qui donnent leur vie pour le pays, pourquoi pas nous, en tant que politiques, s'indigne le leader du parti Pastef.
Le parlementaire appelle donc à un front pour faire face à ce régime dictatorial. Le combat doit donc être mené convenablement... "Il nous faut travailler rapidement pour la mise en place de ce front en réunissant toutes les forces vives de la nation. Cela doit dépasser le cadre politique", signale le président de Pastef.
D'ailleurs, il appelle à une réaction rapide de la part de toute la classe politique car, concernant Pastef/ Les Patriotes, il est temps de mettre en œuvre les possibilités de mettre hors course le régime de Macky Sall. "Nous Pastef, nous voulons travailler avec tout le monde, mais nous n'attendons personne, car le peuple attend", renchérit Ousmane Sonko.
"Cette jeunesse nous a devancés car, elle s'est montrée consciente et attend beaucoup de nous. Si ce sont ces jeunes qui donnent leur vie pour le pays, pourquoi pas nous, en tant que politiques, s'indigne le leader du parti Pastef.
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