Dans cette affaire des 94 milliards, le curseur de la communication a apparemment changé de point. Ousmane Sonko qui menait l’offensive se retrouve dans une position défensive.
Jusqu’ici, Sonko avançait sur une stratégie de communication très offensive avec comme axe : accusations sur accusations et aussi, des révélations contre le pouvoir en place, contre l’Administration, la justice, etc. Mais l’affaire des 94 milliards qu’il a lui-même soulevée, s’est retournée contre lui. Aujourd’hui, le président de la coalition « Sonko Président » subit, comme c’était le cas avec cette sortie grossière appelant à « fusiller tous ceux qui ont eu à diriger le pays ». Lui qui faisait réagir hier le pouvoir, se trouve aujourd’hui dans l’obligation de réagir. Ainsi, commence l’épreuve de la communication et dans un contexte pas des moindres : la présidentielle.
Ousmane Sonko est crédité d’une bonne opinion et a commencé à s’imposer et à imposer son style devant la scène politique. Il devient, à cet effet, un challenger sur le papier du candidat sortant. Mais ça, c’est encore sur le terrain médiatique. Il a su vendre son image de « Monsieur propre » autoproclamé et, à bien des égards, accepté comme tel par certains. Mais le voilà qui se retrouve dans une peau entachée de révélations qui sentent une mauvaise odeur. Vrai ou Faux ? Il lui appartient maintenant, de gérer pour lui ce qui devenu une communication de crise. Le leader de Pastef a du pain sur la planche, il s’agit d’abord d’une communication à forte dose à laquelle il doit s’habituer, mais surtout apporter des réponses claires pour convaincre tout le monde.
Jusqu’ici, Sonko avançait sur une stratégie de communication très offensive avec comme axe : accusations sur accusations et aussi, des révélations contre le pouvoir en place, contre l’Administration, la justice, etc. Mais l’affaire des 94 milliards qu’il a lui-même soulevée, s’est retournée contre lui. Aujourd’hui, le président de la coalition « Sonko Président » subit, comme c’était le cas avec cette sortie grossière appelant à « fusiller tous ceux qui ont eu à diriger le pays ». Lui qui faisait réagir hier le pouvoir, se trouve aujourd’hui dans l’obligation de réagir. Ainsi, commence l’épreuve de la communication et dans un contexte pas des moindres : la présidentielle.
Ousmane Sonko est crédité d’une bonne opinion et a commencé à s’imposer et à imposer son style devant la scène politique. Il devient, à cet effet, un challenger sur le papier du candidat sortant. Mais ça, c’est encore sur le terrain médiatique. Il a su vendre son image de « Monsieur propre » autoproclamé et, à bien des égards, accepté comme tel par certains. Mais le voilà qui se retrouve dans une peau entachée de révélations qui sentent une mauvaise odeur. Vrai ou Faux ? Il lui appartient maintenant, de gérer pour lui ce qui devenu une communication de crise. Le leader de Pastef a du pain sur la planche, il s’agit d’abord d’une communication à forte dose à laquelle il doit s’habituer, mais surtout apporter des réponses claires pour convaincre tout le monde.
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