Le ministère des affaires étrangères de la Corée du Sud a annoncé ce matin, la candidature de l’ancienne ministre des Affaires étrangères de la Corée du Sud Kang Kyung-wha au poste de directeur général de l'Organisation internationale du travail (OIT).
Mme Kang, titulaire de chaire à l'université Ewha Womans, a soumis sa candidature au secrétariat de l’Agence des Nations Unies par l'intermédiaire de la mission permanente sud-coréenne à Genève, a indiqué le ministère. L'élection est prévue pour le mois de mars de l'année prochaine.
Si toutefois, elle est élue, Kang sera le premier Asiatique et la première femme à devenir le chef de l'OIT.
La candidate Kang est considérée comme ayant le leadership, la qualité et la compétence nécessaires pour mener à bien les principaux programmes de l'OIT, tels que la reprise de l'emploi dans l'ère post Covid-19, le dépassement de la crise économique et la diffusion de l'esprit « gagnant-gagnant » et de la solidarité à travers le trilatéralisme entre les travailleurs, les employeurs et les gouvernements, a déclaré le ministère.
« On attend également d'elle qu'elle contribue de manière significative à l'éradication de la discrimination et de la violence à l'encontre des travailleurs vulnérables, y compris les femmes, sur la base de son expertise et de son expérience dans les efforts visant à aider les pays en développement et à protéger les droits des femmes », peut-on également lire dans la déclaration du ministère.
Rappelons que Kang a été la première femme ministre des Affaires étrangères en Corée du Sud et fut nommé en 2017. Avant de devenir ministre des affaires étrangères, elle a travaillé en tant que conseillère politique spéciale auprès du secrétaire général de l'ONU de l'époque, Antonio Guterres.
Avant cela, elle a été haut-commissaire adjoint aux droits de l'homme de l'ONU en 2006 et a également travaillé comme coordinatrice adjointe des secours d'urgence du Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l'ONU (OCHA) et secrétaire générale adjointe aux affaires humanitaires.
Toutefois, pour obtenir le poste de chef de l'OIT, Mme Kang devra recueillir un vote majoritaire. Dans le cas contraire, elle devra se soumettre à un second tour de scrutin.
Elle sera en concurrence avec au moins quatre candidats dont l'actuel directeur général adjoint de l'OIT, l'Australien Greg Vines, le chef de l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture, le Togolais Gilbert Houngbo, l'ancienne ministre française du Travail, Muriel Penicaud, et la Sud-Africaine Mthunzi Mdwaba, vice-présidente de l'Organisation internationale des employeurs. (Yonhap)
Mme Kang, titulaire de chaire à l'université Ewha Womans, a soumis sa candidature au secrétariat de l’Agence des Nations Unies par l'intermédiaire de la mission permanente sud-coréenne à Genève, a indiqué le ministère. L'élection est prévue pour le mois de mars de l'année prochaine.
Si toutefois, elle est élue, Kang sera le premier Asiatique et la première femme à devenir le chef de l'OIT.
La candidate Kang est considérée comme ayant le leadership, la qualité et la compétence nécessaires pour mener à bien les principaux programmes de l'OIT, tels que la reprise de l'emploi dans l'ère post Covid-19, le dépassement de la crise économique et la diffusion de l'esprit « gagnant-gagnant » et de la solidarité à travers le trilatéralisme entre les travailleurs, les employeurs et les gouvernements, a déclaré le ministère.
« On attend également d'elle qu'elle contribue de manière significative à l'éradication de la discrimination et de la violence à l'encontre des travailleurs vulnérables, y compris les femmes, sur la base de son expertise et de son expérience dans les efforts visant à aider les pays en développement et à protéger les droits des femmes », peut-on également lire dans la déclaration du ministère.
Rappelons que Kang a été la première femme ministre des Affaires étrangères en Corée du Sud et fut nommé en 2017. Avant de devenir ministre des affaires étrangères, elle a travaillé en tant que conseillère politique spéciale auprès du secrétaire général de l'ONU de l'époque, Antonio Guterres.
Avant cela, elle a été haut-commissaire adjoint aux droits de l'homme de l'ONU en 2006 et a également travaillé comme coordinatrice adjointe des secours d'urgence du Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l'ONU (OCHA) et secrétaire générale adjointe aux affaires humanitaires.
Toutefois, pour obtenir le poste de chef de l'OIT, Mme Kang devra recueillir un vote majoritaire. Dans le cas contraire, elle devra se soumettre à un second tour de scrutin.
Elle sera en concurrence avec au moins quatre candidats dont l'actuel directeur général adjoint de l'OIT, l'Australien Greg Vines, le chef de l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture, le Togolais Gilbert Houngbo, l'ancienne ministre française du Travail, Muriel Penicaud, et la Sud-Africaine Mthunzi Mdwaba, vice-présidente de l'Organisation internationale des employeurs. (Yonhap)
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