L’opération enclenchée par l’armée pour le démantèlement des bases de Salif Sadio est saluée par par le groupe de réflexion pour la paix en Casamance (GRPC).
Selon Robert Sagna, coordonnateur du Grpc, c’est une opération devenue nécessaire de l’armée nationale contre les bases du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC) commandées par Salif Sadio. Il estime que « le conflit en Casamance n’a que trop duré, et n’a pu que créer le trouble et la désolation depuis 40 ans dans cette partie sud du Sénégal ».
Le Grpc après avoir constaté le spectacle désolant de ces personnes déplacées et réfugiées, de ces villages abandonnés, de ces écoles fermées, etc. estime qu’il doit cesser pour que les retours dans les foyers abandonnés soient envisagés.
Ainsi le GRPC invite l’État du Sénégal, la Gambie et de la Guinée Bissau, à la société civile et aux organismes comme la Croix Rouge à fournir l’assistance nécessaire à ces populations en détresse.
Toutefois, Robert Sagna justifie cette opération par les activités illicites de coupe de bois et de trafics de drogue. « L’armée nationale et les forces de sécurité sont en droit et en devoir de mettre fin à ces pratiques nuisibles pour la stabilité de la région, pour notre économie et pour notre environnement », regrette l’ancien ministre d’État.
Selon Robert Sagna, coordonnateur du Grpc, c’est une opération devenue nécessaire de l’armée nationale contre les bases du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC) commandées par Salif Sadio. Il estime que « le conflit en Casamance n’a que trop duré, et n’a pu que créer le trouble et la désolation depuis 40 ans dans cette partie sud du Sénégal ».
Le Grpc après avoir constaté le spectacle désolant de ces personnes déplacées et réfugiées, de ces villages abandonnés, de ces écoles fermées, etc. estime qu’il doit cesser pour que les retours dans les foyers abandonnés soient envisagés.
Ainsi le GRPC invite l’État du Sénégal, la Gambie et de la Guinée Bissau, à la société civile et aux organismes comme la Croix Rouge à fournir l’assistance nécessaire à ces populations en détresse.
Toutefois, Robert Sagna justifie cette opération par les activités illicites de coupe de bois et de trafics de drogue. « L’armée nationale et les forces de sécurité sont en droit et en devoir de mettre fin à ces pratiques nuisibles pour la stabilité de la région, pour notre économie et pour notre environnement », regrette l’ancien ministre d’État.
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