Germaine Ahidjo, l’ex-première dame du Cameroun est décédée dans la soirée du lundi au mardi 20 avril 2021. Veuve du premier président de la République du Cameroun, Ahmadou Ahidjo, elle a rendu l’âme, dans sa résidence à Dakar, des suites d’une maladie. Elle était âgée de 89 ans, a appris Dakaractu. Une information relayée par nos confrères de l’Agence de Presse Régionale (Apr-news), ce mardi puis confirmée par ceux du Cameroun.
Germaine Ahidjo Habiba, née à Mokolo au Cameroun en 1932, est ainsi la Première dame du Cameroun de 1960 jusqu'en 1982 aux côtés de Ahmadou Ahidjo. Après la démission de son mari en 1982 puis sa condamnation à mort par contumace à la suite de son implication supposée dans le coup d'État manqué de 1984, elle ne peut retourner au pays avec lui et s'installe à Dakar (Sénégal), rappelle ladite source médiatique. Laquelle a rappelé que la défunte militait pour sa réhabilitation officielle et notamment, le rapatriement de ses cendres au Cameroun. Décédée 32 ans après son mari, elle n’aura pas réalisé son vœu de rapatrier les restes du président Ahidjo.
Toutefois, elle laisse pour la postérité, l’image d’une dame réservée et intelligente qui a mis son éducation, ses conseils et sa finesse au service de l'homme politique qu'était son mari (Ahmadou Ahidjo), décédé le 30 novembre 1989 puis inhumé au cimetière Bakhiya de Yoff (Dakar).
Germaine Ahidjo Habiba, née à Mokolo au Cameroun en 1932, est ainsi la Première dame du Cameroun de 1960 jusqu'en 1982 aux côtés de Ahmadou Ahidjo. Après la démission de son mari en 1982 puis sa condamnation à mort par contumace à la suite de son implication supposée dans le coup d'État manqué de 1984, elle ne peut retourner au pays avec lui et s'installe à Dakar (Sénégal), rappelle ladite source médiatique. Laquelle a rappelé que la défunte militait pour sa réhabilitation officielle et notamment, le rapatriement de ses cendres au Cameroun. Décédée 32 ans après son mari, elle n’aura pas réalisé son vœu de rapatrier les restes du président Ahidjo.
Toutefois, elle laisse pour la postérité, l’image d’une dame réservée et intelligente qui a mis son éducation, ses conseils et sa finesse au service de l'homme politique qu'était son mari (Ahmadou Ahidjo), décédé le 30 novembre 1989 puis inhumé au cimetière Bakhiya de Yoff (Dakar).
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