L'axe Ndiaganio - Sandiara ou la route de l'enfer complètement délaissée, selon les populations, est dans un piteux état. Si l'on se fie aux propos de ces populations, cette route est pire que le Coronavirus au vu des nombreuses souffrances qu'elle leur fait endurer. Pour y voir clair, Dakaractu Mbour s'est rendu sur les lieux. Rappelons que Ndiaganiao abrite le célèbre village de Ndingler.
"Depuis des années, nous vivons ce calvaire.
Pendant l’hivernage, c'est une grosse panique qui s’empare des populations lorsqu’elles empruntent cette route. Évacuer un malade sur cette route constitue un grand danger surtout pour les cas d'accouchement.
Cette année, la route est totalement dégradée et si les pluies persistent, on aura forcément un Ndiaganiao coupé du Sénégal.
Nous avons utilisé tous les moyens de communication : nous avons alerté l'autorité à maintes reprises, des marches ont été faites, des points de presse tenus, des rencontres avec les autorités compétentes et des lettres adressées à l'État.
Cela fait des années qu'on nous promet la réhabilitation de cette route, mais là, l'État doit réagir vite avant qu'il soit tard", a martelé Léon Gning, le coordonnateur du mouvement "Ndiaganiao à Nous."
Dans cette même dynamique, le président du collectif des chefs de village, de même que les chauffeurs, ont invité les autorités à aider les populations à résoudre cette vieille doléance...
"Depuis des années, nous vivons ce calvaire.
Pendant l’hivernage, c'est une grosse panique qui s’empare des populations lorsqu’elles empruntent cette route. Évacuer un malade sur cette route constitue un grand danger surtout pour les cas d'accouchement.
Cette année, la route est totalement dégradée et si les pluies persistent, on aura forcément un Ndiaganiao coupé du Sénégal.
Nous avons utilisé tous les moyens de communication : nous avons alerté l'autorité à maintes reprises, des marches ont été faites, des points de presse tenus, des rencontres avec les autorités compétentes et des lettres adressées à l'État.
Cela fait des années qu'on nous promet la réhabilitation de cette route, mais là, l'État doit réagir vite avant qu'il soit tard", a martelé Léon Gning, le coordonnateur du mouvement "Ndiaganiao à Nous."
Dans cette même dynamique, le président du collectif des chefs de village, de même que les chauffeurs, ont invité les autorités à aider les populations à résoudre cette vieille doléance...
Autres articles
-
Gendarmerie nationale : Le Général de Division Martin FAYE remplace le Général Moussa Fall
-
Récit d'une ascension inouïe : "Bassirou Diomaye Faye : De la prison au palais présidentiel" (Alioune Ndiaye)
-
IBS / Journée de don de sang : “Il n'y pas de machine qui fabrique du sang. Ce n'est qu'à travers le don que l'on peut sauver des personnes malades” (Rouda El Sahili, DG)
-
Formation des jeunes : La Fondation Sonatel offre une formation aux métiers de bâtiment à 324 jeunes sénégalais
-
Rapport annuel Amnesty international : le Sénégal marqué par une répression aveugle avec plus de 60 morts.