Mody Niang est atteint d' «idyphobie» ! (Abdoulaye Djigo)


Mody Niang est atteint d' «idyphobie» ! (Abdoulaye Djigo)
Mody Niang est incontestablement « idyphobe ».Dés que l’occasion se présente, il s’adonne à des attaques en règle contre Idrissa Seck.
Le but de la manœuvre est simple, adossé au pouvoir du verbe, Mody Niang s’acharne à détruire l’honorabilité d’un homme, dont le seul tord est d’avoir des ambitions présidentielles. A qui profite le crime ? Allez savoir.
L’honorable députe Thierno Bocoum a déjà pertinemment recadré Mody Niang, ces lignes sont ma part de vérité dans un débat d’idées auquel j’ai toujours souscrit.
Invité de L’émission « le grand jury » sur la RFM, Mody Niang a encore tenté de dénigrer Idrissa seck .Il a une nouvelle fois produit un discours à charge contre Idy et le condamne sans aucune forme de procès.
Voici le nouveau réquisitoire qu’il a produit contre idrissa seck : « J’ai eu de sérieuses réserves par rapport à sa candidature et j’ai fait de sévères contributions le concernant. L’homme Idrissa Seck ne m’inspire pas confiance. J’ai le sentiment qu’il n’est pas sincère et use de ruse, de manipulation pour tromper les Sénégalais. S’il s’est enrichi, il s’est enrichi sur la base des fonds politiques. Il dit que personne ne peut trouver un seul franc lui appartenant et qui ne soit pas licite et il s’enrichit sur l’argent du contribuable. Encore que ses fonds politiques étaient alimentés non seulement par l’assemblée nationale mais par des fonds venant de l'extérieur ».
En substance Mody Niang accuse gratuitement Idy, de s’être enrichi avec les fonds politiques. Evidemment il n’apporte aucun élément matériel qui lui permet d’étayer une telle médisance.
Mody Niang donne couramment comme justificatif ceci : « C’est Idrissa Seck lui-même qui a dit à la radio, qu’il s’est enrichi avec l’argent des fonds politiques »ou « Idrissa Seck a soutenu devant la haute cours de justice avoir puisé dans les fonds politiques. Cela a été relayé par la presse à l’époque ». Dire que le leader de rewmi a avoué s’être enrichi avec les fonds politiques est une inexactitude. Déformer la parole d’une personne est un moyen efficace pour pervertir son discours. Et cela Mody Niang l’assimile à merveille.
Il convient de revenir sur la provenance et la philosophie de base des fonds spéciaux appelés communément fonds politiques avant de progresser dans le débat.
Annuellement l’assemblée nationale fixe et vote à la faveur du Président de la République des fonds spéciaux. Les dits fonds sont soumis au pouvoir discrétionnaire du chef de l’Etat et échappent par conséquent à la comptabilité publique.
L’opportunité de mettre à la disposition du chef de l’Etat un fonds spécial, s’explique, par la nécessité de lui permettre de faire des «actions républicaines» (aides sociales, prises en charge médicale…) et des «dépenses de souveraineté».
C’est dans ce cadre que les différents présidents qui se sont succédé à la tête du Sénégal appuyaient les membres du gouvernement pour leur permettre de faire face aux nombreuses sollicitations dont ils font l’objet.
C’est également le sens qu’il faut donner à la réponse fournit par idrissa seck à Alassane Samba Diop le 29 octobre 2006 au cours de l’émission le « grand jury ». Idrissa seck disait ceci : « Je ne me suis pas enrichi à la faveur du pouvoir. Les seules ressources que mon passage au pouvoir a mises à ma disposition et qui renforcent mes moyens d’intervention politique et sociale, ce sont les fonds politiques que le Président de la République lui-même m’a discrétionnairement alloués ». Vous le constatez, cette réponse du Maire de Thies n’a pas la signification que Mody Niang lui assigne.
En outre accuser Idy de s’être enrichi avec les fonds politiques, c’est violer le principe que les juristes appellent, l’autorité de la chose jugée. La haute cours de justice a déjà décerné un non lieu total à idrissa seck par rapport à toutes ces questions.
Faut-il rappeler à Mody Niang que des commissions rogatoires ont été envoyées a travers le monde pour pister les prétendus milliards issus des fonds politiques que le leader de Rewmi aurait planqué dans des paradis fiscaux ? Toutes les commissions rogatoires sont rentrés bredouilles.
D’ailleurs Idrissa Seck ne manquera pas de le souligner aux membres de la haute cours de justice lors de sa comparution du mercredi 21 Mai 2008.il leur dira ceci : « Vous avez envoyé des Commissions rogatoires en disant détenir tous les renseignements bancaires sur un certain nombre de comptes supposés m’appartenir. Vous avez sollicité l'assistance de beaucoup de pays. Tous les numéros de comptes que vous leur avez communiqués, se sont révélés faux ou fictifs. Ce que les autorités françaises, n'ont pas manqué de faire observer dans leur réponse, en vous disant n'avoir pas identifié ces numéros de comptes au nom d'un Idrissa Seck. De deux choses l'une : ou bien vous avez parlé de choses dont vous ne maîtrisez pas, en menant des investigations sur des choses que vous ne maîtrisez pas ou bien on vous a sciemment induits en erreur, en vous donnant des numéros de comptes qui sont fictifs et auquel cas, vous devez me dire qui vous a donné ces numéros de comptes qui sont censés m'appartenir. Ca fait trois ans que vous m'avez pris ma liberté (…) Pour l'histoire et la justice, il faut clarifier ».
Si la mobilisation exceptionnelle et inédite de tous ces moyens d’investigation n’a pu asseoir la preuve de la culpabilité du Maire de Thies, c’est parce que naturellement Idrissa Seck n’a rien à se reprocher. En effet, aucun coupable, n’aurait pu passer entre les mailles d’une aussi vaste investigation.
Mody Niang s’en prend violemment à l’ancien premier ministre depuis plusieurs années, avec le secret espoir de se voir hisser par Idy à la dignité d’interlocuteur .Mais Idrissa Seck ne lui a jamais apporté la réplique.
Parce que jamais il ne lutte avec quelqu’un qui ne mérite l’honneur du combat et surtout il a un destin à accomplir !
Le silence est le meilleur des mépris.
Pour le reste Dieu et le temps sont les meilleurs juges.

ABDOULAYE DJIGO
layemail80@gmail.com
Jeudi 30 Août 2012
ABDOULAYE DJIGO



Du plus récent au plus ancien | Du plus ancien au plus récent

21.Posté par Citoyen du Sud-est Sénégal le 31/08/2012 01:27
@ Abdoulaye DJIGO,

Fiston,

1) Je te conseille de rester à l'ombre et de prendre le temps de faire tes armes dans les cercles des jeunesses de ton parti. Si tu dois faire des sorties, prends bien le soin (a) de répondre à ta "catégorie" et (b) de bien préparer ton texte pour au moins te faire comprendre même si tu ne peux convaincre!

J'ai un peu mal de te voir patauger en t'attaquant à plus fort que toi : à tous les niveaux ! Il est vrai que nous sommes sur le terrain politique et, à priori, il devrait être uniquement question de débat d'idées. Or, non seulement vous, ton "honorable" député, tes camarades et toi même, faites hors sujet et hors-jeu, vous perdez donc du temps précieux, mais Monsieur Mody NIANG mérite égards et respect à trois niveaux :

(i) pour services rendus à la Nation en tant qu'éducateur infatigable (jusqu'à ce jour alors qu'il est à la retraite!)
(ii) en tant que combattant libre et indépendant de la Citoyenneté
(iii) il est, sur la base des valeurs Africaines, votre grand-père voire, en ce qui te concernde, votre arrière grand-père!

Ne serait-ce que pour cette troisième raison, vous devrez modérer vos propos en restant dans les marges du civisme...Mettons notre arrogance de côté!

2) Que vous rapporte cette polémique, car il s'agit bien de polémique pour votre part, à distance alors que vous pouvez consacrer vos jeunes énergies à plus utile ?

Soyez des NTS ou apprenez à vous y mettre pour danser sur le tempo de vos alter-égo...

3) Vous avez beau essayer, vous ne pourrez pas apporter la bonne réplique à Monsieur Mody NIANG!
Pour avoir choisi, c'est vous qui le dites, le silence, Monsieur Idrissa SECK aurait mieux fait de vous avertir de ne point vous hasarder à répliquer! Mais s'il se trouve que vous avez réagi pour juste pour avoir bonne conscience à son insu, en voilà une démarche gauche : le double silence de votre mentor montre qu'il n'a pas encore jeté sa "veste" de suffisance à outrance! Le cas échéant, il devrait envoyer au charbon d'autres "couteaux" plus acérés car, à la vérité, ceux qui, jusqu'ici ont battu des ailes, ne font même pas les "5è couteaux"!. La raison est toute simple : vous n'avez ni l'envergure ni le ton encore moins le VERBE! Or, c'est le verbe qui enveloppe le tout : formules, contenu et construction expressive....Si Monsieur Idrissa SECK veut vous envoyer, pour vous entraîner, au charbon, il a tout intérêt à vous faire des cours de .. discours politique, son domaine de prédilection!

4) Ton leader, aurait dit, semble-t-il, que pour faire la politique deux choses sont de première importance
(*) La formation : donc connaissances et compétences
(**) L'indépendance financière

Je t'exhorte à te mettre sur cette voie dans cet ordre. Idirssa SECK a le devoir de bien vous former : il faut en faire une exigence si tu veux bien réussir dans ce domaine que tu t'es choisi. Je sais que tu aimes la politique et je sais aussi que tu es fidèle à tes idées dans la loyauté. N'accepte pas de jouer les marioles! Tu viens de quelque part et tu as une dignité à défendre.

5) Je me suis permis cette liberté de ton pour le garçon jovial et spontané que je connais en toi au risque d'essuyer des cuillères et autres volées de bois vert venant de tes camarades...Pour toi, je ne répliquerai pas, le cas échéant...)

Cela dit ;
6) ton 1er paragraphe devrait ressembler à ceci (pour être plus "comestible") :
------
"Monsieur Mody NIANG est incontestablement « idyphobe ». Dès que l’occasion se présente, il s’adonne à des attaques en règle contre Idrissa Seck.
Le but de la manœuvre est simple. Adossé au pouvoir du verbe, Monsieur Mody NIANG s’acharne à détruire l’honorabilité d’un homme dont le seul torT est d’avoir une ambition présidentielle. A qui profite le crime ? Allez savoir !

L’honorable député Thierno Bocoum a déjà, pertinemment, recadré Mody NIANG. Ces lignes sont ma part de vérité dans LE débat d’idées auquel j’ai toujours souscrit. "
_____

7)
*** Moi non plus, je ne fais pas confiance à ton leader
*** je le trouve trop suffisant
*** mettez-vous à l'esprit que THIES ne fait pas le SENEGAL!
*** la bataille est très loin d'être gagnée pour vous!

Mais retenez que nous prétendons tous oeuvrer pour le SENEGAL avec chacun la voie qu'il a choisie...Seulement, je pense que nous autres, un peu comme Monsieur Mody NIANG, jouons le beau rôle en ce moment et pour longtemps encore ... N'essayez pas de mettre du sable dans le couscous !

La prochaine sortie serait alors pour te dire que Monsieur Idrissa SECK ne peut pas en l'état actuel se mettre dans le costume de donneur de leçons! Au contraire, il est en réapprentissage pour avoir lourdement trébuché!

Idy YALLAH NA FI YAGG TE WER pour que THIES ait encore de grandes rues et avenues plus des voies de contournement... ((( pour les lecteurs : ceci n'est pas un double langage -- )))


Pour le reste, garde tes convictions en restant propre ! "BOUL FAALE"! :-)

Citoyen du Sud-est SENEGAL

PS : La prochaine fois que tu feras une sortie de ce genre, prends le temps de bien construire! Et n'oublie pas que tu as un grand frère très bon rédacteur, là-bas dans le Baol, qui pourrait te relire .. Y a le net ... ne reste pas en marge !

(( pour les coquilles de mon texte, mea culpa!)

22.Posté par BALZAC le 31/08/2012 13:36
Dans quelle mesure la décision du Président de la république est le fruit de pressions ?



Plutôt d’un enchevêtrement de calculs et de pressions. Le tout précipité par le déchaînement catastrophique des éléments : pluies diluviennes, inondations sévères et détresse humaine. Autrement dit, la catastrophe naturelle a été une aubaine pour évacuer un casse-tête politique. Mais cette solution – pour ne pas dire ersatz de solution – a-t-elle valeur de pancée au regard des défis ? J’en doute.

La deuxième chambre ou Sénat n’a jamais croisé l’assentiment des populations. Du coup, sa suppression ne correspond-t-elle pas à une bonne décision ?



Le Sénat est effectivement très impopulaire. N’empêche, c’est une institution dans le magma d’institutions qui fondent une république. Dois-je cependant recadrer les arguments et les sentiments en disant qu’une institution n’est ni bonne ni mauvaise dans l’absolu. Une institution ne vaut que ce que valent les hommes qui l’animent. Tout dépend de l’usage qu’on en fait. Tenez, le fusil est-il bon ou mauvais ? Avec le fusil, on peut dominer ; avec le même fusil, on peut se libérer. En quoi, une centaine de députés sénégalais (non importés d’Argentine) valent plus qu’une centaine de sénateurs sénégalais ? La bonne question est la suivante : quel usage fait-on d’une majorité parlementaire. Hier comme aujourd’hui – sous réserve de la rupture annoncée – les députés et les sénateurs ont été des godillots. Et le parlement vachement croupion. Sans les manifestations populaires du 23 juin, la majorité libérale allait voter le ticket et le quart bloquant. Donc « monarchiser » la république.

Mais ce qui est surréaliste et fantasmagorique, se trouve ailleurs. Pour 150 mm d’eau tombée à Dalifort, on supprime une institution. Très bien. Donc si le ciel ouvre à nouveau ses vannes, on supprimera le Conseil Economique et Social, alors ? Et l’orage emportera la Primature. Non, non, non…Les arguments sont fallacieux. Le fleuve Niger est sorti de son lit, engloutissant les deux tiers de la ville de Niamey. Pas une institution n’a été supprimée dans ce pays dont le Pib n’est pas supérieur à celui du Sénégal. Combien de fois la terre tremble dans de nombreux pays sans affecter leurs institutions ? Un décideur ne doit pas être assujetti à l’opinion publique. Si Abdou Diouf n’avait pas bravé l’impopularité et assumé les douloureux ajustements structurels des années 80, Wade n’aurait pas trouvé les caisses pleines en 2000. La gouvernance vertueuse et sobre chère à Macky Sall, n’est-elle pas porteuse d’austérité inévitable ? Le Général De Gaulle répétait : « On ne peut rien faire de grand pour son pays, sans blâme dans l’opinion ». Le Professeur Khouma me dira que De Gaulle n’aimait pas le Sénat. Je le renvoie au livre d’Alain Peyrefitte qui démontre que le fondateur de la Cinquième République n’aimait surtout pas l’inamovible Président du Sénat d’alors, Gaston Monnerville, un Nègre de Guyane.

Les citoyens et les ONG ont dénoncé la passivité de l’Etat qui a conduit à l’exécution de deux Sénégalais en Gambie. Partagez-vous ce point de vue ? Selon vous, qu’est-ce qu’aurait pu faire l’Etat ?



Mon point de vue est moins carré que celui des ONG, car la souveraineté de la Gambie limite la marge de manœuvre du Sénégal, lui aussi, jaloux de sa souveraineté. Toutefois, la surprise de Dakar est bizarre, feinte ou coupable. Dans toutes les ambassades, ici et ailleurs, vous avez des antennes des services de renseignement. Le Commissaire Saliou Diallo, ancien directeur de la Police, a servi comme diplomate, avec ou sans guillemets à Banjul, de 1999 à 2005. Preuve que le gouvernement est bien outillé pour savoir. Et il savait parfaitement que Tabara Samb et Saliou Niang étaient dans le couloir de la mort.

Comment analysez-vous le ton du discours de Macky Sall ; et surtout comment appréhendez-vous la suite des évènements ?



Le ton a été à la hauteur du défi. Il y a des défis exceptionnels qui appellent des réponses bourrées de vigueur et…de panache. Pourquoi pas ? Toutefois, le fragment du propos, assorti de menace d’expulsion, où il fixe l’heure d’une audience pour un ambassadeur a été de trop. C’est de facto une rupture des relations diplomatiques. Car plus rien ne sera comme avant, en termes de confiances entre les deux chefs d’Etat. Du reste, le parallélisme des formes le décommande. Le « patron » organique des ambassadeurs est le Secrétaire Général du ministère des Affaires Etrangères ; tandis que le Ministre Alioune Badara Cissé demeure leur « patron » politique ou principal interlocuteur.

S’agissant des incidences, je ne cache pas mon inquiétude. Je mesure la méfiance voire la défiance atavique des Gambiens vis-à-vis des Sénégalais. Sous Senghor, déjà, le tracé des frontières avait pollué nos relations. On a dit que le Président Senghor, adepte du dialogue et apôtre de la coexistence pacifique, est allé à Canossa sur la question des frontières. Le jugement de l’Histoire nous éclairera. Sous Abdou Diouf, la Confédération a volé en éclats. Aujourd’hui, Yaya Jammeh a bien fignolé et planifié son coup ; puisque l’exécution de Tabara Samb et la réaction (prévisible et prévue) de Macky, lui permettent de faire marche arrière sur deux engagements quasi-solennels dont il ne veut point être prisonnier : la construction du pont et la recherche de la paix en Casamance. Je signale enfin qu’au-delà des condamnés à mort qui sont dans les prisons à Banjul, il y a une dizaine de militaires (prisonniers) sénégalais entre les mains… des hommes de main de Yaya en Casamance. Sinistre épée de Damoclès.

23.Posté par hello le 31/08/2012 13:41
En dépit de tous les avertissements de la communauté internationale et des rodomontades des organisations de défense des droits de l'homme, Yahya Jammeh persiste et signe qu'il va exécuter les condamnés à mort gardés dans les prisons gambiennes. "Bilaahi, Walaahi, Talaahi, je vais les tuer", a lancé le fou furieux de Banjul, le lendemain de la Korité, à des dignitaires musulmans et représentants du clergé catholique de son pays. Décrit comme un "psychopathe" par les fiches des missions diplomatiques accréditées dans son pays, Jammeh a toujours usé du meurtre comme moyen de sauvegarde de son pouvoir. La seule différence d'avec sa criminalité ordinaire, c'est qu'aujourd'hui il assassine d'un coup à une échelle industrielle...

24.Posté par fatou le 31/08/2012 18:43
utíĺisé votre cervelle e apportě nous ds preuves c mieux d accusé les gens a tord

1 2


Dans la même rubrique :

AIDA CHERIE - 22/05/2015