
Jointe par notre rédaction pour commenter la marche de l’opposition, Mimi Touré a emprunté en la tournant en dérision, la célèbre expression latine de Jules César « Veni, vidi, vici » (je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu).
Sauf que pour l’ancien Premier ministre, les opposants sont venus, ont vu une foule bien moindre que celle espérée et loin de vaincre, ils sont ensuite rentrés chez eux (gnibi en wolof).
Sur la question de la mobilisation, sur le même ton pince-sans rire, l’Envoyée spéciale de Macky Sall estime qu’à moins d’avoir la berlue, les organisateurs ont dû réviser sérieusement leurs objectifs à la baisse par une division à plusieurs chiffres. Pour elle, cette marche de protestation est, somme toute, un banal mais sain exercice démocratique qui s’est déroulé sans anicroche.
Sur le parrainage fustigé par l’opposition, Mimi Touré estime que le mode de parrainage prescrit au Sénégal est plus démocratique qu’ailleurs où on exige des candidats présidentiels qu’ils obtiennent le parrainage d’un nombre défini d’élus. C’est le cas de la France où il faut 500 parrainages au minimum pour tout candidat à l’élection présidentielle. Au Sénégal, poursuit-elle, ce sont les citoyens qui directement parraineront les candidats et c’est une bonne chose, car si on avait copié la France, il y aurait eu très peu de candidats capables de remplir cette exigence.
Sauf que pour l’ancien Premier ministre, les opposants sont venus, ont vu une foule bien moindre que celle espérée et loin de vaincre, ils sont ensuite rentrés chez eux (gnibi en wolof).
Sur la question de la mobilisation, sur le même ton pince-sans rire, l’Envoyée spéciale de Macky Sall estime qu’à moins d’avoir la berlue, les organisateurs ont dû réviser sérieusement leurs objectifs à la baisse par une division à plusieurs chiffres. Pour elle, cette marche de protestation est, somme toute, un banal mais sain exercice démocratique qui s’est déroulé sans anicroche.
Sur le parrainage fustigé par l’opposition, Mimi Touré estime que le mode de parrainage prescrit au Sénégal est plus démocratique qu’ailleurs où on exige des candidats présidentiels qu’ils obtiennent le parrainage d’un nombre défini d’élus. C’est le cas de la France où il faut 500 parrainages au minimum pour tout candidat à l’élection présidentielle. Au Sénégal, poursuit-elle, ce sont les citoyens qui directement parraineront les candidats et c’est une bonne chose, car si on avait copié la France, il y aurait eu très peu de candidats capables de remplir cette exigence.
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