Le programme de développement de la Microfinance Islamique au Sénégal a partagé ce jeudi 13 août 2020, la convention de prestation de services PROMISE/SFD article 44 avec les cibles et bénéficiaires. L’objectif est d’améliorer le revenu des bénéficiaires, à travers le renforcement de l’accès durable de la majorité de la population à ses services financiers islamiques adaptés sur l’ensemble du territoire national. Ledit programme est évalué à un coût global de 30 milliards.
Selon Yaye Fatou Diagne, coordonnatrice nationale dudit programme, la mission du PROMISE est d’installer la microfinance islamique dans notre pays de façon pérenne. " "Les SFD sont les cibles intermédiaires du moment où la pratique de la microfinance n’est autorisée qu’au sein des Sfd", a t- elle précisé.
Le PROMISE en tant qu’agence d’exécution et intermédiaire garant de la convention entre l’Etat du Sénégal et la Banque islamique de développement (Bid), a pour mission d’accompagner ces SFD pour ouvrir les canaux de distribution à savoir les guichets qui devraient dispenser les microfinancements islamiques.
Elle ajoute que les SFD devraient bénéficier d’une ligne de Moudaraba restreinte qui est un produit financier qui les lient à la Bid. Pour cela, Yaye Fatou Diagne souligne qu’il faut que l’agence d’exécution et les SFD puissent nouer un partenariat.
Et c’est dans le cadre de cette convention de partenariat que cette rencontre a eu lieu aujourd’hui. « Cette étape est importante parce que dans le processus de la mise en place islamique, les Sfd sauront quel sera leur rôle pour que ces financements puissent être octroyés aux PME du pays et nous, en tant qu’agence d’exécution nous saurons notre rôle dans la supervision et l’aboutissement pour que cette pratique de la microfinance islamique puisse être une réalité effective dans la lutte contre l’exclusion financière au sein du pays », a-t-elle laissé entendre.
Selon Yaye Fatou Diagne, coordonnatrice nationale dudit programme, la mission du PROMISE est d’installer la microfinance islamique dans notre pays de façon pérenne. " "Les SFD sont les cibles intermédiaires du moment où la pratique de la microfinance n’est autorisée qu’au sein des Sfd", a t- elle précisé.
Le PROMISE en tant qu’agence d’exécution et intermédiaire garant de la convention entre l’Etat du Sénégal et la Banque islamique de développement (Bid), a pour mission d’accompagner ces SFD pour ouvrir les canaux de distribution à savoir les guichets qui devraient dispenser les microfinancements islamiques.
Elle ajoute que les SFD devraient bénéficier d’une ligne de Moudaraba restreinte qui est un produit financier qui les lient à la Bid. Pour cela, Yaye Fatou Diagne souligne qu’il faut que l’agence d’exécution et les SFD puissent nouer un partenariat.
Et c’est dans le cadre de cette convention de partenariat que cette rencontre a eu lieu aujourd’hui. « Cette étape est importante parce que dans le processus de la mise en place islamique, les Sfd sauront quel sera leur rôle pour que ces financements puissent être octroyés aux PME du pays et nous, en tant qu’agence d’exécution nous saurons notre rôle dans la supervision et l’aboutissement pour que cette pratique de la microfinance islamique puisse être une réalité effective dans la lutte contre l’exclusion financière au sein du pays », a-t-elle laissé entendre.
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