Ce jeudi 10 avril est célébrée la journée mondiale de la maladie de Parkinson. Cette maladie méconnue de la population, est pourtant devenue une réalité au Sénégal. D’après les révélations faites à l’occasion de cette journée, 2 à 4 personnes sur 100 souffrent de cette affection. Causée par la mort de certaines cellules, cette maladie neuro-dégénérative n’est pas du tout facile pour le quotidien des familles touchées par cette pathologie comme celle de Marie Hélène Sagna.
Selon cette dernière, son père Henry Sagna souffre de la maladie de Parkinson depuis plus 20 ans. Ancien sportif, par ailleurs militaire, la victime avait une très bonne hygiène de vie jusqu’à ce qu’on lui diagnostique cette maladie. Âgé de 82 ans, Henri Sagna est devenu très dépendant. Selon Marie Hélène Sagna, son père est quelqu’un qui se bat au quotidien même s’il y a eu cette période où il n’acceptait pas le fait qu’on puisse faire quelque chose pour lui, comme par exemple lui venir en aide dans ses gestes du quotidien. Pour sa fille, cela a été un véritable choc car « tout de suite ça été des recherches sur internet pour essayer de comprendre quelle était réellement la maladie, comment elle allait évoluer, comment on pouvait aider, qu’est-ce que la recherche faisait aujourd’hui, quels étaient les traitements possibles pour justement soigner cette maladie », a-t-elle raconté.
Le patient diagnostiqué en France, puis revenu au Sénégal, la famille de Henry Sagna s’est finalement rendu compte qu’il faut avoir quand même quelques moyens pour pouvoir s’occuper de son malade, trouver les médicaments. Ce qui pour sa fille n’est pas évident, si on ne parvient pas à pouvoir les faire venir de l’étranger et qu’on fait vraiment le tour des pharmacies. Selon elle, les malades ont du mal à trouver des molécules de base pour permettre de soigner cette maladie-là, en affirmant que les médicaments coûtent cher.
Au nom des familles touchées par cette maladie, Marie Héléne Sagna a lancé par le biais du ministère de la Santé, un message à l’endroit de l’État, afin qu’il y ait une subvention possible et puis un accompagnement. À l’heure actuelle, il n’y pas de prise en charge, car selon Marie Hélène Sagna, c’est sur fonds propres. « Ma mère est âgée, donc on a un jeune (aide-infirmier) qui est là pour les gestes du quotidien, la douche, les repas. L’aide, elle est surtout au niveau de la douche, des massages mais sinon pour le reste, le matin, il fait un peu d’activités, il arrive à marcher un peu, il est très à l’aise tôt le matin et puis après, le reste de la journée bon ça tombe un peu! », a-t-elle témoigné...
Selon cette dernière, son père Henry Sagna souffre de la maladie de Parkinson depuis plus 20 ans. Ancien sportif, par ailleurs militaire, la victime avait une très bonne hygiène de vie jusqu’à ce qu’on lui diagnostique cette maladie. Âgé de 82 ans, Henri Sagna est devenu très dépendant. Selon Marie Hélène Sagna, son père est quelqu’un qui se bat au quotidien même s’il y a eu cette période où il n’acceptait pas le fait qu’on puisse faire quelque chose pour lui, comme par exemple lui venir en aide dans ses gestes du quotidien. Pour sa fille, cela a été un véritable choc car « tout de suite ça été des recherches sur internet pour essayer de comprendre quelle était réellement la maladie, comment elle allait évoluer, comment on pouvait aider, qu’est-ce que la recherche faisait aujourd’hui, quels étaient les traitements possibles pour justement soigner cette maladie », a-t-elle raconté.
Le patient diagnostiqué en France, puis revenu au Sénégal, la famille de Henry Sagna s’est finalement rendu compte qu’il faut avoir quand même quelques moyens pour pouvoir s’occuper de son malade, trouver les médicaments. Ce qui pour sa fille n’est pas évident, si on ne parvient pas à pouvoir les faire venir de l’étranger et qu’on fait vraiment le tour des pharmacies. Selon elle, les malades ont du mal à trouver des molécules de base pour permettre de soigner cette maladie-là, en affirmant que les médicaments coûtent cher.
Au nom des familles touchées par cette maladie, Marie Héléne Sagna a lancé par le biais du ministère de la Santé, un message à l’endroit de l’État, afin qu’il y ait une subvention possible et puis un accompagnement. À l’heure actuelle, il n’y pas de prise en charge, car selon Marie Hélène Sagna, c’est sur fonds propres. « Ma mère est âgée, donc on a un jeune (aide-infirmier) qui est là pour les gestes du quotidien, la douche, les repas. L’aide, elle est surtout au niveau de la douche, des massages mais sinon pour le reste, le matin, il fait un peu d’activités, il arrive à marcher un peu, il est très à l’aise tôt le matin et puis après, le reste de la journée bon ça tombe un peu! », a-t-elle témoigné...
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