L'ancien ministre Mansour Faye a une nouvelle fois été empêché de voyager ce vendredi depuis l'Aéroport international Blaise Diagne (AIBD), alors qu'il s'apprêtait à embarquer pour Abidjan. Cette situation intervient quelques jours après un premier incident similaire survenu lundi dernier, lorsqu'il avait été interdit de traverser le cordon policier alors qu'il devait se rendre à Djeddah via Paris.
Dans une déclaration rendue publique, Mansour Faye a expliqué les faits : "Comme vous l'avez suivi lundi dernier, j'avais un déplacement à faire à Djeddah en passant par Paris. Arrivé à l'aéroport, on m'a signifié l'interdiction de traverser le cordon policier, suite à une instruction de l'autorité supérieure. Aujourd'hui, j'avais un autre déplacement à effectuer à Abidjan pour un vol à 16 heures 30. J'ai pris ma carte d'embarquement, mais arrivé au niveau du cordon policier, on m'a encore signifié l'interdiction de traverser."
L'ancien ministre a tenté d'obtenir des explications auprès des autorités présentes sur place. "J'ai posé la question à l'agent de police, chef de brigade, qui m'a dit qu'il avait reçu des instructions. Finalement, je me suis retrouvé au commissariat spécial de l'aéroport pour voir le commissaire et demander les raisons de ce refus. Malheureusement, l'adjoint que j'ai trouvé sur place m'a signifié l'indisponibilité du commissaire. Je lui ai demandé à quelle heure il serait disponible, mais il m'a simplement répondu qu'il ne l'était pas."
Mansour Faye a exprimé son indignation face à cette situation, qu'il qualifie d'"injustice" et de "dictature". "Je vais saisir qui de droit pour réclamer mes droits parce que personne n'a le droit d'interdire à un citoyen de se mouvoir. Je le dis souvent, je ne fais l'objet d'aucune enquête, encore moins d'une interdiction officielle de sortie du territoire. Quelle est la main qui est derrière tout cela, qui use de sa position pour interdire à un Sénégalais de se mouvoir ?"
Pour faire face à cette situation, Mansour Faye a indiqué qu'il s'était rendu à l'aéroport accompagné d'un huissier de justice afin de constater les faits. "Il y a une procédure, je suis venu avec l'huissier de justice qui a constaté les faits. J'ai un avocat ou un pool d'avocats qui va se saisir de la procédure. C'est de l'injustice, c'est une sorte de dictature, mais ça ne passera pas."
Dans une déclaration rendue publique, Mansour Faye a expliqué les faits : "Comme vous l'avez suivi lundi dernier, j'avais un déplacement à faire à Djeddah en passant par Paris. Arrivé à l'aéroport, on m'a signifié l'interdiction de traverser le cordon policier, suite à une instruction de l'autorité supérieure. Aujourd'hui, j'avais un autre déplacement à effectuer à Abidjan pour un vol à 16 heures 30. J'ai pris ma carte d'embarquement, mais arrivé au niveau du cordon policier, on m'a encore signifié l'interdiction de traverser."
L'ancien ministre a tenté d'obtenir des explications auprès des autorités présentes sur place. "J'ai posé la question à l'agent de police, chef de brigade, qui m'a dit qu'il avait reçu des instructions. Finalement, je me suis retrouvé au commissariat spécial de l'aéroport pour voir le commissaire et demander les raisons de ce refus. Malheureusement, l'adjoint que j'ai trouvé sur place m'a signifié l'indisponibilité du commissaire. Je lui ai demandé à quelle heure il serait disponible, mais il m'a simplement répondu qu'il ne l'était pas."
Mansour Faye a exprimé son indignation face à cette situation, qu'il qualifie d'"injustice" et de "dictature". "Je vais saisir qui de droit pour réclamer mes droits parce que personne n'a le droit d'interdire à un citoyen de se mouvoir. Je le dis souvent, je ne fais l'objet d'aucune enquête, encore moins d'une interdiction officielle de sortie du territoire. Quelle est la main qui est derrière tout cela, qui use de sa position pour interdire à un Sénégalais de se mouvoir ?"
Pour faire face à cette situation, Mansour Faye a indiqué qu'il s'était rendu à l'aéroport accompagné d'un huissier de justice afin de constater les faits. "Il y a une procédure, je suis venu avec l'huissier de justice qui a constaté les faits. J'ai un avocat ou un pool d'avocats qui va se saisir de la procédure. C'est de l'injustice, c'est une sorte de dictature, mais ça ne passera pas."
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