Le lancement officiel des études de vulnérabilité du projet d’Appui scientifique au processus de Plans Nationaux d’adaptation (PAS/PNA) a réuni cette semaine l’ensemble des parties prenantes. Le projet mis en œuvre avec la Giz en collaboration avec Climate Analytics vise plusieurs objectifs et à terme permettra d’appuyer le Sénégal « dans le processus de planification de l’adaptation aux changements climatiques des secteurs de l’agriculture, des ressources en eau et des zones côtières ».
« On travaille à travers des consortiums pour traduire ce renforcement de capacités. On va travailler dans la région de Fatick et dans le Delta du Saloum. Les objectifs de ce projet de recherche est donc de mener trois études de vulnérabilité dans la région de Fatick. Une étude de vulnérabilité climatique pour évaluer à la fois la vulnérabilité actuelle et celle future » a expliqué Melinda Noblet, experte scientifique et coordonatrice de la composante 2.
« Le projet est bien avancé, on lance les études de vulnérabilité, on a dix mois de travail devant nous et on a encore une partie de l’année 2019 pour finaliser l’ensemble du projet » a t’elle ajouté.
Mme Niane, Docteur Diatou Thiaw, conseillère technique, venue pour représenter le ministre en charge de l’environnement s’est dite assurée que le concours des tous les acteurs constituera une garantie solide « et un gage de réussite dans la prise en compte des besoins actuels et futurs en matière de recherche dans le domaine du climat au niveau national, et une véritable articulation entre la recherche et l’élaboration des politiques publiques ».
« On travaille à travers des consortiums pour traduire ce renforcement de capacités. On va travailler dans la région de Fatick et dans le Delta du Saloum. Les objectifs de ce projet de recherche est donc de mener trois études de vulnérabilité dans la région de Fatick. Une étude de vulnérabilité climatique pour évaluer à la fois la vulnérabilité actuelle et celle future » a expliqué Melinda Noblet, experte scientifique et coordonatrice de la composante 2.
« Le projet est bien avancé, on lance les études de vulnérabilité, on a dix mois de travail devant nous et on a encore une partie de l’année 2019 pour finaliser l’ensemble du projet » a t’elle ajouté.
Mme Niane, Docteur Diatou Thiaw, conseillère technique, venue pour représenter le ministre en charge de l’environnement s’est dite assurée que le concours des tous les acteurs constituera une garantie solide « et un gage de réussite dans la prise en compte des besoins actuels et futurs en matière de recherche dans le domaine du climat au niveau national, et une véritable articulation entre la recherche et l’élaboration des politiques publiques ».
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