Depuis le début de la semaine, l'affaire du décès de cette femme enceinte et qui décède en s’apprêtant à accoucher dans des circonstances dramatiques, interpelle présentement sur la résilience de notre système sanitaire. Plusieurs acteurs en parlent et déjà, des sanctions ont suivi cet évènement malheureux. Le secrétaire général national de AJ/PADS ne restera pas non plus, sans voix.
Au cours d’un entretien avec Dakaractu, Mamadou Diop Decroix, non moins député à l’assemblée nationale, nous livre ses impressions. Ceci, après, bien évidemment, avoir salué les décisions aux allures de sanctions qui ont été prises par les autorités, en premier chef, le président Macky Sall hier en conseil des ministres. « Au niveau de l’Union Africaine, nous voyons qu’il est prévu pour les États, en matière de financement public du secteur de la santé, 15%... Nous, au Sénégal, nous ne franchissons pas 7% du budget de la santé », déplore Mamadou Diop Decroix, nous confiant même ses inquiétudes sur la marche d’autres secteurs prioritaires comme l’éducation, l’agriculture, la pêche entre autres.
Ainsi, le parlementaire propose de changer la donne en réorganisant le peuple : « Cette réorganisation impliquant le peuple et nous épargnant ces postures solitaires est bien importante. Mais, pour ce faire, il faut que le peuple ait l’impression ou mieux, ait confiance aux dirigeants en étant sûrs que ceux-ci, sont là pour eux. » L’invité de Dakaractu de poursuivre pour ajouter que la prévention est une option très efficace qui doit bien attirer l’attention des autorités : « Nous prenons une bonne partie du budget du Sénégal pour la prévention, nous aurons marqué un pas important vers la résilience. Cette question, qui doit prendre une bonne part du budget, nous fera de plus, savoir l’ancien ministre de la communication qui estime dans la foulée, que les médias, doivent faire partie des relayeurs de cette prévention.
Au cours d’un entretien avec Dakaractu, Mamadou Diop Decroix, non moins député à l’assemblée nationale, nous livre ses impressions. Ceci, après, bien évidemment, avoir salué les décisions aux allures de sanctions qui ont été prises par les autorités, en premier chef, le président Macky Sall hier en conseil des ministres. « Au niveau de l’Union Africaine, nous voyons qu’il est prévu pour les États, en matière de financement public du secteur de la santé, 15%... Nous, au Sénégal, nous ne franchissons pas 7% du budget de la santé », déplore Mamadou Diop Decroix, nous confiant même ses inquiétudes sur la marche d’autres secteurs prioritaires comme l’éducation, l’agriculture, la pêche entre autres.
Ainsi, le parlementaire propose de changer la donne en réorganisant le peuple : « Cette réorganisation impliquant le peuple et nous épargnant ces postures solitaires est bien importante. Mais, pour ce faire, il faut que le peuple ait l’impression ou mieux, ait confiance aux dirigeants en étant sûrs que ceux-ci, sont là pour eux. » L’invité de Dakaractu de poursuivre pour ajouter que la prévention est une option très efficace qui doit bien attirer l’attention des autorités : « Nous prenons une bonne partie du budget du Sénégal pour la prévention, nous aurons marqué un pas important vers la résilience. Cette question, qui doit prendre une bonne part du budget, nous fera de plus, savoir l’ancien ministre de la communication qui estime dans la foulée, que les médias, doivent faire partie des relayeurs de cette prévention.
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