Ce vendredi 05 juin, des milliers de personnes ont convergé vers la Place de l’Indépendance pour répondre à l’appel du Rassemblement des forces patriotiques du Mali.
Cette organisation qui fédère la coordination des mouvements, associations et sympathisants de l’Imam Mahmoud Dicko (CMAS), l’Espoir Mali Koura (EMK) et le Front pour la sauvegarde de la Démocratie (FSD) a initié ce rassemblement aux fins de réclamer le départ d’Ibrahim Boubacar Keïta du pouvoir. Pour ces opposants au président malien, son régime n’est plus en mesure de tenir les rênes du Mali.
Les griefs reprochés au régime ont pour noms : « Une gestion catastrophique de la crise multidimensionnelle au Mali, des atteintes à la souveraineté, à l’intégrité du territoire national ; des forces armées et de sécurité laissées à l’abandon, l’insécurité généralisée avec son cortège de morts, de villages détruits, et de populations déplacées ; la malgouvernance, la corruption et la gabegie financière, au détriment du monde paysan et du secteur privé ; la détérioration sans précédent des services sociaux de base comme l’éducation, la santé, l’électricité, l’eau les infrastructures routières ; la paupérisation croissante des populations laborieuses ; des atteintes récurrentes aux valeurs et principes de la République ; les droits et libertés individuelles en péril ; l’impasse d’une voie électorale désormais hypothéquée.
Devant ce constat, l’Imam Dicko et ses partisans attendent du locataire du palais de Koulouba qu’il rende le tablier au plus tard, à 18 heures, ce vendredi. « Au-delà le peuple souverain en tirera toutes les conséquences », avertissent-ils IBK.
Cette organisation qui fédère la coordination des mouvements, associations et sympathisants de l’Imam Mahmoud Dicko (CMAS), l’Espoir Mali Koura (EMK) et le Front pour la sauvegarde de la Démocratie (FSD) a initié ce rassemblement aux fins de réclamer le départ d’Ibrahim Boubacar Keïta du pouvoir. Pour ces opposants au président malien, son régime n’est plus en mesure de tenir les rênes du Mali.
Les griefs reprochés au régime ont pour noms : « Une gestion catastrophique de la crise multidimensionnelle au Mali, des atteintes à la souveraineté, à l’intégrité du territoire national ; des forces armées et de sécurité laissées à l’abandon, l’insécurité généralisée avec son cortège de morts, de villages détruits, et de populations déplacées ; la malgouvernance, la corruption et la gabegie financière, au détriment du monde paysan et du secteur privé ; la détérioration sans précédent des services sociaux de base comme l’éducation, la santé, l’électricité, l’eau les infrastructures routières ; la paupérisation croissante des populations laborieuses ; des atteintes récurrentes aux valeurs et principes de la République ; les droits et libertés individuelles en péril ; l’impasse d’une voie électorale désormais hypothéquée.
Devant ce constat, l’Imam Dicko et ses partisans attendent du locataire du palais de Koulouba qu’il rende le tablier au plus tard, à 18 heures, ce vendredi. « Au-delà le peuple souverain en tirera toutes les conséquences », avertissent-ils IBK.
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