DAKARACTU.COM L'un des arguments massus de la coalition Fal 2012 contre Macky Sall consiste à dire qu'il a signé des engagements avec chacun des leaders de l'opposition qui le soutiennent et qu'il sera l'otage de ses nombreuses promesses le jour où il accédera au pouvoir.
Qu'en est-il, au juste ? Le candidat de la coalition Macky 2012 a certes promis d'associer tous ses soutiens à l'exercice du pouvoir. Il a lancé le slogan "Gagner ensemble et gérer ensemble". Dakaractu est toutefois en mesure d'écrire que l'adversaire d'Abdoulaye Wade n'a pris aucun engagement sur des postes clairement identifiés à distribuer en cas de victoire. En dehors de Youssou Ndour, qui lui a soumis neuf points relatifs à des préoccupations des Sénégalais (réduction du coût de la vie, règlement de la crise casamançaise, secours au monde rural...), Moustapha Niasse et Ousmane Tanor Dieng ont mis l'accent sur la nécessité d'appliquer les conclusions des Assises nationales. Tous les autres ont apporté à Macky Sall un soutien sans condition. Idrissa Seck, par exemple, a martelé qu'il ralliait sa candidature sans négociation ni condition préalable.
N'empêche, Macky va, s'il est élu, associer des hommes et des femmes de ses différents soutiens à la gestion du pays. Mais pas avec les contraintes souvent décrites.
Qu'en est-il, au juste ? Le candidat de la coalition Macky 2012 a certes promis d'associer tous ses soutiens à l'exercice du pouvoir. Il a lancé le slogan "Gagner ensemble et gérer ensemble". Dakaractu est toutefois en mesure d'écrire que l'adversaire d'Abdoulaye Wade n'a pris aucun engagement sur des postes clairement identifiés à distribuer en cas de victoire. En dehors de Youssou Ndour, qui lui a soumis neuf points relatifs à des préoccupations des Sénégalais (réduction du coût de la vie, règlement de la crise casamançaise, secours au monde rural...), Moustapha Niasse et Ousmane Tanor Dieng ont mis l'accent sur la nécessité d'appliquer les conclusions des Assises nationales. Tous les autres ont apporté à Macky Sall un soutien sans condition. Idrissa Seck, par exemple, a martelé qu'il ralliait sa candidature sans négociation ni condition préalable.
N'empêche, Macky va, s'il est élu, associer des hommes et des femmes de ses différents soutiens à la gestion du pays. Mais pas avec les contraintes souvent décrites.
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