L’Assemblée Générale annuelle de l’Association des Anciens Sous-Préfets du Sénégal s’est tenue ce lundi dans la salle de réunion du Conseil départemental de Mbacké, sous la présidence d’Elhadji Bafodé Kallo. Cette rencontre marque, selon les propos du président, un tournant décisif dans l’évolution de l’association, désormais agréée en tant qu’ONG sous le nom de « Promotion du Développement Territorial et de la Protection des Droits Humains (PDTH) ».
Après la présentation du rapport moral par le président, les membres ont suivi les rapports d’activités et financiers, respectivement présentés par le Secrétaire général Papa Ndiaye et le Trésorier général Youssouph Hanne. À l’issue des échanges, l’ONG PDTH s’est dotée d’un nouveau tableau de bord stratégique destiné à renforcer son rôle d’appui aux politiques publiques.
L’ancien sous-préfet de Ndame a précisé que les axes prioritaires de ce nouveau tableau de bord sont de nature à transformer en profondeur plusieurs secteurs clés du développement territorial.
Ainsi, le plan d’action adopté par l’Assemblée met l’accent sur plusieurs enjeux majeurs que sont : e renforcement des capacités des officiers d’état civil, à travers des formations ciblées pour améliorer la gestion des registres et lutter contre les irrégularités…. la sensibilisation des populations, avec à la clé plusieurs campagnes sur les bonnes pratiques en matière d’état civil, notamment dans les zones rurales… la gestion des terres du domaine national, axée sur la promotion du dialogue entre acteurs locaux afin de prévenir les conflits fonciers.
Elhadji Bafodé Kallo a également évoqué d’autres priorités, notamment: la passation des marchés publics et des contrats, avec un accompagnement des collectivités pour plus de transparence et de redevabilité… la lutte contre la migration irrégulière, à travers des actions de sensibilisation auprès des jeunes pour valoriser les opportunités locales... la protection des femmes et des filles, via des programmes de prévention des violences basées sur le genre… la prévention des conflits entre agriculteurs et éleveurs, par la mise en place de mécanismes de médiation communautaire.
Notre interlocuteur a rappelé que « le sous-préfet est le premier maillon de l’administration dans les territoires. Notre expérience est un levier pour accompagner l’État dans ses missions , avant de souligner la volonté de l’ONG de devenir un acteur incontournable du développement territorial et de la défense des droits humains.
Après la présentation du rapport moral par le président, les membres ont suivi les rapports d’activités et financiers, respectivement présentés par le Secrétaire général Papa Ndiaye et le Trésorier général Youssouph Hanne. À l’issue des échanges, l’ONG PDTH s’est dotée d’un nouveau tableau de bord stratégique destiné à renforcer son rôle d’appui aux politiques publiques.
L’ancien sous-préfet de Ndame a précisé que les axes prioritaires de ce nouveau tableau de bord sont de nature à transformer en profondeur plusieurs secteurs clés du développement territorial.
Ainsi, le plan d’action adopté par l’Assemblée met l’accent sur plusieurs enjeux majeurs que sont : e renforcement des capacités des officiers d’état civil, à travers des formations ciblées pour améliorer la gestion des registres et lutter contre les irrégularités…. la sensibilisation des populations, avec à la clé plusieurs campagnes sur les bonnes pratiques en matière d’état civil, notamment dans les zones rurales… la gestion des terres du domaine national, axée sur la promotion du dialogue entre acteurs locaux afin de prévenir les conflits fonciers.
Elhadji Bafodé Kallo a également évoqué d’autres priorités, notamment: la passation des marchés publics et des contrats, avec un accompagnement des collectivités pour plus de transparence et de redevabilité… la lutte contre la migration irrégulière, à travers des actions de sensibilisation auprès des jeunes pour valoriser les opportunités locales... la protection des femmes et des filles, via des programmes de prévention des violences basées sur le genre… la prévention des conflits entre agriculteurs et éleveurs, par la mise en place de mécanismes de médiation communautaire.
Notre interlocuteur a rappelé que « le sous-préfet est le premier maillon de l’administration dans les territoires. Notre expérience est un levier pour accompagner l’État dans ses missions , avant de souligner la volonté de l’ONG de devenir un acteur incontournable du développement territorial et de la défense des droits humains.