Après avoir renversé le président malien, Ibrahim Boubacar Keita, des militaires réunis au sein du Comité national pour le salut du peuple (CNSP) ont décliné leurs intentions dans une déclaration diffusée par la télévision publique ce mercredi 19 Août.
Par la voix du Colonel major Ismael Wagué, la junte, qui tient désormais les rênes du Mali, a argué avoir pris ses responsabilités pour éviter que le pays ne sombre à la faveur d’une crise socio-politique qui aura mis à nu toutes les carences et les défaillances d’un pouvoir aux antipodes de la bonne gouvernance.
La Junte qui s’est dévoilée à la face du monde, a ainsi décidé de fermer toutes les frontières terrestres et aériennes à compter de ce mercredi. Et ce, jusqu’à nouvel ordre. Un couvre-feu est également instauré dans le pays de 21h à 05h du matin.
Cependant, les services publics continueront de fonctionner par « ceux qui en ont droit au regard des textes en vigueur ».
« La société civile et les mouvements socio-politiques sont invités à nous rejoindre, pour ensemble, créer les meilleures conditions d’une transition politique civile, conduisant à des élections générales crédibles pour l'exercice à travers une feuille de route qui jettera les bases d’un Mali nouveau », ajoute le porte-parole de la Junte qui attend de la communauté internationale un accompagnement « pour le bien être du Mali ».
Les opérations françaises et onusiennes en cours au Mali ne sont nullement remises en question par les nouvelles autorités qui assurent que « tous les accords passés avec les partenaires nationaux, régionaux et internationaux seront respectés ».
C’est dans ce cadre, que les militaires, qui ont pris le pouvoir au Mali, ont invité la Coordination des mouvements de l’Azawad et de la Plateforme « à nous rejoindre pour la mise en œuvre de l’accord issu du processus d’Alger ».
Pour le Comité national pour le salut du peuple, il est aussi question de « prendre en compte les conclusions du dialogue national inclusif pour l’amélioration du bon cadre de bonne gouvernance ».
« Nous ne tenons pas au pouvoir. Mais nous tenons à la stabilité du pays qui nous permettra d’organiser des élections générales dans des délais raisonnables consentis pour permettre au Mali de se doter d’institutions fortes capables de gérer au mieux notre quotidien et restaurer la confiance entre gouvernants et gouvernés », conclut le CNSP.
Par la voix du Colonel major Ismael Wagué, la junte, qui tient désormais les rênes du Mali, a argué avoir pris ses responsabilités pour éviter que le pays ne sombre à la faveur d’une crise socio-politique qui aura mis à nu toutes les carences et les défaillances d’un pouvoir aux antipodes de la bonne gouvernance.
La Junte qui s’est dévoilée à la face du monde, a ainsi décidé de fermer toutes les frontières terrestres et aériennes à compter de ce mercredi. Et ce, jusqu’à nouvel ordre. Un couvre-feu est également instauré dans le pays de 21h à 05h du matin.
Cependant, les services publics continueront de fonctionner par « ceux qui en ont droit au regard des textes en vigueur ».
« La société civile et les mouvements socio-politiques sont invités à nous rejoindre, pour ensemble, créer les meilleures conditions d’une transition politique civile, conduisant à des élections générales crédibles pour l'exercice à travers une feuille de route qui jettera les bases d’un Mali nouveau », ajoute le porte-parole de la Junte qui attend de la communauté internationale un accompagnement « pour le bien être du Mali ».
Les opérations françaises et onusiennes en cours au Mali ne sont nullement remises en question par les nouvelles autorités qui assurent que « tous les accords passés avec les partenaires nationaux, régionaux et internationaux seront respectés ».
C’est dans ce cadre, que les militaires, qui ont pris le pouvoir au Mali, ont invité la Coordination des mouvements de l’Azawad et de la Plateforme « à nous rejoindre pour la mise en œuvre de l’accord issu du processus d’Alger ».
Pour le Comité national pour le salut du peuple, il est aussi question de « prendre en compte les conclusions du dialogue national inclusif pour l’amélioration du bon cadre de bonne gouvernance ».
« Nous ne tenons pas au pouvoir. Mais nous tenons à la stabilité du pays qui nous permettra d’organiser des élections générales dans des délais raisonnables consentis pour permettre au Mali de se doter d’institutions fortes capables de gérer au mieux notre quotidien et restaurer la confiance entre gouvernants et gouvernés », conclut le CNSP.
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