Le tirage du Groupe I de la Coupe du Monde 2026 a accouché d’un monstre à trois têtes: la France de Mbappé, la Norvège de Haaland, et le Sénégal de… Pape Thiaw. Oui, Pape Thiaw. Et si vous avez cligné des yeux, vous avez raté l’entrée en scène d’un pays qui n’a plus le droit de jouer les figurants.
On ne parle plus du petit poucet qui danse autour du feu. Le Sénégal a déjà fait tomber la France en 2002, humilié l’Angleterre en 2024, et fait trembler plus d’un géant. Alors, dans ce groupe, pas de complexe. Mbappé court vite? Très bien. Haaland frappe fort? Parfait. Mais les Lions ont des griffes, et elles ne sont pas là pour caresser.
Le sélectionneur sénégalais devra transformer la CAN en laboratoire. Pas pour tester des potions magiques, mais pour injecter du sang neuf. Iliman Ndiaye, Assane Diao, Yehvan Diouf, Mamadou Sarr, Cheikh Sabaly, Pape Matar Sarr… Ce ne sont pas des noms à mettre sur le banc pour faire joli. Ce sont des moteurs, des fusées, des antidotes à la vitesse de Mbappé et Haaland.
Et si Thiaw veut aller loin, il devra sortir la carte d’Europe, fouiller les championnats, dénicher les binationaux, et leur dire: « Le train part maintenant. Monte ou reste à quai. »
Sadio Mané, Kalidou Koulibaly, Idrissa Gana Guèye… Ils ont porté le drapeau, ils ont fait vibrer le continent. Mais l’heure n’est plus aux statues. Ils doivent devenir des guides, pas des freins. La jeunesse pousse, et elle pousse fort. La transition ne doit pas être une guerre de générations, mais une passation musclée.
PHYSIQUE, VITESSE ET ENDURANCE
Une Coupe du Monde, c’est une guerre de tranchées avec des sprints tous les trois jours. Il faut des joueurs qui courent, qui cognent, qui respirent encore à la 120e minute. Pas des artistes fatigués après une passe en profondeur. Le Sénégal doit aligner une équipe véloce, physique, affamée. Sinon, c’est retour à la maison avec des selfies et des regrets.
La France fait peur? La Norvège impressionne? L’Angleterre aussi faisait peur, et elle est tombée. Le Sénégal n’a pas besoin de trembler. Il a besoin de rugir. Ce groupe I n’est pas une malédiction. C’est une opportunité. Une scène mondiale pour montrer que les Lions ne miaulent pas. Ils mordent.
Bref… Le Sénégal n’a pas le droit de faire moins que la génération de El Hadj Diouf. Et cette fois, il a les armes, les jambes, et les idées. À Pape Thiaw de jouer. Et à ses Lions de rugir.
On ne parle plus du petit poucet qui danse autour du feu. Le Sénégal a déjà fait tomber la France en 2002, humilié l’Angleterre en 2024, et fait trembler plus d’un géant. Alors, dans ce groupe, pas de complexe. Mbappé court vite? Très bien. Haaland frappe fort? Parfait. Mais les Lions ont des griffes, et elles ne sont pas là pour caresser.
Le sélectionneur sénégalais devra transformer la CAN en laboratoire. Pas pour tester des potions magiques, mais pour injecter du sang neuf. Iliman Ndiaye, Assane Diao, Yehvan Diouf, Mamadou Sarr, Cheikh Sabaly, Pape Matar Sarr… Ce ne sont pas des noms à mettre sur le banc pour faire joli. Ce sont des moteurs, des fusées, des antidotes à la vitesse de Mbappé et Haaland.
Et si Thiaw veut aller loin, il devra sortir la carte d’Europe, fouiller les championnats, dénicher les binationaux, et leur dire: « Le train part maintenant. Monte ou reste à quai. »
Sadio Mané, Kalidou Koulibaly, Idrissa Gana Guèye… Ils ont porté le drapeau, ils ont fait vibrer le continent. Mais l’heure n’est plus aux statues. Ils doivent devenir des guides, pas des freins. La jeunesse pousse, et elle pousse fort. La transition ne doit pas être une guerre de générations, mais une passation musclée.
PHYSIQUE, VITESSE ET ENDURANCE
Une Coupe du Monde, c’est une guerre de tranchées avec des sprints tous les trois jours. Il faut des joueurs qui courent, qui cognent, qui respirent encore à la 120e minute. Pas des artistes fatigués après une passe en profondeur. Le Sénégal doit aligner une équipe véloce, physique, affamée. Sinon, c’est retour à la maison avec des selfies et des regrets.
La France fait peur? La Norvège impressionne? L’Angleterre aussi faisait peur, et elle est tombée. Le Sénégal n’a pas besoin de trembler. Il a besoin de rugir. Ce groupe I n’est pas une malédiction. C’est une opportunité. Une scène mondiale pour montrer que les Lions ne miaulent pas. Ils mordent.
Bref… Le Sénégal n’a pas le droit de faire moins que la génération de El Hadj Diouf. Et cette fois, il a les armes, les jambes, et les idées. À Pape Thiaw de jouer. Et à ses Lions de rugir.