C’est lors d’une journée de sensibilisation, de formation, d’éducation mais aussi et surtout d’appuis techniques, que Microsoft d’Afrique de l’Ouest et du centre s’est engagé à aider à éradiquer le phénomène de la cybercriminalité. Intitulé « jouer la prudence », la rencontre a permis d’éplucher les différents dysfonctionnements liés à la fraude informatique qui de plus en plus gagne du terrain dans notre pays, au grand dam des personnes physiques et des entreprises notamment. Les experts ont saisi l’occasion pour sensibiliser sur les dangers de la criminalité et faire des démonstrations allant dans le sens de clarifier la chose.
Ainsi les discussions ont permis de dévoiler des résultats d’enquêtes fracassantes sur les infractions pénales qui se commettent aux moyens ou sur un système informatique. Il est alors ressorti que les délinquants qui s’adonnent à cet exercice, utilisent des logiciels d’appels gratuits sur Internet, et contactent leurs victimes en usant de numéros inconnus. A partir d'un clavier et d'un écran, ils vident des comptes en banque, arnaquent, volent des crédits, diffament, usurpent des identités, bref commettent toutes les infractions qu'on puisse imaginer.
Ainsi leur préjudice est évalué à environ 3,6 milliards de Francs Cfa, selon les experts de Microsoft, simplement parce que les victimes piégées, investissent beaucoup d’argent, et les malfrats disparaissent le plus souvent dans la nature. Les enquêtes ont en outre révélé que les réseaux sociaux sont devenus une vraie mine d’informations pour ces criminels. Au Sénégal chaque année, plusieurs entreprises sont victimes de piratage informatique. Le site du Conseil National du Patronat (CNP) (socialnetlink) ceux de l’Assemblée Nationale (Techmissus) et du gouvernement (gouv. Sn), l’entreprise Orange avec le vol de crédit et le secteur bancaire entre autres, sont leurs différentes cibles. C’est donc pour parer à cela, que Microsoft, s’est engagé avec d’autres acteurs pour sensibiliser et aider le Sénégal à se doter d’une bonne hygiène informatique.
Ainsi les discussions ont permis de dévoiler des résultats d’enquêtes fracassantes sur les infractions pénales qui se commettent aux moyens ou sur un système informatique. Il est alors ressorti que les délinquants qui s’adonnent à cet exercice, utilisent des logiciels d’appels gratuits sur Internet, et contactent leurs victimes en usant de numéros inconnus. A partir d'un clavier et d'un écran, ils vident des comptes en banque, arnaquent, volent des crédits, diffament, usurpent des identités, bref commettent toutes les infractions qu'on puisse imaginer.
Ainsi leur préjudice est évalué à environ 3,6 milliards de Francs Cfa, selon les experts de Microsoft, simplement parce que les victimes piégées, investissent beaucoup d’argent, et les malfrats disparaissent le plus souvent dans la nature. Les enquêtes ont en outre révélé que les réseaux sociaux sont devenus une vraie mine d’informations pour ces criminels. Au Sénégal chaque année, plusieurs entreprises sont victimes de piratage informatique. Le site du Conseil National du Patronat (CNP) (socialnetlink) ceux de l’Assemblée Nationale (Techmissus) et du gouvernement (gouv. Sn), l’entreprise Orange avec le vol de crédit et le secteur bancaire entre autres, sont leurs différentes cibles. C’est donc pour parer à cela, que Microsoft, s’est engagé avec d’autres acteurs pour sensibiliser et aider le Sénégal à se doter d’une bonne hygiène informatique.