La levée de restrictions dans certains secteurs clés au Sénégal, tels le transport, décrétée ce jeudi 4 juin 2020, a donné une nouvelle impulsion à la lutte contre la Covid-19. Quelques heures après l’annonce du ministre de la Santé et de l’Action sociale (Msas) faisant état ’’d’une tendance baissière de la courbe des cas confirmés’’, le bureau de l’Organisation mondiale de la Santé (Oms) en a appelé à l’implication effective des communautés dans la riposte contre le coronavirus.
‘’Actuellement, il y a des approches qu’il faut prendre en compte. C’est le moment de mettre à jour l’engagement communautaire, parce qu’impliquer les leaders et les influenceurs, en terme de responsabilité et de rôle à jouer, cela va donner plus d’effet. Parce la contamination étant communautaire, il faut remettre la communauté à la place qu’il faut pour faire en sorte que les messages passent. Quand on vit avec une communauté, on est bien placé pour comprendre leurs besoins en communication et en information pour changer la donne. Encore que les chiffres augmentent et il n’est jamais trop tard pour adapter les stratégies. En matière de crise, c’est normal, les situations peuvent évoluer. Mais, il faut un moment les analyser pour voir qu’est ce qui a marché et qu’est ce qui n’a pas marché. Et c’est ce qui est fait régulièrement’’, a indiqué Rodriguez Barry. Lequel participait à une session de mise à niveau au profit des membres de l’Ajspd (Association des journalistes en Santé, population et développement) sur la Communication en situation d’urgence. Ce, à l’image de cette crise sanitaire installée par la Covid-19 dans le monde.
Pour M. Barry, ‘’l’évolution de la Covid-19, c’est toute la planète. Ce n’est pas seulement au Sénégal. C’est une maladie à contamination aérienne. Si le problème est résolu au Sénégal, ce n’est pas le cas au plan mondial parce que l’Oms a déclaré que c’est une pandémie. Le problème va finir quand on aura réglé la situation dans l’ensemble des pays. Et chaque pays à la responsabilité de faire en sorte de prendre en charge sa population, de trouver les moyens de protéger les uns et les autres. Je crois que l’espoir est toujours permis, les crises évoluent mais elles finissent par s’arrêter avec les leviers qu’on installe.’’
Agent de l’Oms dans l’équipe des urgences qui couvre l’Afrique de l’Ouest et du centre, il a profité d’une rencontre initiée au profit des journalistes et dédiée à la communication de risque et les engagements communautaires, pour plaider en faveur de l’implication des populations, à la base. ‘’On ne peut pas travailler dans les urgences, sans prendre en compte la communication sur les urgences et l’engagement communautaire. C’est pourquoi nous avons jugé que les journalistes étant des partenaires importants et des influenceurs, il serait bon qu’ils aient une bonne maitrise de ce concept pour aider à créer la confiance, à remonter les rumeurs et à corriger les fausses informations’’.
‘’Actuellement, il y a des approches qu’il faut prendre en compte. C’est le moment de mettre à jour l’engagement communautaire, parce qu’impliquer les leaders et les influenceurs, en terme de responsabilité et de rôle à jouer, cela va donner plus d’effet. Parce la contamination étant communautaire, il faut remettre la communauté à la place qu’il faut pour faire en sorte que les messages passent. Quand on vit avec une communauté, on est bien placé pour comprendre leurs besoins en communication et en information pour changer la donne. Encore que les chiffres augmentent et il n’est jamais trop tard pour adapter les stratégies. En matière de crise, c’est normal, les situations peuvent évoluer. Mais, il faut un moment les analyser pour voir qu’est ce qui a marché et qu’est ce qui n’a pas marché. Et c’est ce qui est fait régulièrement’’, a indiqué Rodriguez Barry. Lequel participait à une session de mise à niveau au profit des membres de l’Ajspd (Association des journalistes en Santé, population et développement) sur la Communication en situation d’urgence. Ce, à l’image de cette crise sanitaire installée par la Covid-19 dans le monde.
Pour M. Barry, ‘’l’évolution de la Covid-19, c’est toute la planète. Ce n’est pas seulement au Sénégal. C’est une maladie à contamination aérienne. Si le problème est résolu au Sénégal, ce n’est pas le cas au plan mondial parce que l’Oms a déclaré que c’est une pandémie. Le problème va finir quand on aura réglé la situation dans l’ensemble des pays. Et chaque pays à la responsabilité de faire en sorte de prendre en charge sa population, de trouver les moyens de protéger les uns et les autres. Je crois que l’espoir est toujours permis, les crises évoluent mais elles finissent par s’arrêter avec les leviers qu’on installe.’’
Agent de l’Oms dans l’équipe des urgences qui couvre l’Afrique de l’Ouest et du centre, il a profité d’une rencontre initiée au profit des journalistes et dédiée à la communication de risque et les engagements communautaires, pour plaider en faveur de l’implication des populations, à la base. ‘’On ne peut pas travailler dans les urgences, sans prendre en compte la communication sur les urgences et l’engagement communautaire. C’est pourquoi nous avons jugé que les journalistes étant des partenaires importants et des influenceurs, il serait bon qu’ils aient une bonne maitrise de ce concept pour aider à créer la confiance, à remonter les rumeurs et à corriger les fausses informations’’.
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