L’un des candidats à la municipalité de Kolda, Sanoussi Diakité s’est confié à Dakaractu/Kolda sur son programme, sa vision et ses attentes pour la commune. À ce titre, il demeure très confiant en la victoire finale en étalant ses ambitions pour la municipalité.
C’est donc un Sanoussi (ex DG ONFP) très relaxe que nous avons rencontré et qui compte faire de « Kolda, une ville d’affaires écologique à rayonnement international ».
« Nous nous employons à aller vers les électeurs pour solliciter leur adhésion à notre projet afin qu’ils puissent voter pour nous. Et ceci doit passer par un dialogue avec les électeurs. Et tout tourne autour de cet axe principal », confie-t-il dans un air très décontracté en compagnie de son équipe.
Revenant sur sa démarche, il précise : « mon programme est bâti autour d’une vision qui s’adosse sur la vocation et l’origine de Kolda avec un aspect écologique. Kolda est un point de rencontre, une ville d’affaires. C’est pourquoi, j’ai bâti mon programme autour de la vision « Kolda, ville d’affaires à rayonnement international ». En ce sens, il poursuit : « j’ai axé mon programme sur 5 projets structurants dont les effets induits vont investir les secteurs économique, social, environnemental entre autres. Ainsi, nous comptons draguer le fleuve, traiter les déchets, installer des industries de transformation, créer un parc d’exposition-vente. Tout cela a pour but de créer des emplois autour de sept mille et dix mille emplois directs et indirects. »
Et cela va « renflouer davantage le budget de la mairie, car aujourd’hui elle a un budget insignifiant d'à peine un milliard. Et ces cinq projets vont permettre au budget de monter jusqu’à 5 milliards. Et cet accroissement substantiel du budget va permettre à la mairie d’investir dans la santé, l’éducation, l’éclairage public, le sport, la voirie », insiste-t-il.
Pour lui, « un programme doit être pertinent par rapport une problématique qu’il faut faire apparaitre aux yeux de l’électorat. Par exemple, l’ensablement du fleuve aujourd’hui préoccupe tout le monde. De même que le marché central est devenu très exigu pour les populations. Et dire que j’ai trouvé une solution à ces maux attirera l’attention des koldois. » Mais également, il faut « compter sur le partenariat public-privé, la diaspora et la coopération décentralisée pour développer la ville. »
« On est très confiant car je réponds aux besoins des koldois. Nous sommes très sereins en ce sens car étant conscientes, les populations vont me confier la responsabilité de mettre en œuvre les solutions que j’ai identifiées pour elles. Je serais au service des koldois en assumant pleinement cette responsabilité », conclura-t-il...
C’est donc un Sanoussi (ex DG ONFP) très relaxe que nous avons rencontré et qui compte faire de « Kolda, une ville d’affaires écologique à rayonnement international ».
« Nous nous employons à aller vers les électeurs pour solliciter leur adhésion à notre projet afin qu’ils puissent voter pour nous. Et ceci doit passer par un dialogue avec les électeurs. Et tout tourne autour de cet axe principal », confie-t-il dans un air très décontracté en compagnie de son équipe.
Revenant sur sa démarche, il précise : « mon programme est bâti autour d’une vision qui s’adosse sur la vocation et l’origine de Kolda avec un aspect écologique. Kolda est un point de rencontre, une ville d’affaires. C’est pourquoi, j’ai bâti mon programme autour de la vision « Kolda, ville d’affaires à rayonnement international ». En ce sens, il poursuit : « j’ai axé mon programme sur 5 projets structurants dont les effets induits vont investir les secteurs économique, social, environnemental entre autres. Ainsi, nous comptons draguer le fleuve, traiter les déchets, installer des industries de transformation, créer un parc d’exposition-vente. Tout cela a pour but de créer des emplois autour de sept mille et dix mille emplois directs et indirects. »
Et cela va « renflouer davantage le budget de la mairie, car aujourd’hui elle a un budget insignifiant d'à peine un milliard. Et ces cinq projets vont permettre au budget de monter jusqu’à 5 milliards. Et cet accroissement substantiel du budget va permettre à la mairie d’investir dans la santé, l’éducation, l’éclairage public, le sport, la voirie », insiste-t-il.
Pour lui, « un programme doit être pertinent par rapport une problématique qu’il faut faire apparaitre aux yeux de l’électorat. Par exemple, l’ensablement du fleuve aujourd’hui préoccupe tout le monde. De même que le marché central est devenu très exigu pour les populations. Et dire que j’ai trouvé une solution à ces maux attirera l’attention des koldois. » Mais également, il faut « compter sur le partenariat public-privé, la diaspora et la coopération décentralisée pour développer la ville. »
« On est très confiant car je réponds aux besoins des koldois. Nous sommes très sereins en ce sens car étant conscientes, les populations vont me confier la responsabilité de mettre en œuvre les solutions que j’ai identifiées pour elles. Je serais au service des koldois en assumant pleinement cette responsabilité », conclura-t-il...
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