« Il s’est agi, lorsqu’il a fallu reporter les élections, d’aller devant les députés. C’est donc une loi qui a été votée à l’Assemblée nationale et qui a prévu ce report, suite à un consensus noté dans le cadre de la commission politique du Dialogue national », a déclaré le « premier flic du pays ».
Une décision qui n’avait pas satisfait l’opposition. « Il y a eu des débats agités et des positions ont été prises et même des commentaires s’en sont suivis », a-t-il reconnu. Mais, il y a eu, poursuit-il, la nécessité d’évaluer le processus électoral depuis les élections de 2016, d’auditer le fichier électoral et enfin de s’accorder sur une proposition de date, qui devra être actée par décret.
« Voilà les préalables sans lesquels il ne sera pas possible de se prononcer sur une date fixe. En tout état de cause, le processus est en cours. Les experts qui doivent auditer le fichier sont en train d’être sélectionnés et les conclusions qui seront issues de ce travail permettront aux acteurs du dialogue qui est en cours », a précisé le ministre Antoine Abdoulaye Diome.
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