Les partisans de l’ancien Président Roch Marc Christian Kaboré peuvent humer l’air du soulagement suite à la décision des autorités du Burkina Faso d’avoir libérer l’ex président burkinabé Marc Christian Kaboré après ce fameux coup d’État du 24 Janvier 2022. Une décision très appréciée par le Groupe d'Initiatives pour une Médiation à l'Africaine (GIMA) .
En effet, depuis sa chute, tous les appels de la CEDEAO et de l’Union Africaine pour sa libération avaient été vains. Les autorités politiques, coutumières et religieuses du pays avaient aussi réclamé avec vigueur la libération de l’ancien président. Une décision hautement appréciée par le GIMA.
Ainsi, Le GIMA les encourage à s’atteler à apaiser les cœurs et à renoncer à toutes pratiques pouvant conduire à des troubles institutionnels et sociaux. Par conséquent, le GIMA appelle la CEDEAO, l’Union Africaine et l’OIF à apprécier cet acte de bonne volonté de la part de la Transition et à lever progressivement la suspension du Burkina Faso de leurs instances respectives.
Toujours fidèle à son rôle d’alerte et de veille, le GIMA s’engage à mettre au service du Burkina Faso son expertise en matière de prévention des conflits, de restauration de la paix et de médiation pour la reconstruction nationale.
Réunis autour d’une organisation, le GIMA exprime, en outre son soutien total à tous les efforts visants à améliorer les mécanismes de médiation rapides et efficaces à l’Africaine, c’est-à-dire s’appuyant sur des ressources endogènes pour la gestion des conflits en Afrique, ou ailleurs où sa médiation et son expertise sont requises pour le retour ou l’instauration de la paix.
En effet, depuis sa chute, tous les appels de la CEDEAO et de l’Union Africaine pour sa libération avaient été vains. Les autorités politiques, coutumières et religieuses du pays avaient aussi réclamé avec vigueur la libération de l’ancien président. Une décision hautement appréciée par le GIMA.
Ainsi, Le GIMA les encourage à s’atteler à apaiser les cœurs et à renoncer à toutes pratiques pouvant conduire à des troubles institutionnels et sociaux. Par conséquent, le GIMA appelle la CEDEAO, l’Union Africaine et l’OIF à apprécier cet acte de bonne volonté de la part de la Transition et à lever progressivement la suspension du Burkina Faso de leurs instances respectives.
Toujours fidèle à son rôle d’alerte et de veille, le GIMA s’engage à mettre au service du Burkina Faso son expertise en matière de prévention des conflits, de restauration de la paix et de médiation pour la reconstruction nationale.
Réunis autour d’une organisation, le GIMA exprime, en outre son soutien total à tous les efforts visants à améliorer les mécanismes de médiation rapides et efficaces à l’Africaine, c’est-à-dire s’appuyant sur des ressources endogènes pour la gestion des conflits en Afrique, ou ailleurs où sa médiation et son expertise sont requises pour le retour ou l’instauration de la paix.
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