À Kolda, la tête de liste de la coalition Aar/Sénégal, Thierno Alassane Sall, a présenté son programme aux fouladounabé. Mais également, il a profité de ce moment avec la presse ce jeudi 14 juillet, pour critiquer les réalisations du gouvernement qu'il a jugé " inutiles car ne répondant pas aux aspirations du peuple."
Arrivé sous la pluie vers 22 heures ce mercredi 13 juillet, il a rendu visite aux chefs religieux. Mais également, il a présenté son programme aux populations.
À en croire Thierno Alassane Sall, "nous constatons un déséquilibre profond en terme d'investissements comme à Diamniadio où il n'y a personne. Et surtout dans des infrastructures qui n'apportent rien à la productivité du pays comme l'arène nationale, le centre Abdou Diouf entre autres. C'est une dette que vont payer toutes les populations." C'est pourquoi, précise-t-il, "notre programme nommé contrat de législature 14/14 avec ces réformes vient pour corriger ces anomalies, une fois à l'hémicycle. D'ailleurs, l’Assemblée nationale ne fonctionne pas selon les principes élémentaires de la démocratie."
Dans la foulée, il poursuit sans détours : "nous devons nous inscrire dans la rupture avec l’Assemblée nationale en réaffectant les ressources (eau, électricité, éducation...)." Il soutient que les programmes du PUDC et du PUMA sont un exemple illustratif de la mal gouvernance du pouvoir (Bby). "En venant j'ai vu des pistes à Kounkané mais je suis sûr qu'elle ne tiendront pas longtemps... C'est pourquoi, j'invite les populations à voter la liste AAR/Sénégal pour un changement positif..."
Arrivé sous la pluie vers 22 heures ce mercredi 13 juillet, il a rendu visite aux chefs religieux. Mais également, il a présenté son programme aux populations.
À en croire Thierno Alassane Sall, "nous constatons un déséquilibre profond en terme d'investissements comme à Diamniadio où il n'y a personne. Et surtout dans des infrastructures qui n'apportent rien à la productivité du pays comme l'arène nationale, le centre Abdou Diouf entre autres. C'est une dette que vont payer toutes les populations." C'est pourquoi, précise-t-il, "notre programme nommé contrat de législature 14/14 avec ces réformes vient pour corriger ces anomalies, une fois à l'hémicycle. D'ailleurs, l’Assemblée nationale ne fonctionne pas selon les principes élémentaires de la démocratie."
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