Cette information divulguée par le journal où collaborait régulièrement le journaliste critique de Ryad contredit les récentes affirmations du royaume saoudien qui a totalement dédouané le prince héritier Mohammed ben Salmane. Contactée par l'AFP, l'agence américaine de renseignements a refusé de commenter.
Pour parvenir à ces conclusions, précise le Washington Post, la CIA a examiné plusieurs sources de renseignement, notamment un appel entre le frère du puissant prince héritier, également ambassadeur saoudien aux Etats-Unis, et Jamal Khashoggi.
Selon le quotidien de Washington, Khalid ben Salmane a conseillé à M. Khashoggi de se rendre au consulat saoudien à Istanbul, lui assurant qu'il ne lui arriverait rien.
Le quotidien ajoute qu'il avait passé ce coup de fil à la demande de son frère, ajoutant qu'il n'était pas clair que Khalid ben Salmane soit au courant que M. Khashoggi serait ensuite assassiné.Khalid ben Salmane a très rapidement réagi, sur Twitter, à ces accusations.
"C'est une accusation grave qui ne devrait pas être laissée à des sources anonymes", a-t-il dénoncé. Entré le 2 octobre dans le consulat saoudien d'Istanbul, le journaliste critique du pouvoir y a été assassiné. Le procureur général saoudien a admis jeudi que le journaliste avait été drogué et démembré sur place.
Sur un total de 21 suspects, le procureur général a inculpé à ce jour 11 personnes qui seront déférées devant la justice. Il a requis la peine capitale pour cinq d'entre elles, avait annoncé son adjoint lors d'une conférence de presse.
Le Trésor américain a annoncé le jeudi 15 novembre des sanctions ciblées contre 17 responsables saoudiens pour leur "responsabilité ou leur complicité" dans le meurtre de Khashoggi.
Pour parvenir à ces conclusions, précise le Washington Post, la CIA a examiné plusieurs sources de renseignement, notamment un appel entre le frère du puissant prince héritier, également ambassadeur saoudien aux Etats-Unis, et Jamal Khashoggi.
Selon le quotidien de Washington, Khalid ben Salmane a conseillé à M. Khashoggi de se rendre au consulat saoudien à Istanbul, lui assurant qu'il ne lui arriverait rien.
Le quotidien ajoute qu'il avait passé ce coup de fil à la demande de son frère, ajoutant qu'il n'était pas clair que Khalid ben Salmane soit au courant que M. Khashoggi serait ensuite assassiné.Khalid ben Salmane a très rapidement réagi, sur Twitter, à ces accusations.
"C'est une accusation grave qui ne devrait pas être laissée à des sources anonymes", a-t-il dénoncé. Entré le 2 octobre dans le consulat saoudien d'Istanbul, le journaliste critique du pouvoir y a été assassiné. Le procureur général saoudien a admis jeudi que le journaliste avait été drogué et démembré sur place.
Sur un total de 21 suspects, le procureur général a inculpé à ce jour 11 personnes qui seront déférées devant la justice. Il a requis la peine capitale pour cinq d'entre elles, avait annoncé son adjoint lors d'une conférence de presse.
Le Trésor américain a annoncé le jeudi 15 novembre des sanctions ciblées contre 17 responsables saoudiens pour leur "responsabilité ou leur complicité" dans le meurtre de Khashoggi.
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