Le duel: forces et faiblesses des protagonistes du round final (Par Cheikh Yérim Seck)


Le duel: forces et faiblesses des protagonistes du round final (Par Cheikh Yérim Seck)
DAKARACTU.COM Les dès sont jetés. Le deuxième tour de l’élection présidentielle opposera au mois de mars le président sortant Abdoulaye Wade et candidat de la coalition Macky 2012, son ancien Premier ministre Macky Sall, arrivé second par la grâce des suffrages des Sénégalais. Ce second tour s’avère serré et incertain. La trajectoire des deux hommes se confond en un instant où leurs divergences s’affichent et où paradoxalement les bienfaits du sortant ont fait et construit l’avenir de son adversaire. Wade, qui a participé à l’éclosion de Macky, dont il a eu à déclarer un jour qu’il avait été le véritable architecte de sa vision, va croiser le fer avec lui, et sans concession, voire avec une férocité stratégique implacable. Cet affrontement est singulier. C’est à un véritable duel que vont se livrer deux hommes que rien n’opposait il y a juste quatre ans. Au contraire.
Les Sénégalais devront choisir en tenant compte de facteurs subjectifs. D’où l’intérêt de marquer les forces et les faiblesses des deux hommes qui vont s’affronter en une des élections les plus incertaines de l’histoire de la vie politique du Sénégal.

Abdoulaye Wade part avec l’avantage du pouvoir. Et, quelles que soient ses actuelles et réelles difficultés, tous gardent à l’esprit sa fameuse sentence assénée à Faure Gnassingbé, lui disant qu’on n’organise pas une élection pour la perdre. Wade a un appareil, un grand parti, véritable machine de guerre à sa disposition dans un deuxième tour au couteau. Il a le nerf de cette guerre, l’argent, en dispose à satiété, et connait le pouvoir que cet argent exerce sur des populations en mal de paraître et de réussite. Une autre force de Wade, et pas la moindre, c’est qu’il est en tête de la course, et ce taux d’abstention dont tout le monde veut s’attacher la destination lui est peut-être favorable, puisqu’étant plus marqué dans ses bastions traditionnels d’influence et dans ses fiefs électoraux. Abdoulaye Wade a aussi son bilan. Il est incontestable qu’il a transfiguré le pays et Dakar en particulier. Il a en plus de cela son tempérament de combattant et d’obstiné dans l’adversité, et il n’aime rien de plus que les défis. Battre un adversaire qui a le vent en poupe, ça le gonfle à bloc. Donné pour battu, il se régénère, considéré comme essoufflé, il se revivifie. Son extraordinaire capacité de travail pourra entraîner les plus déroutés par la tournure pessimiste actuelle à se multiplier à la tâche, car il demeure un extraordinaire capitaine d’équipe. Et puis, last but not the least, Wade reste populaire, c’est un personnage de romans, un être qui concentre les esprits et dirige les énergies vers lui, les absorbe et les canalise. Son âge, direz-vous ? C’est sa faiblesse selon certains, c’est sa force selon ceux qui font de la vieillesse un puits de sagesse. A voir…

Quant à ses faiblesses, la première dans cette élection est le seul contre tous qu’il aura à gérer. Il aime ça, mais ce combat est difficile ; les possibilités de dialogue minces du fait qu’il aura ouvert avec quasiment tous les candidats des fronts de combat, dont le plus insensé est justement celui qui aura fait de son adversaire d’aujourd’hui un… martyr, comme les aiment les Sénégalais. Sa faiblesse dans ce scrutin, c’est son manque de volonté d’éclaircir ce serpent de mer que constitue cette supposée dévolution monarchique de son pouvoir. Une faiblesse de Wade dans son combat d’aujourd’hui, c’est aussi sa capacité déroutante à se dédire à un moment où les Sénégalais ont encore besoin de renforcer sa moralité et son sens des valeurs dont ils pensent à tort ou à raison qu’ils ont été spoliés ces dernières années. C’est enfin de distiller que justement il a travaillé et que, après tout cela, il devrait vouloir une retraite apaisante et apaisée. La faiblesse suprême de Wade, c’est ce sentiment de crier aux Sénégalais qu’il est indispensable.

Macky Sall, lui, a des forces indiscutables. Il est jeune, il est apparu sous les traits d’un homme que l’injustice a frappé alors qu’il ne faisait que son travail, injustice sortie du bras de celui auquel il était dévoué. De cette injustice, il fera une arme. C’est un bosseur, infatigable, qui a su faire le tour du pays alors que des hommes politiques ne s’aventurent à le faire que dans d’extrêmes conditions de confort. La force de Macky Sall dans cette élection est ce vent qui le pousse dans le dos rendant tous ses faits et gestes en harmonie avec l’air du temps. C’est aussi une capacité d’organisation, un sens du jugement, de l’agrégation des compétences et de leur mise en mouvements communs. La force de Macky, c’est sa détermination à aller au bout, son art de « tuer le père » sans faire dans le dramatique, mais dans le normal, dans la logique successorale. Même dans une certaine adversité. Cela nécessite un certain courage politique. Ce courage politique, il en a également fait montre pour prendre ses distances avec certaines propositions fort prématurées des Assises nationales, avec la candidature unique de Bennoo, mais aussi avec cette stratégie de non-campagne du M23. Pour avoir été l’architecte d’une bonne partie du bilan de Wade, Macky Sall est crédité d’une certaine vision, d’une compétence avérée, mais aussi et surtout d’un sens de la probité et de l’éthique. Son pedigree rassure par sa politesse et sa modération.

Ses faiblesses sont nichées dans cet aréopage de personnalités hétéroclites. C’est une force certes de savoir les agréger mais cela peut coûter de faire trop ressembler son parti à une armée mexicaine, un patchwork politique indigeste. Une autre de ses faiblesses qui, elle, n’est pas structurelle, mais quasiment irrationnelle, c’est la croyance de certains à ce supposé « plan B » de Wade qui plombe un peu sa sincérité, surtout que des souvenirs des Sénégalais font remonter dans leurs mémoires des images de l’homme qui avait tenu et aiguisé le couteau qui avait servi à égorger politiquement Idrissa Seck. Sans états d’âme. Pourvu que cela ne lui colle pas à la peau et n’entrave pas un destin aussi surprenant qu’un virage en épingle qu’on n’a pas vu survenir et qui nous fait sortir de la route au moment où elle était paisible. Le duel s’annonce serré et prend les allures d’une tragédie romaine, une vendetta mettant aux prises un père et son enfant banni.
Jeudi 1 Mars 2012



Du plus récent au plus ancien | Du plus ancien au plus récent

1.Posté par Laisser le le 01/03/2012 08:06
Macky Sall alarme de tout sauf de l'indépendance de la justice et comment il compte m'assurer, parce que c'est cela le noeud gordien .Tout candidat qui parle de bonne gouvernance sans l'indépendance de la justice raconte des histoires.Soyons vigilants parce que les proches de Macky ne sont pas des modèles de vertu:maitre Alioune Badara Cisse,Seydou Gueye,Mbaye Ndiaye,Moustapha Cisse Lo,Mahmoud Saleh!VIGILANCE.VIGILANCE.VIGILANCE.
ON A LE CHOIX ENTRE LE CHOLERA ET LE SIDA.CHOISISSONS QUAND MEME MACKY,LE CHOLERA.

2.Posté par Laisser le le 01/03/2012 08:08
Macky Sall a parle de tout sauf de l'indépendance de la justice et comment il compte l'assurers parce que c'est cela le noeud gordien .Tout candidat qui parle de bonne gouvernance sans l'indépendance de la justice raconte des histoires.Soyons vigilants parce que les proches de Macky ne sont pas des modèles de vertu:maitre Alioune Badara Cisse,Seydou Gueye,Mbaye Ndiaye,Moustapha Cisse Lo,Mahmoud Saleh!VIGILANCE.VIGILANCE.VIGILANCE.
ON A LE CHOIX ENTRE LE CHOLERA ET LE SIDA.CHOISISSONS QUAND MEME MACKY,LE CHOLERA.

3.Posté par Anonyme le 01/03/2012 08:33
Ce qui est sûr, c'est qu'il n'y aura plus d'état de grâce ou de blanc seing. Les sénégalais seront vigilants sur tous les actes que le gouvernement posera aussi bien l'actuel régime ou celui à venir. Le cas Macky Sall nécessite une analyse plus approfondie sous l'angle politique et sociologique. Il lui faudra, en cas de victoire, relever plusieurs défis dans la gestion du pouvoir dont celui d'éviter le piège identitaire. Il ne faudrait pas que son accession au pouvoir soit perçue comme une revanche d'un groupe sur un autre. Il y a réellement matière à réflexion afin de fixer des balises contre la mal gouvernance.

4.Posté par Papy1 le 01/03/2012 08:43
Voici le 115eme Sourate descendu au Sénégal tranmise par Abou Wade:
Souratoul ; Waax Waaxet.
En Juillet l’an 2012, la sourate 115 Waax Waaxet fut descendue au pays des Tarihas.
Au Nom de DIEU Le Miséricordieux.
Sur 5 millions d’électeurs inscrits 4 millions lui ont tourné le dos.
Sur 2 millions 9 cents votants 2 millions lui ont tourné le dos.
N’empêche, maitre Weedi insiste a aller au four au deuxième tour.
Les cœurs des sunugalais en colère descendent en masse Maquilles.
Et maitre Weedi jonche sur l’arbre très haut tenant son fils tremblât.
Les électeurs se déchainent comme un ouragan et arrachât son pouvoir.
Hontes a ceux qui ne croient en DIEU le Seul Créateur de l’Univers.
Ce fut la Fin du régime appelé Ma Waaxon Waaxet, et l’ère de PAIX régna.
O vous les croyants du pays des tarihas, n’avez vous confiance en DIEU?
Votre Seigneur est au dessus de tout ce que vous concoctez, certes le dernier verdict appartient a votre Créateur qui n’a ni père ni mère encore moins un nom de famille.
Mon envoyé sur terre le Prophète Mohamed Paix et Salut sur Lui vous avez bien averti. N’entendez vous pas ?

5.Posté par Avis d''''''''expert le 01/03/2012 09:10
MACKY SALL OU LE COMMANDITAIRE DE L'ASSASSINAT POLITIQUE D'IDRISSA SECK!

Homme politique sénégalais né le 11 décembre 1961 dans la région de Fatick. Issu d’une famille très modeste de quatre enfants, de père ouvrier dans la fonction publique et d’une mère vendeuse de cacahuètes, Macky Sall passe une enfance tranquille dans la campagne entre la région de Fatick et le Fouta. Le baccalauréat en poche, il s’envole pour l’université de Dakar où il fait la rencontre de Landing Savané, leader d’And jëf, dont il intègre le mouvement. Quelques temps après, il se sépare de ce dernier, et rejoint le camp libéral. En 1983, débute son compagnonnage avec Wade.

Après avoir pris une part active à la victoire des libéraux, Wade ne lui confie, pas pour autant, de portefeuille ministériel. A l'époque il louait un appartement à 75000fcfa à castor.A la naissance de son fils MACKY SALL l'avait inscrit à la petite école protestante qui se trouve prés de l'école SALDIA à DIEUPPEUL non loin du bar CHEZ IBA.Le cout de la mensualité s'élevait à 10000FCFA.MACKY était tellement pauvre qu'il ne pouvait pas lui payer une mensualité élevée. En décembre Il finit par rencontrer Farba SENGHOR qui lui trouve une audience avec WADE. A la suite de cette rencontre WADE le mit en rapport avec Idrissa SECK. A l'époque IDRISSA SECK avait les pleins pouvoirs car bénéficiant de l’entière confiance de WADE.

C'est ainsi qu'en juillet 2001, il est nommé directeur général de la Société des pétroles du Sénégal (Petrosen). Ensuite, il devient conseiller spécial du président de la République chargé de l’Energie et des Mines, d’avril 2000 à mai 2001. Avant d’être bombardé ministre des Mines, de l’Energie et de l’Hydraulique. Ensuite de novembre 2002 à août 2003, il détient en sus de son portefeuille ministériel celui de ministre d’Etat. D'août 2003 à avril 2004, il est affecté au poste de ministre d'État, ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, porte-parole du gouvernement dont Idrissa Seck est le Premier ministre. Et, parallèlement, il est nommé vice-président du comité directeur du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) en avril 2004. IDRISSA SECK avait eut une énorme confiance en MACKY SALL qui va finir par le trahir parce qu'ayant pour seul objectif de succéder à son ''PERE POLITIQUE''.

Ainsi il se constituait en avocat pour Karim et Abdoulaye WADE:

Pour Karim Wade Macky sall disait:« ‘On ne peut pas refuser à Karim Wade qui est un sénégalais comme n'importe lequel des sénégalais, c'est pas parce qu'il est de teint clair qu'il n'est pas sénégalais. C'est Karim Meissa Wade, il s'appelle, fils de son père. Pourquoi il n'aurait pas droit à assumer une fonction publique au Sénégal »

Macky sall disait pour défendre Karim wade:«Dans un passé très récent, le président Senghor avait son neveu dans le gouvernement, ça n'a pas choqué. Adrien Senghor était son fils, il a fait un travail, il n'y a pas eu de problème. Le président Diouf avait son propre jeune frère dans le gouvernement. Nous n'avons jamais remis en cause ce principe, c'est pas parce qu'on est jeune frère du président de la République ou on est fils d'un président qu'on peut pas travailler dans son entourage. C'est un faux problème»
Pour défendre toute la famille Wade, Macky sall disait:

«Ce sont des attaques faciles. J'ai vécu difficilement ces attaques contre la personne de Abdoulaye Wade, je ne parle pas d'attaques contre le Président ou l'homme politique Abdoulaye Wade. Mais quand on attaque en disant : le père, la femme, le fils, la fille, ce n'est plus de la politique. Ce n'est pas normal. Nous avons tous une famille à préserver»

C'est en avril 2004 qu'il obtient la consécration. Il est nommé Premier ministre, poste qu’il occupera jusqu’en juin 2007. La fin justifie les moyens MACKY SALL alors Premier ministre accuse publiquement celui qui l'a nommé ministre des mines en 2001 de vol de plusieurs milliards.

Alors directeur de campagne de Wade à l’élection présidentielle de 2007, Macky Sall arrive dans son bureau de vote sans présenter de pièce d’identité et défie l’autorité du président en place pour accomplir son acte citoyen, en lui lançant un simple «je suis le Premier ministre». IDRISSA SECK a été trahi par MACKY SALL lui qui l'a promu en l'amenant au ministére des mines.

MACKY SALL A INSULTE MAMADOU DIA ET DANSOKHO

Contre Mamadou Dia Macky sall disait: «Monsieur le Président Mamadou Dia, Dans un article publié le 27 juin 2006 dans plusieurs quotidiens sénégalais, votre notabilité s’est livrée à des attaques « ad hominem » contre le président Abdoulaye Wade et sa famille. Votre démarche heurte nos mœurs sociales et notre culture de respect. Maodo, vous me permettrez de vous rappeler que tout, dans la démarche du président Abdoulaye Wade, nous ancre profondément dans la République»
Contre Dansokho avec qui il fréquente son salon, Macky sall disait: «Avec tous le respect que je lui dois mais ,les propos de Dansokho ne font plus bouger les gens au Sénégal. Il nous a habitué à des catastrophismes, il nous a toujours promis l'enfer au Sénégal. Dieu merci on a pas encore vu l'enfer»

Pour contrer IDY qui était le premier à dénoncer le projet monarchique de Wade, Macky sall disait: «Je laisse la responsabilité à Idrissa Seck qui a dit que l'époque Wade est révolue d'assumer ses propos. Je pense que quelqu'un qui a servi autant le président de la République en étant son numéro 2, son chef du gouvernement, son directeur de cabinet a une part entière dans le bilan qui a été fait, je lui laisse l'entière responsabilité de ses propos.»
MACKY SALL N'EST PAS UN ANGE!

LES SENEGALAIS SE SOUVIENNENT QUE C'EST MACKY SALL:

- QUI A REFUSE LA CREATION DU PARTI REWMI
- QUI EST ALLE AU MERIDIENT PRESIDENT POUR LA DECLASSIFICATION DU PRE-RAPPORT DE L'IGE POUR
DENIGRER iDRISSA ET L'ACCUSER DANS LE CADRE DU COMPLOT POLITIQUE
- QUI ETAIT LE PRESIDENT DE L'ASSEMBLEE NATIONALE LORS DU VOTE DE LA LOI EZZAN
- QUI A CAUTIONNE SOUS LE COUVERT D'UNE REDISTRIBUTION AUX MINISTERES LES 7 MILLIARDS DE
TAIWAN
-QUI A CASSE UNE URNE POUR VOTER DANS UN BUREAU DE VOTE SANS PIECE D'IDENTITE
-QUI A PROFERER PUBLIQUEMENT DES INJURES AU PRESIDENT MAMADOU DIA
MACKY EXPLIQUE AUX SENEGALAIS L'ORIGINE SUBITE DE TA FORTUNE. PAR EXEMPLE OU SONT PASSES LES FONDS POLITIQUES MIS A TA DISPOSITION EN TANT QUE PREMIER MINISTRE ET PRESIDENT DE L'ASSEMBLEE NATIONALE ?

De ce fait je pense qu'il serait trés grave de le laisser prendre la Présidence. Il restera au pouvoir pendant trés longtemps et risquera d'amener la guerre civile au Sénégal car s'appuyant sur une base Al pulhar. Je ne dis pas que tous les Al pulhar sont avec lui mais la majorité des Al pular le soutiennent!

MACKY SALL CONSTITUE UN DANGER POUR LA RÉPUBLIQUE!

6.Posté par bathie le 01/03/2012 09:20
Papy1 dit ce que tu as à dire mais ne joue pas avec l'Islam

7.Posté par Me le 01/03/2012 09:38
Tres mauvaise analyse.
Ablaye Wade a perdu sa popularité. Pour exemple, comment un homme populaire se fait huer dans son quartier et de la meme perd dans son propre bureau de vote.

8.Posté par Papy1 le 01/03/2012 09:39
Bathie, c'est plutot la majeur parti des senegalais qui joue avec le Saint Coran car rien rien n'est plus explicite de ce que notre Seigneur a dit a qui veut entendre.
La PEUR appartient a SIEU et non aux hommes mortels.
Je maintiens ma sourate 115, n'en deplaise a qui que ce soit.

9.Posté par me too le 01/03/2012 09:50
Tres mauvaise analyse kagn!!! Les principales faiblesses de wade sont: le coup de la vie qui a flambé vertigineusement, sa malhonneteté, la corruption, le piétinement de l'éducation, la santé, etc, etc. Ses chances sont quasi-nulles...

10.Posté par me too le 01/03/2012 09:52
sorry coût de la vie ;-)

11.Posté par me too le 01/03/2012 09:52
sorry coût de la vie ;-)

12.Posté par IKS le 01/03/2012 10:14
Entre Wade et MACKY, c'est le combat du professeur contre son excellent élève victime d'une injustice! A cet effet; force est de reconnaitre que l'élève est parti pour être victorieux. Pourquoi?
- Le passé récent de la période électorale contraindrait le poids de l'opposition à s'associer à M. SALL,
- Son discours d'hier est rassurant s'il n'est pas variable comme...
- MACKY a prouvé qu'il va enseigné la politique à celui qui le qualifie d'apprenti: Aye Gathiéééééé! D'abord, il a reélu Wade en 2007 et l'a prouvé à nouveau au soir du 26 février 2012.
Et si Wade est arrivé au palais grâce à l'alternance, où est qu'il a montré ses preuves et qualités après des décénies de combats politiques?
Suffisant pour déclarer l'élève vainqueur sur son prof. Mes félicitations du côté et mes encouragements de l'autre.

De IKS

13.Posté par Fiér d etre SENEGALAIS le 01/03/2012 10:26
Macky, nos marabouts sont 10 000 fois supérieurs a tes parents....le statut de marabout c est pas du temporel c est de l'ordre de Dieu.Tu peux pas le changer.....Vive le SENEGAL et Vive IDYYYYYYY

14.Posté par badou2 le 01/03/2012 10:53
Attention Pappy, il ne faut pas jouer avec les signes du Tout Puissant dont le Coran. Parler de 115ème sourate est un extrême sacrilège. La malédiction peut tomber sur toi. Repens toi vite.

15.Posté par Avis d''''''expert le 01/03/2012 10:56
MACKY EST UN TRAITRE. IL ETAIT UNE FOIS...

MACKY SALL EDIFIE SUR LES CHANTIERS DE THIES...

Le rapport de l'IGE sur les malversations de l'ex- Premier Ministre Idrissa Seck

«Le peuple du Sénégal souverain, conscient de la nécessité d'affirmer et de consolider les fondements de la Nation et de l'Etat affirme son attachement à la transparence dans la conduite et la gestion des affaires publiques ainsi qu'au principe de bonne gouvernance”.

C'est par ces propos justificatifs que le Premier Ministre Macky Sall a introduit sa communication relative aux investissements réalisés dans la ville de Thiès et dont le maître d'œuvre est l'ex- Premier Ministre Idrissa Seck. Des propos introductifs tenus hier dans la salle de conférence du Méridien Président devant les membres du Gouvernement, du Parlement, des Institutions de la République, de la classe politique sénégalaise ( la CAP 21 en particulier ), des organisations syndicales, patronales, de la Société Civile, de la presse.

C'est cette exigence du respect de l'esprit de la Constitution qui a amené, selon Macky Sall, le Président de la République, Maitre Abdoulaye Wade à porter la teneur des rapports relatifs aux chantiers de Thiès à la connaissance des différentes autorités du pays tous corps et toutes classes confondus et par delà, au peuple sénégalais tout entier. Mais le préalable a été , suivant les règles prescrites par la loi, la consultation du Conseil d'Etat pour l'ordonnancement de la mesure de déclassification des rapports de l'Inspection générale d'Etat relatifs à la vérification des investissements réalisés dans la ville de Thiès à l'occasion de la préparation de la fête de l'indépendance de l'année 2004.

La déclaration du Premier Ministre Macky Sall a été articulée autour de trois centres d'intérêts, à savoir le rappel du contexte, les modalités d'exécution des chantiers de Thiès et les surfacturations relevées par les experts de l'IGE.
Le choix de Thiès et l'autorisation d'une enveloppe de 20 milliards
Les raisons qui ont présidé au choix de Thiès ont résulté de la politique de décentralisation définie par le Président de la République pour le renforcement des infrastructures dans les capitales régionales afin qu'elles jouent davantage leur rôle de pôles de développement et de métropole d'équilibre. Thiès a été aussi retenue sur la proposition de l'ancien Premier Ministre Idrissa Seck. Une enveloppe de 20 milliards de francs cfa a été ainsi autorisée par le Président de la République et mobilisée. Le Premier Ministre Macky Sall de faire savoir là, qu'en conformité des dispositions légales et réglementaires, il appartenait à l'ex- Premier Ministre de mettre en œuvre le programme de réalisation des infrastructures de Thiès.

VIOLATION DU CADRAGE ET IRREGULARITES

La déclaration du Premier Ministre Macky Sall a été articulée autour de trois centres d'intérêts, à savoir le rappel du contexte, les modalités d'exécution des chantiers de Thiès et les surfacturations relevées par les experts de l'IGE.

LE CHOIX DE THIES ET L'AUTORISATION D'UNE ENVELOPPE DE 20 MILLIARDS

Les raisons qui ont présidé au choix de Thiès ont résulté de la politique de décentralisation définie par le Président de la République pour le renforcement des infrastructures dans les capitales régionales afin qu'elles jouent davantage leur rôle de pôles de développement et de métropole d'équilibre. Thiès a été aussi retenue sur la proposition de l'ancien Premier Ministre Idrissa Seck. Une enveloppe de 20 milliards de francs cfa a été ainsi autorisée par le Président de la République et mobilisée. Le Premier Ministre Macky Sall de faire savoir là, qu'en conformité des dispositions légales et réglementaires, il appartenait à l'ex- Premier Ministre de mettre en œuvre le programme de réalisation des infrastructures de Thiès.

VIOLATION DU CADRAGE ET IRREGULARITES

Macky Sall de faire apparaître de « la violation du cadrage que le Maire de Thiès avait fixé et de graves irrégularités dans le processus de conclusion des marchés afférents à ces investissements » qui ont fait que Président de la République a eu à interpeller l'ancien Premier Ministre . C'était durant le conseil des ministres du 15 avril 2004. Une mission de vérification intégrée a été ainsi opérée par l'IGE pour l'audit financier, la vérification de l'optimisation des ressources et de contrôle de conformité.

Pour ce qui concerne les conditions d'exécution des travaux, le Premier Ministre Macky Sall s'est référé aux rapports de l'IGE et au rapport final des experts pour établir que le coût global des chantiers de Thiès s'est chiffré à 46.217.166.908 francs cfa et que ce montant a couvert 87 ouvrages ou chantiers exécutés par 37 entreprises signataires de 44 contrats, tous de gré à gré, approuvés. Il a été fait remarquer là que des entreprises ont été adjudicataires de plusieurs marchés et dont certains concernent plusieurs ouvrages.

LES GRAPPES DE CONVERGENCES DEPLOYEES

Le Premier Ministre Macky Sall de se référer aux rapports de l'IGE pour dire que la réalité des « Grappes de convergence », un outil de planification dont on fait allusion a été tout simplement dévoyée. Pour Macky Sall citant le rapport de l'IGE, cela a servi de prétexte à un détournement autoritaire et illégal des crédits initialement autorisés par l'Assemblée nationale dans le BCI(Budget Consolidé d'Investissement) 2004 pour financer des programmes d'investissements destinés à d'autres régions.

D'AUTRES RESSOURCES RESERVEES AUX AUTORITES

Macky Sall de toujours se référer aux rapports de l'IGE qui ont établi que des ressources destinées au Ministère de l'Urbanisme et de l'Aménagement du Territoire d'un montant de 3 milliards de francs cfa initialement prévus pour la réalisation d'une Zone d'Aménagement Concerté ( ZAC ) à Tivaouane et à l'aménagement de 6100 parcelles pour les coopératives d'enseignants ont été reversées d'autorité au programme de Thiès. Selon le Premier Ministre Macky Sall, un autre montant de 3 milliards de francs cfa a été ponctionné d'autorité sur les dotations du Ministère des Sports destinés à la rénovation d'infrastructures sportives dans plusieurs localités du pays, pour renflouer le budget d'investissement de Thiès.

LE STRATAGEME POUR CONTOURNER L'ASSEMBLEE NATIONALE ET LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE

Le Premier Ministre Macky Sall d'en venir au stratagème utilisé pour contourner l'Assemblée nationale et le Président de la République. Pour lui, les inspecteurs généraux d'Etat ont établi que l'opération de migration des crédits budgétaires votés et affectés à des emplois précis par l'Assemblée nationale vers d'autres destinations liées aux travaux de Thiès, a été faite sur la base de la technique de la décision de versement. Un dispositif mis en place pour substituer aux décrets de virements de crédits soumis à la signature du Président de la République des décisions de versement signées au niveau ministériel. Cela a fait selon Macky Sall, que l'enveloppe de 20 milliards fixé par le Président de la République est passée à 46.217.166.908 francs. Sans que le Président de la République soit informé.

DETOURNEMENT DES OBJECTIFS ET VIOLATIONS DU CODE DES MARCHES PUBLICS

Pour le Premier Ministre Macky Sall, toute cette stratégie n'avait d'autre objectif que de matérialiser un détournement des objectifs du programme triennal des investissements publics non défini, non inscrit au PTIP et non autorisé par l'Assemblée Nationale, pour mettre en œuvre un autre programme non planifié et sans autorisation.
D'autre part, le Premier Ministre Macky Sall a fait remarquer que la totalité des marchés contractés à propos de ces 46 milliards de francs cfa ont été conclus en violation des dispositions du code des marchés publics, puisque conclus par entente directe, autrement de gré à gré.

LA JUSTICE DIRA LE DROIT-LA JUSTICE DIRA LE DROIT-LA JUSTICE DIRA LE DROIT

Le Premier Ministre Macky Sall, a en définitive, dans ses conclusions, souligné que la teneur des conclusions de l'Inspection générale d'Etat portée à la connaissance de l'opinion a été émise sans jugement, ni jugement de valeur. Pour lui, il s'est tout simplement agi de livrer les faits tels que constatés par les rapports des enquêteurs. Il n'a pas manqué de faire savoir que la procédure contradictoire a été respectée. Ainsi l'ancien Premier Ministre Idrissa Seck mis en cause, après avoir pris connaissance du rapport des enquêteurs, a émis ses observations sur le dit rapport.
Le Premier Ministre Macky Sall a finalement assuré que cette affaire des chantiers de Thiès sera gérée et réglée dans un cadre purement républicain et de l'Etat de droit consacrant le respect de la séparation des pouvoirs. Pour dire que la justice, en toute indépendance, dira le droit dans cette affaire des chantiers de Thiès.

DANS LA FORME-EXPOSE DU CHEF DU GOUVERNEMENT: PETITES SCENES D'UN CEREMONIAL

«Votre attention, s'il vous plaît : le protocole de la cérémonie d'aujourd'hui comporte un seul orateur, en l'occurrence le Premier ministre, Macky Sall.»
Il avance, M. Sall, dans l'amphithéâtre du Méridien-Président, comme un professeur venu donner un cours magistral. Sauf que là, à la place des potaches, l'assistance est installée à l'emporte-pièce. Les bouts de papiers indiquant l'emplacement des autorités ne sont respectés que par les premiers venus : il n'y a pas d'hôtesses pour les aider. Et les organisateurs n'ont pas procédé à la mise en place.
La leçon du jour : un éclairage du gouvernement portant sur le rapport de l'Inspection général d'Etat (Ige) sur les chantiers de Thiès. Un rapport qui a coûté à la République un décret de déclassification. Mais le cours de Macky Sall n'est pas interactif : il n'y aura ni questions, ni débats. C'est plutôt un Premier ministre serein qui a servi le rapport, du moins un coupé-collé du rapport de l'Inspection générale d'Etat (Ige) sur les travaux de Thiès, savamment concocté pour enfoncer davantage son prédécesseur déjà dans le carré de la prison de Rebeuss.

Et dans son monologue où il ne se décolle de son texte que pour lancer un furtif regard à l'assistance, il se garde de citer des noms. Surtout celui du principal concerné dans cette affaire : Idrissa Seck. Macky SaIl préfère parler de «l'ancien Premier ministre» qui approuve directement un marché, tout en contournant le président de la République et l'Assemblée nationale. Ou du «Premier ministre d'alors» qui n'apporte pas de «réponses suffisantes» aux interpellations du Président.
Ainsi parlait Macky Sall. Tandis que Idrissa Seck est en prison, ses amis absents. La salle écoute, concentrée. Et quand il finit de lire, il a droit à un standing ovations.

16.Posté par Avis d'''expert le 01/03/2012 11:01
IMPACT DE LA SORTIE DE MACKY SALL: LE SPECTACLE DE LA VIOLENCE?(Le Quotidien 27/07/2005)

C'est des moments forts, des signaux qui peuvent déclencher une violence qui est là. C'est un rapport très chargé donc le citoyen lambda qui écoute le discours de M. Macky Sall n'aura pas d'espoir quant au sort de l'ex-Premier ministre parce que simplement ce qui va suivre, on le sait déjà car le gouvernement à une stratégie et il ne reculera jamais. Les populations qui sont là, les sympathisants, la jeunesse de Thiès, sachant que leur idole, leur maire a été emprisonné, attendent simplement le moment opportun, qu'il y ait un déclic pour qu'ils descendent dans les rues», analyse Khaly Niang.

PAUL ALBERT IWEINS, ancien bâtonnier du barreau de Paris, avocat de l'ex-Pm «Idrissa Seck ne craint pas ce rapport»

«Est-ce qu'il vous paraît normal qu'il y ait d'un côté un homme en prison et de l'autre côté un Premier ministre qui l'accuse sur la base d'un document qui n'est pas dans le dossier de l'accusation ? Est-ce que c'est un régime démocratique où un Premier ministre prend la parole pour accuser un homme en prison ?
Parce que si véritablement il y avait un dossier judiciaire solide, croyez-vous qu'il soit nécessaire que le Premier ministre vienne lancer des accusations extravagantes. Je ne demande qu'une chose pour Idrissa Seck, que ce rapport soit dans le dossier pour qu'il puisse le discuter point par point. Un Pemier ministre n'intervient pas dans une procédure en cours et s'il veut intervenir, nous ne demandons qu'une chose, la vérité, la contradiction, la confrontation. On ne nous donne pas cette confrontation, Idrissa Seck ne craint pas ce rapport. Ce rapport est orienté et la synthèse qui vous a été faite est une synthèse orientée.»

APRES LA SORTIE DU PREMIER MINISTRE: LA DEFENSE DE IDY CONCLUT A L'ARBITRAIRE

Réactions... Réactions... Réactions...

Me DOUDOU NDOYE, avocat du Collectif de défense d'Idrissa Seck «Le Premier ministre est passible de la Haute Cour de Justice» «Ce rapport n'est pas dans le dossier de M. Idrissa Seck, et personne ne sait où il est. En tout cas, nous les avocats, on ne sait pas où est ce rapport. Est-ce que ce rapport lu par le Premier ministre MACKY SALL est le bon rapport, personne ne peut le dire. Aujourd'hui, Idrissa Seck est poursuivi, il a été interrogé par la Dic sur les chantiers de Thiès, ensuite inculpé d'atteinte à la sûreté de l'Etat et ce rapport de l'Inspection générale d'Etat n'est pas dans le dossier. Quand le Premier ministre lit un rapport sur lequel quelqu'un est poursuivi, alors que celui qu'il poursuit ne voit le rapport nulle part, on trouve cela sérieux ? Le Premier ministre MACKY SALL vient de lire un dossier dont l'instruction est en cours. N'y a-t-il pas un délit de violation du secret de l'instruction, par un membre du gouvernement, donc passible de la Haute Cour de Justice ? C'est une question que je pose.

A partir du moment où Idrissa Seck est interrogé sur les chantiers de Thiès et que son dossier, déposé entre les mains du juge d'instruction, comprend pour moitié un interrogatoire sur les chantiers de Thiès, le Premier ministre MACKY SALL a-t-il le droit de lire ce rapport qui est le fondement d'une arrestation, en plus du délit d'atteinte à la sûreté de l'Etat ?» MOMAR SAMB, Sg du Rtas «Il y a une volonté politique d'enfoncer quelqu'un» «Cette présentation entre dans le cadre des mesures prises par le gouvernement pour sanctionner l'ancien Premier ministre.Nous pensons qu'on ne peut pas avoir un gouvernement qui traite à la carte ces questions de transparence et de gestion des deniers publics. C'est véritablement désastreux. C'est une manière partisane d'opérer, son objectif ce n'est pas la transparence du point de vue d'une orientation politique, d'une éthique de gouvernement, mais une transparence voulue, contrôlée, qui obéit à un objectif politique. Celui de faire accepter à l'opinion publique que Idrissa Seck a fauté ou que les chantiers de Thiès ne se sont pas déroulés selon les normes républicaines.

17.Posté par Bounkhatab le 01/03/2012 11:11
JE PENSE QUE LES SÉNÉGALAIS NE SE RENDENT PAS COMPTE COMBIEN WADE EST DANGEREUX.IL A D;ABRD THÉORISER L'APPARTENANCE A UN TARI KHAT POUR JUSTIFIER LE VOTE CONFRÉRIQUE A SON AVANTAGE ET MAINTENANT, IL PARLE D'APPARTENANCE A UNE ETHNIE POUR EXPLIQUER SA DÉFAITE AU PREMIER TOUR.NI SENGHOR , NI ABDOU DIOUF N'ONT EXACERBER LE VOTE ETHNIQUE OU CONFRÉRIQUE.SEUL WADE QUI VEUT A TOUT PRIX CONSERVER LE POUVOIR A OSE EMPRUNTER CE CHEMIN DANGEREUX POUR L'AVENIR DE CE PAYS.ET POURTANT IL Y A DES HAL POULARS ET DES MILITANTS APPARTENANT A D'AUTRES CONFRÉRIES DANS DANS SON CAMP.JE PENSE A OUSMANE NGOM, AZIZ SOW , KALIDOU DIALLO QUI N'OSENT PIPER MOT POUR DIRE A CE MONSTRE D’ARRÊTER.QUAND LA BOUCHERIE ENTRE ETHNIE ET CONFRERIE VA COMMENCER, IL Y AURA PAS PULAR MODERE, DE MOURIDE MODERE OU DE TIDIANE MODERE, CE SERA L'ENFER POUR TOUT LE MONDE A CAUSE DE CE FRANC MACON REPENTI.

18.Posté par g.guissane le 01/03/2012 11:18
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19.Posté par demdik le 01/03/2012 11:57
Putin, vous ETES LIBRES DE VOTER POUR QUI VOUS VOULEZ mais rappeler vous, si Macky avez respecté les meetings à la place de l'indépendance, WADE aurait passé dés le premier TOUR car par A ou B les élections auraient lieu.
Ensuite si WADE passe vous en aurait pour 7 ans !!!
7ans de merde,
7 ans de Karim WADE,
7 ans de Ousmane NGOM,
7 ans de Farba SENGHOR,
7 ans de Cheikh Tidiane SY,
7 ans de Serigne MBAcke NDIAYE,
7 ans de Sindiely WADE,
7 ans de Viviane WADE,
7 ans de BETHIO
7 ans de Kara
7 ans de Harouna SY
7 ans d'ARROGANCE
7ans de règlement de compte
7 ans………….
Le choix est simple, à vos CARTES,
Passez le message !!!!!

20.Posté par leer le 01/03/2012 12:29
un caractère fort, une compétence avérée pour un vrai changement(3C)
le geste de vote, un combat de survie
les 4 raisons du choix: jeunesse, compétence, expérience,engagement
le peuple trahi attend les second tour
et comme le disent les wolof"mbejum kanam borom fokoy fajal boppam"
personne ne le fera plus a ma place,je m'engage cette fois ci
aspirer a un idéal,la raison de plus
tournons la page sombre, le vent doit souffler
le meilleur avec le meilleur
la république par coeur,l'esprit ,et la force du travail
la crise des valeurs,une maladie a guérir
le bon sens m’interdir l'erreur
le développement, une affaire de tous
agir pour une vie meilleure
toujours proche des populations
élire un serviteur et non un roi
l'Etat ne se gére pas en famille
li macky wané dalna sunu xel

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