La transhumance érigée en stratégie politique par l’APR.

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liberer Cheikh BETHIO. Contrairement aux mensonges de Cheikh Yerim SECK, nous ne sommes pas des analphabètes encore moins des égarés. Au nom de la liberté religieuse, le President Macky SALL ne doit pas acceder à la requête de Yerim SECK qui demande ouvertement que des sénégalais soient privés de l'excercice de leur liberté religieuse en liquidant physiquement leur marabout par la rigueur carserale. Dans l’intérêt de la stabilité du pays qui nous est tous cher; libérer Cheikh BETHIO sa liquidation physique ne peut nullement temperer notre convcition en lui. Au contraire il mourira Martyr ET QUE l'histoire retiendra que celui qui récupérer des jeunes des chantiers battus de la délinquance pour en faire de fervents mourides; Ce lui qui construisirent les daaras de kelcom; preparer la restauration des talibe de khelcom; construisait des mosquees sur ndiguel de SERIGNE SALIOU est mort dui fait de rigueur carcerale sous le regime du President Maky SALL. Ce jeune sénégalais victime d'alors d'injustice ne mérite pas d’être induit en erreur. Au contraire il mérite d’être soutenu dans un Sénégal riche de sa diversité culturelle et religieuse. Ou personne "ne considère comme barbarie ce qui n'est pas de sa propre usage" comme le redouter Monteigne. Mais un pays de "l'unité dans la diversité dont parler Senghor". Ni la presse; ni les lobbys anti islamiques n'ont intérêt dans ce processus qui risdque d'aboutir à la liquidation physique de notre guide spirituel. Le Senegal ne veut pas etre Kaduna au Nigéria; ni le nord du Mali, encore moins la Cote d'Ivoire. Le President Maky Senegal merite d'etre soutenu dans un Sénégal nouveau où tous les citoyens jouiront de leur liberté religieuse. Un Sénégal où les Mourides ortodoxes ne seront pas brimés stigmatisés comme des délinquants de droit commun. Un Sénégal où les hommes forts du mouridisme fervent défenseurs de Touba trouveront leur place à coté des autres frères de confession différentes pour construire un Sénégal émergent. Monsieur le Président de la République, conformément à son premier discours mérite d'être " le Président de les sénégalais" et nos celui qu'on doit conduire à semmer les graine de la haine et de la vengeance. Comme comptons sur la sagesse de notre justice qui a les hommes et les femmes capable de nous faire espérer la sagesse de l’empereur CIRERONT. Vive le Sénégal; vive l'unité nationale.Dieuredieuty Serigne SALIOU Cheikh Bethio diamou Serigne Saliou yalla na mothe si pekey non.

cet homme est un vrai domarame dire qu'il a utilisè le nom de cheikh betio pour se faire un nom , na katandème feulèèè

VOILA CE QUE JE DISAIS DÉJÀ EN 2008 ET CE QUE JE CROIS ENCORE AUJOURD'HUI:
Dans cette perception globalisante des électeurs sénégalais de l'image que renvoient ces dignitaires anciens et actuels de Régimes au pouvoir, je ne peux ne pas relever cette autre évidence à valoir à l'horizon 2012 sur des présidentialisables qui dialoguent « dos à dos » et nous insultent à travers le ravalement des institutions de la République au rang des baraquements de Mbeubeuss?
Depuis l’année 1988 de glorieuse mémoire mais aussi de sinistre illustration de ce qu’à la suite d’une chaude alerte, le Régime UPS/PS a pu faire pour se maintenir pendant encore douze sombres années, les sénégalais qui ont éprouvé leur porosité à toutes les "visions", semblent de plus en plus relever la tête pour interpeller et sanctionner ceux qui ne les respectent pas et les prennent pour du « bétail électoral ». Il n’y a en effet plus rien que les sénégalais ne savent déjà de notre classe politique nationale caractérisée par une simple différenciation alphabétique multipliée à prés de 200 combinaisons de lettres (PDS, PS, AFP, LD, PIT, MRDS, RTAS, APR, PAI, PAIM, PIPO TAP TOTO qui FRAP et AJ contre le NOUVEAU PARTI, etc.), par une composition quasi siamoise et par cette certitude insolente d’avoir affaire à un marché «de mains tendues électorales». Nos hommes politiques ne savent pas et ne veulent même pas savoir que les sénégalais souhaitent aujourd'hui pouvoir choisir parmi des alternatives véritables c'est à dire en dehors de ces projecteurs ou réfracteurs de l'alternance? Choisir parmi des alternatives qui ne doivent pas leur « présidentiabilité» à leur station actuelle ou ancienne dans une position de pouvoir... dans un "Yakalma" qui leur aura permis d’engranger un leadership de 24 carats, des valeurs de forte prégnance financière et la possibilité d’investir dans la réalisation d’une ambition présidentielle. Mais avec les luttes et adversités mortelles en cours au sein de l’actuel régime et de toute la classe politique dans la perspective de 2012, les Sénégalais sont de plus en plus envahis par une perception négative et très partagée de cette frénétique « bousculade » pour la conquête ou le partage du pouvoir qui semble avoir pour seul mobile, ce « retour d’investissement » largement rétribué en sus par un important cash flow.
Et iI s’interrogent sur cette échéance d’un mandat et sur le fait que 2012 pourrait naître qu’une simple année électorale à l’instar de toutes les présidentielles antérieures, une année de laquelle sortira un « roi des arènes », un « maître du jeu », une « constante », un « grand investisseur », un « Président généreux », « un père de la Nation » Et toute cette turbulence autour de Me WADE dont on ne sait s’il se représentera pour se succéder à lui-même ou s’il portera la candidature de celui dont tout le monde parle et qui dans un assourdissant silence « consentant », s’occupe chaque jour à se faire voir et entendre par les Sénégalais. Celui-là contrairement à Idrissa SECK et Macky SALL, ne dit rien de son ambition présidentielle pour la prospérité de laquelle, on a déjà élagué les branches et le tronc du PDS pour finir par extirper ses racines d’une base tellement malmenée qu’elle en est arrivée à ne plus se sentir concernée.
Et de toute cette effervescence délibérément confusionniste et de cette frénétique de « messes basses » entre Idrissa SECK et Me Abdoulaye WADE, en sortira-t-il un ticket double avec cette « Vice-présidence » encore à occuper par … une « Femme » qui raserait tous les matins sa barbe et ses moustaches? La grande question, c’est quel ticket double : Abdoulaye WADE / Idrissa SECK ? Karim WADE / Idrissa SECK ? Idrissa SECK / Karim WADE ? Au moins dans cette mouvance, les sénégalais savent qu’il n’y aura personne d’autre qui puisse oser se déclarer candidat présidentiel. Sauf évidemment à refuser de faire droit aux ambitions légitimes de Idrissa SECK et à son « incontournabilité » conquise de haute lutte. Encore qu’il y a de quoi s’angoisser des «gamineries concrètes» d’une certaine génération qui confondant vitesse et précipitation, rate tous ses rendez vous avec les sénégalais.
Je devrais aussi avouer mon inquiétude face à cette nébuleuse dénommée « BENNOO SIGGIL SENEGAL» au profit de laquelle, Me WADE et son régime offrent chaque jour et successivement par images comparées, des pleins de vertus et de qualités qui ne peuvent absolument et globalement pas ressortir de ses diverses composantes résolument différenciées et antagonistes. Notre pays a en effet besoin d’une véritable alternative, d’un véritable Leadership national, qui ne saurait émerger d’une réédition comme en 2000 du « Front pour l’Alternance – FAL-» de glorieuse mémoire. Nous devons impérativement refuser de rééditer le FAL composé d'une arlequine de causes qui partagent le seul et unique projet de "Bouter dehors" la cible présidentielle.
Notre expérience du régime de Me WADE milite en faveur de notre refus de la stratégie des candidatures multiples et de l’agglomération de suffrages au profit non d’un véritable leader national mais du «candidat de l’opposition le mieux placé » au 1er tour face à celui du pouvoir. Parce qu’il en ressortira inéluctablement, un Président à la majorité introuvable et à l’ouverture démocratique « rétractile » à force de devoir durant toute la durée de son mandat accepter des compromis, remercier, congédier et recruter… des « porteurs de roi ». Il en a été ainsi pour l’actuel Président qui depuis son 1er mandat et à ce jour, est toujours à la recherche d’un ancrage solide dans une majorité qui reste écartelée et mouvante du fait des clans et intérêts se livrant en permanence des batailles sans merci. Et c’est pourquoi, j’ai été très attentif aux déclarations très nuancées des plus hauts responsables de cette opposition référant une « forte demande du peuple sénégalais qui souhaite la préservation de leur « Unité » dans le cadre de BENNOO SIGGUIL SENEGAL ».
ON CONNAIT LA SUITE AVEC L’AVÈNEMENT DE MON FRÈRE ET AMI MACKY SALL et son engagement à GAGNER ET GÉRER ENSEMBLE. NOTRE PAYS PEUT AVEC CE NOUVEAU PRÉSIDENT ESPÉRER (YAKAR) SORTIR DE CETTE CONTRÉE DES VERTS PÂTURAGES POUR ABORDER ENFIN CELLE DES CITOYENS DANS UNE RÉPUBLIQUE ENFIN RÉHABILITÉE. JE SUIS PRÊT QUANT A MOI A Y CONTRIBUER AU RISQUE DE PORTER LE BONNET MARRON A CLOCHETTES DU "BOVINAGE".

VIVIANE NDOUR DE NOUVEAU FIANCE CLIQUEZ SUR LE LIEN EN BAS POUR VOIR L'ARTICLE.

je souhaite que Macky ait la réaction attendue de lui par son peuple qui a soif de modèles de loyauté et non d'opportunisme !
Président ne nous déçoit pas !

le plus grand danger encouru par le sénégal et qui continue a le régir est sans conteste la floraison dans l'appareil d'Etat d'avocats véreux sans scrupule ni vergogne de la tremped'ousmane séye voire ablaye babou .
ces contre-modeles sont en train de fagociter toute une génération avec leur revirement et leur parjure quotidien qu'ils osent maquiller avec une soi disante légalité le tout avec une volonté manifeste de convaincre malhonnetement et des yeux ou brillent le mensonge et l'interessement