La Pointe de Sangomar est de retour… mais est repartie aussitôt.

LA RÉVOLUTION COMMENCE LE 5 DÉCEMBRE
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L'autisme est l'attitude caractéristique des schizophrènes. Idrissa Seck en est un exemple pathétique. Nous comprenons parfaitement son comportement retors connu de tous et qui consiste à se cramponner sur une fadaise pour prolonger une polémique inutile qui n'a ni saveur ni goût pour nos compatriotes. Il veut tout simplement canaliser l'actualité sur son humble personnage et non pour faire jaillir la vérité. Le débat sur les 7 milliards de Taiwan est maintenant clos car des arguments pertinents ont été déjà fournis. les ministres avaient pu argumenter la viabilité de leurs projets axée essentiellement sur le critère de rentabilité économique.DJIBO a donné raison a Macky dans le grand jury du 27 NOVEMBRE à la RFM Et Wade le sait. Malgré tout, cette « lourde silhouette » d'une toxicité rare dans un pays continue à pulvériser son venin sur Macky SALL rien que pour le nuire. Les résultats des derniers sondages ont accentué sa haine vis-à-vis du Président de l'APR auquel il n'est en rien comparable, tant pour la compétence qu'au point de vue de la morale et de l'éthique.
Macky SALL a en effet une conscience tyrannique de sa charge et un sens élevé de l'Etat. En homme d'honneur, il a pu sortir de terre tous les projets du Chef de l'Etat qui n'étaient qu'au stade d'illusions prospectives à réaliser et qui font le charme de notre pays comme en témoignent tous ces ouvrages maintenant chantés comme hymne de l'alternance par des libéraux suborneurs rivalisant de zèle pour se faire distinguer sur les hautes tribunes.
Encore lui qui a permis à Wade après une brillante campagne électorale de gouverner à sa convenance avec une assemblée presque monocolore.
Aprement combattu par Wade et son clan après avoir réalisé un travail titanesque pour son pays, il démissionna, signe de grandeur de ceux qui n'attendent pas d'être renvoyés, de ses fonctions à l'Assemblée Nationale et au PDS qui avait fini d'apostasier sa doctrine pour épouser de nouveaux dogmes en contradiction avec les idéaux pour lesquels il s'était engagé devant le peuple.
Quant à Idrissa SECK, il ne s'intéressera guère durant tout son séjour à la primature aux projets trop ambitieux de Wade qu'il qualifia de chimères. Pire, il déclara comme pour railler les projets du Chef de l'Etat « avant d'envisager de construire un chemin de fer Dakar - Mombassa je me consacrerai a construire la ligne Dakar - Thiès. C'est connu. Idrissa SECK est un petit garnement incompétent et frappé d'une incapacité intellectuelle et d'un complexe morphologique qui ne lui ont jamais permis de manager des hommes pour aboutir au même résultat que Macky SALL. A la Primature , il s'était emparé machinalement du violon qui devait rythmer la dynamique de son équipe mais malheureusement il en avait pu tirer que des sons discordants et disparates. Mystificateur, Idrissa SECK s'est toujours adonné à des discours rhétoriques, des récitals de coran, des insultes et des divulgations de secrets d'Etat. Or l'Etat est sacré. Fallait-il lui rappeler que les institutions sont chargées de symboles qui leur confèrent crédibilité et autorité. Ce qui fait leur force, c'est l'esprit, la foi, l'adhésion et le consensus populaire qui les portent et les animent. S'ils s'envolent alors l'Etat se fragilise parce que démystifié. Sans autorité. C'est cela qui explique depuis fort longtemps le silence assourdissant de Macky SALL. Mais Idrissa SECK, un ancien bagnard blanchi politiquement par Wade n'en a cure. Les éloges du peuple souvent réitérées à l'endroit de Macky SALL ne font qu'exacerber chez lui cette jalousie maladive des petits esprits. Durant toute l'alternance politique au Sénégal, en personnage d'un grotesque achevé, il a pu tenir le pays en haleine par ses sorties médiatiques nauséeux et dignes d'un quidam présomptueux et sans retenue. Il a toujours pétri de l'or pour en faire de la boue. Ainsi, il est disqualifié pour gouverner les ressources humaines dans notre pays inépuisables dans le courage et dans la vertu. Il n'est obnubilé que par l'argent qu'il distribue à tour de bras pour corrompre ou pour séduire. Les questionnements des sénégalais vont dans tous les sens après ses aveux fracassants portant sur l'origine de sa prompte richesse.
Ne provient - elle pas des Directeurs de sociétés arnaqués et rackettés et qui passaient tous les vendredis dans ses bureaux pour déposer leur dime ?
De ces pauvres individus envahis par la peur et qui ont acheté leur liberté pour échapper à l'enfer carcéral qui les guettait avec les audits post électoraux brandis par qui l'on sait comme une épée de Damoclès ?
Du reliquat des fonds découlant du fameux protocole de Rebeuss et qui devaient financer les élections générales en 2012 ? Il résuma la conspiration du silence, le deal orchestré en ses termes « Lui et Moi ».
De l'argent sale empoché et résultant de la signature de formulaires vides de licences d'exonération vendus aux émigrés sénégalais pour faire entrer des containers de marchandises, de véhicules et de denrées de toutes sortes sans payer de taxes ?
De l'argent du projet JAMM qui était destiné à financer la réinsertion des rebelles du Mouvement MFDC pour accepter de déposer les armes ?
Comme Idrissa prône sans sourciller être le chantre de la bonne gouvernance et que toutes ses actions sont fondées sur la transparence qu'il brame à tout bout de champ, enfin l'occasion lui est offerte pour qu'il prouve ce qu'il prétend être. Alors, qu'il nous produise ses prétendus diplômes et non ses attestations glanés un peu partout dans différentes universités du monde pour avoir quelques notions dans des domaines et non pour apprendre. Idrissa SECK est un homme de la parole c'est connu, mais point un sujet brillant comme il s'évertue à le faire paraître. Et s'il nous disait avec précision avec quels camarades de promotion sénégalais il a fait ses études à HEC Paris ou Science - PO, cela pourrait un tant soit peu dissiper le flou qui entoure son supposé cursus universitaire. Il n'est pas besoin de parler de Princeton qu'il n'a fréquenté que six mois et juste en cours du soir en 1991.
En réalité Idrissa SECK n'est pas prêt à aller en compétition pour affronter un adversaire de la trempe de Macky SALL. Raison pour laquelle il avait proposé, sans frémir le report des élections jusqu'en 2014 contre toute attente de tous les démocrates de ce pays. Tous ces subterfuges trompeurs sont dans ses stratégies hélas mal dissimulées pour affaiblir l'opposition, renforcer le PDS et devenir son patron après WADE. Rien d'autre.

Gathié bou done raye, niou bari dénaniou....