Créée en 1987, l’association mondiale des opérateurs GSM (GSMA) est le fruit d’un échange des acteurs de l’industrie mobile pour aider les opérateurs à avoir de meilleures relations avec les gouvernements et un meilleur impact sur la population.
La 5G, partout dans le monde, est accompagnée de la neutralité technologique qui consiste à donner une licence neutre à qui il (l’État) veut. C’est plus facile que de faire des licences avec des cahiers de charges.
On doit travailler sur le gap d’usage qui est de 80%, car l’utilisation de internet n’est pas universelle dans toutes les zones au Sénégal. Il faut que les régulateurs, le gouvernement et les opérateurs s’assoient pour voir comment réduire ce gap.
L'Afrique, l'Inde et le Moyen Orient étant des zones où le mobile money croît sans cesse, la tendance c’est la taxation des transactions. On parle d’inclusion et on veut taxer. Mais il faut revoir la stratégie qui permet à toutes les parties d’en bénéficier.
Il nous faut trouver des solutions à nos problèmes spécifiques. Le partage de crédit n’existe d'ailleurs qu’en Afrique.
La 5G c’est surtout pour les industries : E-santé, E-gouv, E-éducation, … il nous faudrait un bon débit. Elle va développer le fixe surtout dans les zones reculées. Il faut aider les opérateurs à avoir une vision de quand est-ce qu’on va implémenter la 5G, quelles sont les fréquences qui sont accessibles et sous quelle forme on va la donner...
La 5G, partout dans le monde, est accompagnée de la neutralité technologique qui consiste à donner une licence neutre à qui il (l’État) veut. C’est plus facile que de faire des licences avec des cahiers de charges.
On doit travailler sur le gap d’usage qui est de 80%, car l’utilisation de internet n’est pas universelle dans toutes les zones au Sénégal. Il faut que les régulateurs, le gouvernement et les opérateurs s’assoient pour voir comment réduire ce gap.
L'Afrique, l'Inde et le Moyen Orient étant des zones où le mobile money croît sans cesse, la tendance c’est la taxation des transactions. On parle d’inclusion et on veut taxer. Mais il faut revoir la stratégie qui permet à toutes les parties d’en bénéficier.
Il nous faut trouver des solutions à nos problèmes spécifiques. Le partage de crédit n’existe d'ailleurs qu’en Afrique.
La 5G c’est surtout pour les industries : E-santé, E-gouv, E-éducation, … il nous faudrait un bon débit. Elle va développer le fixe surtout dans les zones reculées. Il faut aider les opérateurs à avoir une vision de quand est-ce qu’on va implémenter la 5G, quelles sont les fréquences qui sont accessibles et sous quelle forme on va la donner...
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