« En assassinant Yves Kanfany, les tueurs ont atteint la République en son coeur. Et en tant que tel, la République saura apporter les réponses adéquates. » Ces mots sont ceux de l’adjudant, commandant la section du militaire Yves Raymond Kanfany. Et ils ont été dit lors de l’hommage posthume rendu à la mémoire du soldat, lors de la levée de son corps au camp militaire de Ziguinchor.
Ce 20 Juin 2016, Yves devait fêter ses 40 ans. Mais, à cause des balles assassines qui l’ont tué, quatre jours auparavant, sa joie communicative manquera à ses amis et à sa famille. Deux ans après cette cérémonie solennelle, les Kanfany sont toujours dans l’attente de la promesse qui leur avait été faite par l’armée « de traquer et de retrouver les meurtriers. » Pour être sûr qu’un autre plan macabre n’est pas en train d’être ourdi contre un autre membre du clan Kanfany.
Parce que avant le soldat, il y a eu le beau et fringant Marc Kanfany. Le brigadier-chef Marc Kanfany, le père du soldat. Comme le fils, il a été assassiné le 30 mars 2000, juste après avoir pris sa retraite de la police et décidé de retravailler comme paysan. De reconstruire son terrain de Boutoute, une parcelle convoitée ces derniers temps par le fils. Mais aussi, après que les tueurs aient assassiné deux autres personnes confondues avec le policier.
Depuis lors, les Kanfany, à défaut de croire en une malédiction qui suivrait la famille, croient fermement à un mauvais karma. Et ils cherchent. Avec les Kanfany, Kewoulo a cherché et si nous n’avons aucun suspect pour le meurtre du père, l’assassinat du fils porte la signature de You Sané, un ancien rebelle devenu copain des militaires. Avant Kewoulo, c’est le Kajiin qui avait tracé le portrait robot de ce tueur recherché par tous les militaires et gendarmes de la Casamance.
Ce 20 Juin 2016, Yves devait fêter ses 40 ans. Mais, à cause des balles assassines qui l’ont tué, quatre jours auparavant, sa joie communicative manquera à ses amis et à sa famille. Deux ans après cette cérémonie solennelle, les Kanfany sont toujours dans l’attente de la promesse qui leur avait été faite par l’armée « de traquer et de retrouver les meurtriers. » Pour être sûr qu’un autre plan macabre n’est pas en train d’être ourdi contre un autre membre du clan Kanfany.
Parce que avant le soldat, il y a eu le beau et fringant Marc Kanfany. Le brigadier-chef Marc Kanfany, le père du soldat. Comme le fils, il a été assassiné le 30 mars 2000, juste après avoir pris sa retraite de la police et décidé de retravailler comme paysan. De reconstruire son terrain de Boutoute, une parcelle convoitée ces derniers temps par le fils. Mais aussi, après que les tueurs aient assassiné deux autres personnes confondues avec le policier.
Depuis lors, les Kanfany, à défaut de croire en une malédiction qui suivrait la famille, croient fermement à un mauvais karma. Et ils cherchent. Avec les Kanfany, Kewoulo a cherché et si nous n’avons aucun suspect pour le meurtre du père, l’assassinat du fils porte la signature de You Sané, un ancien rebelle devenu copain des militaires. Avant Kewoulo, c’est le Kajiin qui avait tracé le portrait robot de ce tueur recherché par tous les militaires et gendarmes de la Casamance.
Autres articles
-
Cybersécurité : La Division spéciale dévoile son inefficacité et ses moyens limités
-
Distribution de l’eau : la SEN’EAU annonce encore des perturbations à Rufisque et Thiès.
-
TikTok Lite : La commission européenne évoque « un risque grave » pour la santé mentale
-
Chambre Correctionnel : L’affaire Awa Baba Thiam et Salimata Sow renvoyée au 13 juin prochain
-
Thiès/ instauration de la journée continue dans les établissements scolaires: Un véritable casse-tête pour les potaches