Un mouvement d'humeur spontané, initié par des conducteurs de Jakarta, a été noté ce dimanche dans les rues de Kaolack.
Las des tracasseries policières relatives au port du masque et du casque, des jakartamen ont décidé de manifester leur ras-le-bol en sillonnant les routes secondaires à bord de leurs motos.
Arrivés aux alentours du commissaire central de Kaolack, ils ont été vite stoppés par les forces de l'ordre qui ont finalement usé de grenades lacrymogènes afin de les disperser.
" Nous en avons marre de devoir supporter les tracasseries policières. Les policiers nous empêchent de travailler, car à chaque fois, ils procèdent à l'immobilisation de nos motos et des fois nos engins passent plusieurs jours au commissariat. Ils n'ont qu'à nous attester et nous laisser faire correctement notre travail. En effet, tous ceux qui sont là gagnent leur vie à la sueur de leurs fronts, mais aussi pour pouvoir subvenir aux besoins de leurs familles...", déplore le porte-parole sous le couvert de l'anonymat.
Selon une source policière, le contrôle par rapport au port du masque et du casque est obligatoire. Et souvent, si une amende est infligée à un jakartaman, c'est parce que ce dernier n'est pas en règle. Et très souvent aussi, des jakartamen voient leurs motos immobilisées par défaut de pièces valides...
Las des tracasseries policières relatives au port du masque et du casque, des jakartamen ont décidé de manifester leur ras-le-bol en sillonnant les routes secondaires à bord de leurs motos.
Arrivés aux alentours du commissaire central de Kaolack, ils ont été vite stoppés par les forces de l'ordre qui ont finalement usé de grenades lacrymogènes afin de les disperser.
" Nous en avons marre de devoir supporter les tracasseries policières. Les policiers nous empêchent de travailler, car à chaque fois, ils procèdent à l'immobilisation de nos motos et des fois nos engins passent plusieurs jours au commissariat. Ils n'ont qu'à nous attester et nous laisser faire correctement notre travail. En effet, tous ceux qui sont là gagnent leur vie à la sueur de leurs fronts, mais aussi pour pouvoir subvenir aux besoins de leurs familles...", déplore le porte-parole sous le couvert de l'anonymat.
Selon une source policière, le contrôle par rapport au port du masque et du casque est obligatoire. Et souvent, si une amende est infligée à un jakartaman, c'est parce que ce dernier n'est pas en règle. Et très souvent aussi, des jakartamen voient leurs motos immobilisées par défaut de pièces valides...
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