Le président Pape Diop présente ses sincères condoléances aux familles des victimes des inondations survenue à Thiès, en marge de sa campagne électorale.
À ce titre, il précise : "je présente mes sincères condoléances suite au décès des deux sénégalais à Thiès. Aucun sénégalais ne devrait mourir à la suite des inondations aujourd'hui. C'est pourquoi, nous politiques, devons nous battre pour adopter de bonnes politiques publiques."
Cependant, il a rappelé que "le réseau de l'assainissement à Dakar et environs est vétuste et date de l'époque coloniale. Et ce réseau avec la démultiplication démographique est inexistant dans certains quartiers et absent totalement dans d'autres."
Revenant sur la campagne électorale des législatives, il estime qu'il a reçu une panoplie de doléances des populations au Fouladou. En ce sens, il poursuit : "ces doléances sont entre autres l'éducation, la santé, l'agriculture, l'environnement, l'emploi des jeunes." Mais selon lui, "pour lutter contre le chômage, il faut investir 500 milliards dans l'agriculture qui est l'un des secteurs les plus rentables pour les jeunes."
Dans cette lancée, il estime que pour une république forte, "il faut des institutions fortes et crédibles." C'est pourquoi, il précise pour y arriver que "nous devons remplacer le Haut conseil des collectivités territoriales par un sénat fort pour une démocratie forte aussi. J'en appelle à tout le monde pour des élections paisibles. Qui me connaît sait que Pape Diop n'est pas violent, encore moins mon parti..."
À ce titre, il précise : "je présente mes sincères condoléances suite au décès des deux sénégalais à Thiès. Aucun sénégalais ne devrait mourir à la suite des inondations aujourd'hui. C'est pourquoi, nous politiques, devons nous battre pour adopter de bonnes politiques publiques."
Cependant, il a rappelé que "le réseau de l'assainissement à Dakar et environs est vétuste et date de l'époque coloniale. Et ce réseau avec la démultiplication démographique est inexistant dans certains quartiers et absent totalement dans d'autres."
Revenant sur la campagne électorale des législatives, il estime qu'il a reçu une panoplie de doléances des populations au Fouladou. En ce sens, il poursuit : "ces doléances sont entre autres l'éducation, la santé, l'agriculture, l'environnement, l'emploi des jeunes." Mais selon lui, "pour lutter contre le chômage, il faut investir 500 milliards dans l'agriculture qui est l'un des secteurs les plus rentables pour les jeunes."
Dans cette lancée, il estime que pour une république forte, "il faut des institutions fortes et crédibles." C'est pourquoi, il précise pour y arriver que "nous devons remplacer le Haut conseil des collectivités territoriales par un sénat fort pour une démocratie forte aussi. J'en appelle à tout le monde pour des élections paisibles. Qui me connaît sait que Pape Diop n'est pas violent, encore moins mon parti..."
Autres articles
-
Mauritanie: arrestation d'un organisateur de l'évasion de quatre jihadistes
-
SUCRE À MBACKÈ - Un commerçant de Touba tombe… Il avait commencé à vendre 600 sacs à 32 500 l’unité
-
Commune de Kaolack : Retour sur les circonstances de la mort du jeune menuisier ébéniste tué froidement par la sœur de sa petite amie
-
Détention du professeur Mamadou Ka à Saint Louis : La vidéo accablante et le communiqué de soutien du Cusems (Décryptage de l'affaire)
-
Situation politique délétère : Le SAES appelle l’État à garantir la sécurité de tous les citoyens sans distinction