La protection de l’enfant et l'employabilité des jeunes sont au cœur des préoccupations du programme futur au présent (FAP). Et dans ce sillage, le programme a octroyé une formation aux maîtres d’atelier devant accompagner les futurs apprentis issus de couches défavorisés par un canevas bien défini dans un curriculum d’apprentissage. Ainsi, le projet entend lutter contre la maltraitance des enfants et le chômage en enrôlant dans un premier temps 25 jeunes dans les métiers de leur choix.
Abdoulaye Diallo (représentant du futur au présent) de soutenir « c’est une rencontre de partage et d’échanges avec les maîtres d’atelier, la chambre des métiers et les écoles de formation pour l’employabilité des jeunes. Et avec les enseignants, nous allons mettre un curriculum de formation que nous appliquerons dans les ateliers du secteur informel au bénéfice des futurs apprenants. L’objectif c’est de les aider à changer leurs méthodes de formation par la formalisation. Et dans ce cadre nous allons prendre 25 enfants issus de couches vulnérables qui vont choisir leurs métiers intégrés dans ces ateliers. »
Dans la foulée, il précise : « Maintenant on ne voudrait pas que ces enfants perdent du temps dans leur formation dans ces ateliers. Et c’est la raison pour laquelle avec l’aide d’un inspecteur de l’éducation et de la formation, nous avons mis en place un curriculum de formation pour une durée d’un an. Et au sortir de cette formation d’une année, l’enfant doit acquérir des compétences qui pourraient lui permettre d’avoir un métier.»
Le projet intervient dans la protection des droits de l’enfant et de l’employabilité des jeunes issus de familles défavorisées. En ce sens, il s’agit de jeunes qui n’ont pas été scolarisés, ou peu scolarisés ou qui ne fréquentent pas un milieu professionnel. En les enrôlant, le programme compte accompagner ces derniers en équipement puis les orienter vers les ateliers du secteur informel.
Abdoulaye Diallo (représentant du futur au présent) de soutenir « c’est une rencontre de partage et d’échanges avec les maîtres d’atelier, la chambre des métiers et les écoles de formation pour l’employabilité des jeunes. Et avec les enseignants, nous allons mettre un curriculum de formation que nous appliquerons dans les ateliers du secteur informel au bénéfice des futurs apprenants. L’objectif c’est de les aider à changer leurs méthodes de formation par la formalisation. Et dans ce cadre nous allons prendre 25 enfants issus de couches vulnérables qui vont choisir leurs métiers intégrés dans ces ateliers. »
Dans la foulée, il précise : « Maintenant on ne voudrait pas que ces enfants perdent du temps dans leur formation dans ces ateliers. Et c’est la raison pour laquelle avec l’aide d’un inspecteur de l’éducation et de la formation, nous avons mis en place un curriculum de formation pour une durée d’un an. Et au sortir de cette formation d’une année, l’enfant doit acquérir des compétences qui pourraient lui permettre d’avoir un métier.»
Le projet intervient dans la protection des droits de l’enfant et de l’employabilité des jeunes issus de familles défavorisées. En ce sens, il s’agit de jeunes qui n’ont pas été scolarisés, ou peu scolarisés ou qui ne fréquentent pas un milieu professionnel. En les enrôlant, le programme compte accompagner ces derniers en équipement puis les orienter vers les ateliers du secteur informel.
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