« J’ai appris la nouvelle comme un coup de massue sur la tête. Ce sont les enfants qui ont appelé pour m’annoncer la nouvelle en me disant : « maman tonton Bruno est décédé. »
Elle avance les larmes aux yeux,« je garde de Bruno un homme sincère, discret, gentil, très intelligent et parfois comique pour décompresser l’atmosphère. »
À l’en croire toujours, « je connais Bruno depuis cinquante ans, c’était lui l’aide de camp de Cheikh Lèye qui fut son maitre. Et ils étaient dans le même service que mon mari feu le colonel Foula Baldé gouverneur du palais à l’époque. »
Elle ajoute « à l’époque je vivais à la maison militaire et chaque fois que je le voyais il était attentif. Il n’était pas très loquace, mais sachant garder les secrets et très gentil et depuis on ne s’est jamais quitté. »
Elle se désole en ces termes : « sa mort m’a beaucoup bouleversé depuis hier je sais plus à quel saint me vouer. Quand je le voyais, je revoyais mon mari. »
Elle garde un peu le silence et dit : « cette allure élégante venue de la Casamance mangeait tout ce qui se présentait à lui et il me disait « madame je suis de la Casamance, donc je ne refuse rien ». »
À cette occasion, dit-elle « je présente mes condoléances à sa famille », avant d’ajouter : « je ne pense pas que l'on puisse retrouver tôt un homme de sa dimension, car lui était un homme d’État. »
« Il était toujours avec mon mari et venait chez nous les weekends, c’est pourquoi il sera toujours dans un petit coin de mon cœur, car ayant écrit les premières heures de l’histoire politique de ce pays au début des indépendances avec mon mari... »
Elle avance les larmes aux yeux,« je garde de Bruno un homme sincère, discret, gentil, très intelligent et parfois comique pour décompresser l’atmosphère. »
À l’en croire toujours, « je connais Bruno depuis cinquante ans, c’était lui l’aide de camp de Cheikh Lèye qui fut son maitre. Et ils étaient dans le même service que mon mari feu le colonel Foula Baldé gouverneur du palais à l’époque. »
Elle ajoute « à l’époque je vivais à la maison militaire et chaque fois que je le voyais il était attentif. Il n’était pas très loquace, mais sachant garder les secrets et très gentil et depuis on ne s’est jamais quitté. »
Elle se désole en ces termes : « sa mort m’a beaucoup bouleversé depuis hier je sais plus à quel saint me vouer. Quand je le voyais, je revoyais mon mari. »
Elle garde un peu le silence et dit : « cette allure élégante venue de la Casamance mangeait tout ce qui se présentait à lui et il me disait « madame je suis de la Casamance, donc je ne refuse rien ». »
À cette occasion, dit-elle « je présente mes condoléances à sa famille », avant d’ajouter : « je ne pense pas que l'on puisse retrouver tôt un homme de sa dimension, car lui était un homme d’État. »
« Il était toujours avec mon mari et venait chez nous les weekends, c’est pourquoi il sera toujours dans un petit coin de mon cœur, car ayant écrit les premières heures de l’histoire politique de ce pays au début des indépendances avec mon mari... »
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