La pêche contribue à hauteur de 75 % en apport de protéine animale. C’est pour éviter donc toutes conséquences du point de vue nutritionnel pour les populations que l’ONG Greenpeace, qui s’active dans la protection de l’environnement, a tenu à alerter sur la raréfaction graduelle du poisson sur les côtes ouest-africaines.
En effet, c’est à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la pêche artisanale, célébrée par le Réseau des Femmes de la Pêche Artisanale du Sénégal (REFEPAS), qu’il est constaté un déficit fréquent de ressources pour les femmes transformatrices. Pour Aliou Ba, responsable de la campagne Océan au niveau de ladite organisation non-gouvernementale, cette situation est effectivement due « au fait que les ressources sont aujourd’hui aspirées par la surpêche, mais aussi les nouvelles licences de pêche qui ont été données aux bateaux étrangers au niveau du Sénégal. Et, le problème des usines de farine de poisson. »
En plus d’une doléance pour la signature du décret de professionnalisation de la transformation artisanale par les femmes transformatrices, Greenpeace tente pour sa part, de sensibiliser les populations, d’alerter le gouvernement du fait de la situation actuelle, de rassembler toutes les communautés de pêcheurs et femmes transformatrices qui veulent une protection des océans, de se retrouver autour d’un point commun qui est de travailler à faire en sorte que cette exploitation soit durable.
En effet, c’est à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la pêche artisanale, célébrée par le Réseau des Femmes de la Pêche Artisanale du Sénégal (REFEPAS), qu’il est constaté un déficit fréquent de ressources pour les femmes transformatrices. Pour Aliou Ba, responsable de la campagne Océan au niveau de ladite organisation non-gouvernementale, cette situation est effectivement due « au fait que les ressources sont aujourd’hui aspirées par la surpêche, mais aussi les nouvelles licences de pêche qui ont été données aux bateaux étrangers au niveau du Sénégal. Et, le problème des usines de farine de poisson. »
En plus d’une doléance pour la signature du décret de professionnalisation de la transformation artisanale par les femmes transformatrices, Greenpeace tente pour sa part, de sensibiliser les populations, d’alerter le gouvernement du fait de la situation actuelle, de rassembler toutes les communautés de pêcheurs et femmes transformatrices qui veulent une protection des océans, de se retrouver autour d’un point commun qui est de travailler à faire en sorte que cette exploitation soit durable.
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