La rencontre virtuelle ouverte sous la présidence du président du Costa Rica, Carlos Alvarado, a vu la participation de plusieurs chefs d’Etats et de membres de gouvernements dont le secrétaire général du ministère de l’environnement et du développement durable du Sénégal, Amadou Lamine Guissé.
Son intervention portait sur « Quelles actions concrètes peuvent être entreprises aux niveaux national et mondial pour encourager les synergies entre les trois Conventions de Rio ; que peuvent faire les processus multilatéraux pour action sur le terrain ? ».
Dans son argumentaire, M. Guissé a d’emblée rappelé les nouveaux défis de l’heure que sont : l’émergence économique, l’amélioration de la productivité des ressources naturelles ainsi que l’adaptation aux changements climatiques tout en faisant droit à une gouvernance vertueuse et efficace.
Partant de ce constat, le Sénégal a développé tout une stratégie en matière de lutte contre la désertification et l’atteinte de la Neutralité des Terres (NDT), à l’horizon 2030. C’est le cas : des actions de reboisement et de reforestation (plantation, mise en défens, Régénération naturelle assistée), mais aussi des mesures de lutte contre l’érosion hydrique (mesure structurale et pratique agricole).
Seulement pour être réussies, ces actions doivent être basées sur un appui et un accompagnement des actions de Lutte Contre la Désertification ainsi qu’un renforcement des initiatives génératrices des revenus.
Dans l’exécution du Programme de lutte contre la déforestation et la dégradation des terres, M, Guissé indique que notre pays vise à terme : la réduction des superficies de biomasse brulées; l’accroissement et la pérennisation des productions forestières; la reconstitution et la préservation du couvert végétal; la restauration des terres dégradées; et enfin le renforcement des capacités des acteurs.
Parce que, préserver les forêts et les sols : c’est contribuer à pérenniser les productions agro-sylvo- pastorales, à réduire la pauvreté, à maintenir la biodiversité et à atténuer les changements climatiques.
Son intervention portait sur « Quelles actions concrètes peuvent être entreprises aux niveaux national et mondial pour encourager les synergies entre les trois Conventions de Rio ; que peuvent faire les processus multilatéraux pour action sur le terrain ? ».
Dans son argumentaire, M. Guissé a d’emblée rappelé les nouveaux défis de l’heure que sont : l’émergence économique, l’amélioration de la productivité des ressources naturelles ainsi que l’adaptation aux changements climatiques tout en faisant droit à une gouvernance vertueuse et efficace.
Partant de ce constat, le Sénégal a développé tout une stratégie en matière de lutte contre la désertification et l’atteinte de la Neutralité des Terres (NDT), à l’horizon 2030. C’est le cas : des actions de reboisement et de reforestation (plantation, mise en défens, Régénération naturelle assistée), mais aussi des mesures de lutte contre l’érosion hydrique (mesure structurale et pratique agricole).
Seulement pour être réussies, ces actions doivent être basées sur un appui et un accompagnement des actions de Lutte Contre la Désertification ainsi qu’un renforcement des initiatives génératrices des revenus.
Dans l’exécution du Programme de lutte contre la déforestation et la dégradation des terres, M, Guissé indique que notre pays vise à terme : la réduction des superficies de biomasse brulées; l’accroissement et la pérennisation des productions forestières; la reconstitution et la préservation du couvert végétal; la restauration des terres dégradées; et enfin le renforcement des capacités des acteurs.
Parce que, préserver les forêts et les sols : c’est contribuer à pérenniser les productions agro-sylvo- pastorales, à réduire la pauvreté, à maintenir la biodiversité et à atténuer les changements climatiques.
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