Quelques heures après sa libération, Idrissa Seck est revenu sur les circonstances de son arrestation intervenue ce jeudi en marge du vote de la loi sur le parrainage. Selon le leader de Rewmi qui tient actuellement un point de presse chez lui, les choses sont allées très vite. Ainsi, Idrissa Seck a confié que son arrestation ne s'est pas passée dans de bonnes conditions.
À l'en croire, il a été interpellé quelques minutes après avoir demandé à son garde du corps de prendre congé de lui et de transmettre aux militants de rentrer chez eux. “Quand le commissaire de la Médina a décidé de m'arrêter, j'ai demandé à Vieux Sandjiry de retourner m'attendre et que j'allais progresser seul vers l'Assemblée nationale. J'ai marché seul et j'ai été arrêté et mis dans la fourgonnette que ses éléments ont gazé jusqu'à ce que le chauffeur perde ses moyens. Il a été remplacé par un autre chauffeur”, raconte Idrissa Seck qui ajoute, citant le commissaire du commissariat du 4e, que le premier chauffeur a commis une faute en se frottant les yeux.
Sur la même lancée, Idrissa Seck de balancer une confidence que le commissaire lui a faite sur le remède contre le gaz lacrimogène. Selon le patron de Rewmi, la meilleure manière de lutter contre le gaz lacrymogène, c'est de pleurer et laisser les larmes nettoyer la substance nocive.
Cependant, l'ancien Premier ministre a reconnu qu'aussi bien le commissaire du quatrième que ses hommes l'ont bien traité durant le temps qu'il a été gardé dans leurs locaux avant d'être transféré au commissariat du Plateau. Le même sort lui a été réservé jusqu'à son retour ce matin.
À l'en croire, il a été interpellé quelques minutes après avoir demandé à son garde du corps de prendre congé de lui et de transmettre aux militants de rentrer chez eux. “Quand le commissaire de la Médina a décidé de m'arrêter, j'ai demandé à Vieux Sandjiry de retourner m'attendre et que j'allais progresser seul vers l'Assemblée nationale. J'ai marché seul et j'ai été arrêté et mis dans la fourgonnette que ses éléments ont gazé jusqu'à ce que le chauffeur perde ses moyens. Il a été remplacé par un autre chauffeur”, raconte Idrissa Seck qui ajoute, citant le commissaire du commissariat du 4e, que le premier chauffeur a commis une faute en se frottant les yeux.
Sur la même lancée, Idrissa Seck de balancer une confidence que le commissaire lui a faite sur le remède contre le gaz lacrimogène. Selon le patron de Rewmi, la meilleure manière de lutter contre le gaz lacrymogène, c'est de pleurer et laisser les larmes nettoyer la substance nocive.
Cependant, l'ancien Premier ministre a reconnu qu'aussi bien le commissaire du quatrième que ses hommes l'ont bien traité durant le temps qu'il a été gardé dans leurs locaux avant d'être transféré au commissariat du Plateau. Le même sort lui a été réservé jusqu'à son retour ce matin.
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