Dans un post contextuellement motivé par la visite du Premier ministre Ousmane Sonko au Burkina Faso, le consultant en communication et membre de l’Alliance Pour la République donne son point de vue : « La fascination d’Ousmane Sonko pour les putschistes qui bâillonnent leurs peuples est révélatrice de sa nature : un esprit faible, peu fécond, enrobé d’une sidérante indigence intellectuelle. Il se complète par du jambarisme politique à peu de frais. »
L’essayiste Hamidou Anne ne se limitera pas à cette remarque. Il ajoutera : « Le bougre s’agite, de Bamako à Ouaga, prend la pose avec des putschistes, nourrit son ego boursouflé mais ne se rend pas compte qu’il fait régresser notre pays. Le Sénégal risque de prendre l’allure d’un État satellite de petites dictatures tropicales. »
D’après le politologue, « des excès, et sous l’influence de gauchistes caricaturaux qui sont davantage des reliques du passé que des accoucheurs d’espérances, Ousmane Sonko va, à terme, enlever au pays ce qu’il a toujours su préserver en six décennies et trois alternances au sommet de l'État, notamment le prestige diplomatique et la stature de démocratie solide et rayonnante. »
À en croire Hamidou Anne, « le Sénégal mérite d’être compté dans le peloton de tête des grandes démocraties, terres de libertés, et non de figurer dans l’arrière-cour du continent, aux côtés de juntes aussi burlesques que dangereuses. »
L’essayiste Hamidou Anne ne se limitera pas à cette remarque. Il ajoutera : « Le bougre s’agite, de Bamako à Ouaga, prend la pose avec des putschistes, nourrit son ego boursouflé mais ne se rend pas compte qu’il fait régresser notre pays. Le Sénégal risque de prendre l’allure d’un État satellite de petites dictatures tropicales. »
D’après le politologue, « des excès, et sous l’influence de gauchistes caricaturaux qui sont davantage des reliques du passé que des accoucheurs d’espérances, Ousmane Sonko va, à terme, enlever au pays ce qu’il a toujours su préserver en six décennies et trois alternances au sommet de l'État, notamment le prestige diplomatique et la stature de démocratie solide et rayonnante. »
À en croire Hamidou Anne, « le Sénégal mérite d’être compté dans le peloton de tête des grandes démocraties, terres de libertés, et non de figurer dans l’arrière-cour du continent, aux côtés de juntes aussi burlesques que dangereuses. »
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