La Guinée ne recevra pas Mohamed Ibn Chambas, désigné envoyé spécial de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). Le Colonel Mamadi Doumbouya, chef de l'État, l'a bien fait savoir à la commission de l’institution sous-régionale à travers une missive.
Selon l’homme fort de Conakry, « la nomination d’un Envoyé spécial ne nous paraît ni opportun, ni urgent dans la mesure où aucune crise interne, de nature à compromettre le cours normal de la Transition n’est observée (…) »
« La mise en place des organes de la Transition se déroule comme prévu, dans un climat apaisé et en parfaite symbiose avec les Forces vives du pays », a ajouté le tombeur de Alpha Condé.
« Néanmoins, temporise l’officier, nous restons disposés à recevoir les missions ponctuelles de la Commission de la CEDEAO comme celle qui a récemment séjourné à Conakry, pour travailler avec le Gouvernement sur les axes d’accompagnement en vue d’un retour à l’ordre constitutionnel normal » .
À la tombée des rideaux du sommet du 7 novembre dernier, les chefs d’État de la CEDEAO avaient décidé de maintenir les sanctions contre les putschistes consistant à geler leurs avoirs et à réduire leur liberté de mouvement hors de la Guinée. Une série de décisions à laquelle s'ajoutent la suspension du pays des instances de l’institution d’intégration sous-régionale. Les nouvelles étaient aussi tenues d’organiser des élections dans un délai raisonnable de 6 mois.
Depuis, des évolutions notoires ont été constatées car une charte de transition a été adoptée suivi de la formation d’un gouvernement dirigé par un civil qui se trouve être le diplomate, le Dr Mohamed Béavogui.
Selon l’homme fort de Conakry, « la nomination d’un Envoyé spécial ne nous paraît ni opportun, ni urgent dans la mesure où aucune crise interne, de nature à compromettre le cours normal de la Transition n’est observée (…) »
« La mise en place des organes de la Transition se déroule comme prévu, dans un climat apaisé et en parfaite symbiose avec les Forces vives du pays », a ajouté le tombeur de Alpha Condé.
« Néanmoins, temporise l’officier, nous restons disposés à recevoir les missions ponctuelles de la Commission de la CEDEAO comme celle qui a récemment séjourné à Conakry, pour travailler avec le Gouvernement sur les axes d’accompagnement en vue d’un retour à l’ordre constitutionnel normal » .
À la tombée des rideaux du sommet du 7 novembre dernier, les chefs d’État de la CEDEAO avaient décidé de maintenir les sanctions contre les putschistes consistant à geler leurs avoirs et à réduire leur liberté de mouvement hors de la Guinée. Une série de décisions à laquelle s'ajoutent la suspension du pays des instances de l’institution d’intégration sous-régionale. Les nouvelles étaient aussi tenues d’organiser des élections dans un délai raisonnable de 6 mois.
Depuis, des évolutions notoires ont été constatées car une charte de transition a été adoptée suivi de la formation d’un gouvernement dirigé par un civil qui se trouve être le diplomate, le Dr Mohamed Béavogui.
Autres articles
-
Nécrologie : décès du juge Modou Seck du Tribunal de grande instance de Ziguinchor
-
[SANTÉ] Journée mondiale du Paludisme : Le docteur Doudou Sène nous met à jour sur le cas du Sénégal
-
Cybersécurité : La Division spéciale dévoile son inefficacité et ses moyens limités
-
Distribution de l’eau : la SEN’EAU annonce encore des perturbations à Rufisque et Thiès.
-
TikTok Lite : La commission européenne évoque « un risque grave » pour la santé mentale